LIGUE DU NORD DE FOOTBALL. 1983-1984. In-16. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. 275 pages. Nombreux schémas en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 796.334-Football
Reference : RO20034333
Mis à jour par Léon Plaete. Interprétation des lois du jeu. Règlement du football à 7 et à 5 . Football féminin. Statut de l'arbitrage. Entraînement et diététique de 'arbitre. Classification Dewey : 796.334-Football
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John Langenus. Avec des dessins a la plume par Else Van Hagendoren.
Reference : 79870
(1942)
Gand, Snoeck-Ducaju & Fils, Imprimeurs - Editeurs, 1942, in-8, broché, 215p. Couverture défraîchie. Bon exemplaire. "Entre guide touristique et souvenirs d’arbitrage, cette première et seule autobiographie d’un arbitre de football nous fait traverser l’Europe et le monde de la première moitié du vingtième siècle. John Langenus, qui a dirigé 81 rencontres internationales dirigées, relate ses souvenirs d’homme en noir depuis ses débuts dans l’arbitrage jusqu’à la finale de Montevidéo. Après quelques pages sur ses débuts dans le plat pays, il relate son expérience internationale. Au début de l’année 1936, John Langenus évoque un match Espagne–Allemagne qu’il devait diriger à Barcelone quelques mois avant la guerre civile (on ne devait jouer que l’hymne espagnol, il évoque les joueurs allemands qui « saluèrent à leur manière »). C’est aussi l’époque où le football, en Europe centrale est comparé à une « Existenkampf » (lutte pour l’existence), période où « le public finit par croire que l’existence même des nations dépendait du succès de l’équipe nationale ». Ou encore le match Italie-France qu’il eut à arbitrer quelques jours après que le Grand Conseil Fasciste de 1938 ait évoqué l’avenir qu’il entendait donner à la Corse et à Nice. L’arbitrage lui a notamment permis de voyager à travers le monde, de rencontrer les grands de l’époque : Mussolini à Rome, le roi Léopold XIII, le roi Alphonse XIII et Primo de Rivera à Barcelone, Dolfuss à Vienne… Son témoignage nous permet de mieux comprendre l’atmosphère footballistique de l’époque, lui-même relatant que : « L’Angleterre a longtemps tardé à éprouver une estime quelconque pour le football continental et à réclamer pour lui l’intérêt de son public habituel ». Mais surtout on découvre un esprit du sport quelque peu oublié où Roumains, Belges, Yougoslaves et Français s’embarquent entre « joyeux » amis pour une traversée transatlantique de 14 jours en direction de l’Uruguay. La fin du livre constitue un moment fort avec l’évocation de la finale de la première coupe du monde à Montevidéo, dans le « Estadio del Centenario », stade de 125 000 places, qui n’était pas encore fini quand la compétition commença. John Langenus insiste aussi sur la difficulté pour les arbitres de différents continents d’appliquer des règles qui n’étaient pas encore bien définies, car « c’est connu qu’en Europe même tous les pays ne suivaient pas les mêmes règles du jeu ». Il revient ensuite sur un moment cocasse, lorsque les capitaines argentins et uruguayens, à l’entrée sur l’aire de jeu lors de la finale, voulurent jouer avec leur propre ballon et non celui de l’adversaire. Cette autobiographie évoque aussi le problème déjà réel de la sécurité des arbitres. En effet, si John Langenus a eu des débuts difficiles dans les provinces belges (il fut frappé à plusieurs reprises), il revient sur ce problème lors de la finale de la Coupe du monde où les dirigeants européens ne l’autorisèrent à arbitrer qu’à midi seulement, après avoir obtenu les garanties nécessaires au maintien de l’ordre et à la sécurité nécessaire de l’arbitre. On peut lire aussi que la sortie du stade de l’arbitre après la finale se fit sous protection policière. Or, cette escorte n’avait pour seul but que de permettre à l’arbitre belge de pouvoir embarquer à l’heure sur le bateau du retour vers l’Europe. Il est d’ailleurs intéressant de noter que John Langenus n’avait accepté de diriger la finale qui si le départ du bateau, prévu à 15 h, était reporté de deux heures, ce qu’on lui avait accordé. Cette autobiographie s’apparente à un voyage initiatique dans le football des années trente, où le rythme d’écriture est parfois proche de celui des trains qui transportent l’arbitre Langenus d’un stade à l’autre." Laurent Bocquillon - Université de Nice
Relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Jacques-Bénigne Bossuet, neveu du grand orateur et responsable de la publications de ces traités. Paris, Barthélémy Alix, 1731. 2 parties en 1 volume in-12 de 26 pp., (3) ff. de table, 155 pp., (1) f.bl., (1) f. de titre, 218 pp., (6) ff. Relié en plein maroquin rouge de l’époque, triple filet doré encadrant les plats, grandes armes frappées or au centre, dos à nerfs richement orné, coupes décorées, roulette dorée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque. 162 x 92 mm.
