IMPRIMERIE G. WHITE. 1816. In-12. Broché. Bon état, Couv. défraîchie, Mors fendus, Intérieur bon état. 147 pages. Rousseurs en fin d'ouvrage. Coiffe en pied légèrement abîmée.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Reference : RO20046335
Edition originale Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Twickenham, Imprimerie de G. White, 1816 ; in-8 de (2) ff., 147 - (6) pp., cartonnage de l'époque vert (charnières fendues, manque au dos).
Édition originale tirée à petit nombre, imprimée en Angleterre où Louis-Philippe d'Orléans s'était réfugié pendant les Cent-Jours. Le Journal couvre les événements presque heure par heure du 5 au 24 mars 1815, période pendant laquelle il commandait avec le comte d'Artois l'armée de Lyon. Louis-Philippe reçut ensuite le commandement de l'armée du Nord, mais il remit sa démission et partit rejoindre sa famille à Twickenham. Le futur roi y justifie sa conduite et critique les choix de Louis XVIII : envoi de troupes peu sûres contre l'Empereur, mauvaise organisation militaire, maladresses répétées contre l'ancienne Grande Armée, etc. Quérard (Supercheries littéraires, 948) rapporte les propos de Cuvillier-Fleury sur les circonstances de l'impression du Journal : "Un des aides de camp [de Louis-Philippe] prit un brevet d'imprimeur à Londres. La défense du prince, écrite de sa main, fut imprimée sous ses yeux. L'édition toute entière fut enfermée dans une malle pour être publiée en France si le soin de son honneur l'exigeait ".