Edition originale de deux traités majeurs de Bossuet. Bibliothèque de Backer, n°998 ; Bulletin Morgand et Fatout, n°129 ; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 336 ; Tchemerzine, I, 905 ; Brunet, I, 1139. Bossuet fut nommé précepteur du Dauphin en 1670 et le Traité du libre-arbitre est l’un des ouvrages composés pour l’éducation du futur souverain. Le sujet abordé traite du ‘moyen d’accorder notre Liberté avec la certitude des décrets de Dieu’. La question de savoir s’il existe des choix humains indépendamment de la souveraine grâce de Dieu venait de diviser les catholiques de France en deux camps : les jésuites, soutenus par le haut clergé ainsi que par le Roi, et les jansénistes de Port-Royal, minoritaires mais solidaires autour de brillantes autorités théologiques et intellectuelles telles que Arnault et Pascal. Or les années qui virent Bossuet précepteur du Dauphin coïncident presque exactement avec la Paix de l’Eglise de France (1668-1678). De plus, les jansénistes furent parmi les rares personnes à ne pas entrer en conflit avec Bossuet, même si sa situation à la Cour ne permettait pas à ce dernier d’afficher trop haut l’intérêt qu’il portait à la théologie de Port-Royal. Aussi la richesse du Traité du libre-arbitre réside principalement dans la synthèse fragile mais courageuse (c’est tout de même au futur Roi de France que Bossuet s’adresse), de deux doctrines pourtant farouchement opposées. Ce texte méconnu donne la très juste mesure d’une période de tolérance officielle bientôt vaincue par le raidissement des libertés en matière de religion. Le Traité de la concupiscence, composé vers 1693, reflète quant à lui l’époque suivante, période trouble où les positions doctrinales sont beaucoup plus rigides et les mœurs beaucoup plus libres. Evêque de Meaux depuis 1681, écouté par la cour qui se déplace de Paris et de Versailles pour ses prêches, docteur incontesté de l’Eglise de France, Bossuet s’en prend ici aux libertins, aux mondains, vitupérant contre le mensonge de leur esprit et la vanité de leur vie. Ce texte devait s’intituler Considérations sur les paroles de Saint Jean : ‘N’aimez pas le monde’ mais le neveu de Bossuet, évêque de Troyes et préfacier de cette édition, a préféré l’autre titre, plus sévère. Le lien avec Versailles s’est maintenu jusqu’à la fin de la vie de Bossuet. Il occupait une place essentielle au sein de la cour de France, il était conseiller du Roi en ses conseils et conseiller ordinaire en ses conseils d’Etat. « La conclusion de cette brève étude sur Bossuet un des génies les plus hauts et les plus féconds de notre littérature, n’est-ce pas à La Bruyère qu’il faut l’emprunter : « Orateur, théologien, philosophe… Parlons d’avance le langage de la postérité : un Père de l‘église ». Encore convient-il d’ajouter à cette place : un maître de la langue française qui n’eut peut-être jamais son égal, un de ceux à qui notre pays est le plus redevable de sa magistrature littéraire universelle. » (Rév. D. Delafarge). Prestigieux exemplaire relié en maroquin rouge de l’époque aux armes de Jacques-Bénigne Bossuet, neveu du grand orateur et responsable de la publication de ces traités. « Jacques-Bénigne Bossuet (1664-1743), neveu du célèbre orateur, devint licencié en théologie, vicaire général de Meaux et abbé de Saint-Lucien de Beauvais, à la mort de son oncle, en avril 1704 ; il fut nommé évêque de Troyes en mars 1716, mais il n’obtint ses bulles que deux ans plus tard, en 1718 ; il se démit de son évêché le 30 mars 1742. L’évêque de Troyes avait hérité de la bibliothèque de son oncle qu’il augmenta considérablement. » (OHR, n°2299). Le présent exemplaire est cité en référence par Olivier-Hermal pour les fers apposés sur sa reliure (OHR, n°2299, fer n°3). Les éditions originales de Bossuet conservées en maroquin de l’époque armorié ont de tous temps été recherchées des bibliophiles.
1731 Couverture rigide A Paris, chez Barthelémy Alix, 1731. In-12, pleine basane brune d'époque, dos à nerfs orné, tranches rouges, mors fendillés, charnières fragiles. 26 pages, 3 feuillets non chiffrés (titre de la première partie, table), 155 pages, 2 feuillets non chiffrés (1 blanc, page de titre de la deuxième partie), 218 pages, 6 feuillets non chiffrés (table, privilège, errata). Edition originale posthume comprenant deux parties réunies en un volume, dans lesquelles l'auteur expose sa doctrine. Bon état intérieur.
Edition originale Bon
Grand Orient de France. 2017. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 100 pages, nombreuses photos et illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Romus versus Franc-Maçonnerie - Le siège de la conscience des maçons - De la liberté de conscience du Rite français à l'engagement social - De la loi qui interdit la Parole à la Parole qui fait la loi - De Livre arbitre à la liberté absolue de conscience - Libre arbitre et liberté de conscience, modernité des Lumières - La naissance du Rite français Féminin au Portugal - Science sans conscience n'est que ruine du droit - etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Les éditions originales de Bossuet conservées en maroquin de l’époque ont de tous temps été recherchées des bibliophiles. Paris, Barthélémy Alix, 1731. 2 parties en 1 volume in-12 de 26 pp., (3) ff. de table, 155 pp., (1) f.bl., (1) f. de titre, 218 pp., (6) ff. Relié en plein maroquin rouge de l’époque, filet à froid encadrant les plats, dos à nerfs richement orné, avec roulettes fleurdelysées en pied, filet or sur les coupes, roulette dorée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de l’époque. 168 x 94 mm.
Édition originale de deux traités majeurs de Bossuet. Bibliothèque de Backer, n°998 ; Bulletin Morgand et Fatout, n°129 ; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 336 ; Tchemerzine, I, 905 ; Brunet, I, 1139. Bossuet fut nommé précepteur du Dauphin en 1670 et le Traité du libre-arbitre est l’un des ouvrages composés pour l’éducation du futur souverain. Le sujet abordé traite du ‘moyen d’accorder notre Liberté avec la certitude des décrets de Dieu’. La question de savoir s’il existe des choix humains indépendamment de la souveraine grâce de Dieu venait de diviser les catholiques de France en deux camps : les jésuites, soutenus par le haut clergé ainsi que par le Roi, et les jansénistes de Port-Royal, minoritaires mais solidaires autour de brillantes autorités théologiques et intellectuelles telles que Arnault et Pascal. Or les années qui virent Bossuet précepteur du Dauphin coïncident presque exactement avec la Paix de l’Eglise de France (1668-1678). De plus, les jansénistes furent parmi les rares personnes à ne pas entrer en conflit avec Bossuet, même si sa situation à la Cour ne permettait pas à ce dernier d’afficher trop haut l’intérêt qu’il portait à la théologie de Port-Royal. Aussi la richesse du Traité du libre-arbitre réside principalement dans la synthèse fragile mais courageuse (c’est tout de même au futur Roi de France que Bossuet s’adresse), de deux doctrines pourtant farouchement opposées. Ce texte méconnu donne la très juste mesure d’une période de tolérance officielle bientôt vaincue par le raidissement des libertés en matière de religion. Le Traité de la concupiscence, composé vers 1693, reflète quant à lui l’époque suivante, période trouble où les positions doctrinales sont beaucoup plus rigides et les mœurs beaucoup plus libres. Evêque de Meaux depuis 1681, écouté par la cour qui se déplace de Paris et de Versailles pour ses prêches, docteur incontesté de l’Eglise de France, Bossuet s’en prend ici aux libertins, aux mondains, vitupérant contre le mensonge de leur esprit et la vanité de leur vie. Ce texte devait s’intituler Considérations sur les paroles de Saint Jean : ‘N’aimez pas le monde’ mais le neveu de Bossuet, évêque de Troyes et préfacier de cette édition, a préféré l’autre titre, plus sévère. Le lien avec Versailles s’est maintenu jusqu’à la fin de la vie de Bossuet. Il occupait une place essentielle au sein de la cour de France, il était conseiller du Roi en ses conseils et conseiller ordinaire en ses conseils d’Etat. Magnifique exemplaire, particulièrement frais et grand de marges (hauteur : 168 mm), conservé dans sa reliure en maroquin rouge de l’époque d’une qualité rare. Les éditions originales de Bossuet conservées en maroquin de l’époque ont de tous temps été recherchées des bibliophiles.