chez l'auteur. 1958. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. planches de phoots noir et blanc et couleur avec descriptif. . . . Classification Dewey : 945-Italie
Reference : RO20007412
N°58-190 Classification Dewey : 945-Italie
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Exemplaire de dédicace sur très grand papier de Hollande relié à l’époque aux armes et pièces d’armes de l’Empereur Napoléon Ier. Milano, Dalla Regia Stamperia, 1806. In-8 dexi pp., 312 pp. Plein maroquin rouge, roulette dorée autour des plats, armoiries au centre, dos lisse orné de pièces d’armoiries, gardes et doublures de tabis bleu, tranches dorées. Reliure de l’époque portant l’étiquette «n°45 rue de la Harpe Tessier. Relieur Doreur à Paris». Dimensions de la reliure: 194 x 110 mm.
Édition originale et seule officielle du Code de Procédure Civile pour le Royaume d’Italie imprimée à Milan en 1806 par l’Imprimerie Impériale. «Le Code civil accompagne l’histoire du droit civil italien depuis 1806, date à laquelle la version italienne du ‘Code’ est publiée à Milan sous le titre de ‘Code civil du Royaume d’Italie’. Ce code constitue le modèle des Codes civils de l’Italie pré-unitaire, du Code civil de 1865 de l’Italie unie et représente encore un point de repère pour la culture italienne du vingtième siècle, au cours duquel une tentative d’un ‘Code des obligations franco-italien’ a été élaborée […]. Le Code civil traduit en italien en 1806, entre en vigueur dans les régions qui composent le Royaume d’Italie d’origine napoléonienne. Par prescription de loi expresse (décret royal du 15 novembre 1808), la version italienne est introduite dans les Universités et dans les lycées dans une édition qui donne une comparaison avec le droit romain.» Le décret de publication fut signé par l’Empereur au Palais de Saint Cloud le 17 juin 1806. Il s’agissait de traduire le Code de procédure civile français en langue italienne et de l’adapter au Royaume d’Italie. “Nel suo complesso il codice francese è fra tutti i codici contemporanei la più alta espressione legislativa della uguaglianza e della libertà civile, la vera conquista non peritura della grande rivoluzione.” (Del Giudice).v << Précieux exemplaire de dédicace imprimé sur très grand papier de Hollande relié par Tessier en maroquin rouge de l’époque aux armes de l’Empereur Napoléon Ier.
1 vol in-8 broché - tome XXX - juillet-septembre 1983
Bon état (couverture légèrement décolorée)
Superbe exemplaire à grandes marges. Paris, Charles de Sercy, 1651. In-8 de (20) ff. préliminaires y compris le frontispice gravé, 75 pp. chiffrées, (9) ff. de table, 197 pp. mal chiffrées 191 et (18) ff. non chiffrés, le dernier blanc. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, dos à nerfs orné, filets or sur coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure signée de Trautz-Bauzonnet, vers 1860. 166 x 108 mm.
Edition originale de ces lettres adressées par Rabelais à Godefroy d’Estissac, evesque de maillezais, lors de son voyage en Italie. Tchemerzine, V, 323; De Backer, I, 287. Vers 1520, Rabelais est moine chez les Cordeliers de Fontenay-le-Comte. Persécuté dans son couvent, il entre au monastère de Maillezais en Poitou, protégé par Geoffroy d’Estissac, prieur et évêque de cette abbaye bénédictine. Devenu à son tour bénédictin, Rabelais s'attache à la personne de Geoffroy d'Estissac dont il sera le secrétaire jusqu’en 1526. Il gardera des rapports épistoliers réguliers avec celui qu’il considère comme son premier protecteur. En 1530 Rabelais arrive à Montpellier, étudie la médecine, et devient médecin en 1532 à l’Hôtel-Dieu à Lyon. C’est au début de 1534 que Rabelais quitte Lyon pour l'Italie, comme médecin attaché à la personne du Cardinal Du Bellay. D’aout 1535 à mai 1536, Rabelais séjourne encore à Rome dans le but de demander au pape l’autorisation de poursuivre la médecine et de réintégrer l’ordre des bénédictins après la condamnation dont furent frappés Gargantua et son auteur. Le recueil, édité par les frères de Sainte Marthe, se compose des lettres adressées d'Italie par Rabelais à son premier protecteur. Divisées en 16 chapitres elles évoquent autant les rapports du Pape avec Charles V, les différends opposant les familles Médicis et Strozzi, que les combats opposant le Roi de Perses aux Turcs,... Des détails beaucoup plus intimes révèlent ainsi l'envoi de graines du jardin secret du Pape au Belvédère, à l'évêque de Maillezay : « les salades de Legugé, me semblent pourtant bien aussi bonnes, & quelque peu plus douces & amiables à l'estomach, mesmement de votre personne, car celles de Naples me semblent trop ardentes & trop dures... ». «Ce volume est orné d’un beau frontispice de F. Chauveau, offrant le portrait de Rabelais à mi-corps assis devant une table et écrivant». (De Backer) Superbe exemplaire à grandes marges.
A Venise et se trouve à Paris, chez Dessaint, 1769. 8 volumes in-12 de [4]-XLVIII-576; [4]-640; [4]-655; [4]-576; [4]-463; [4]-439; [4]-475; [4]-588 pages. Plein veau moucheté brun, dos à nerfs ornés de filets et fleurons dorés, chiffre couronné au centre des plats (non identifié), tranches rouges. Avec au tome II le tableau dépliant "Généalogie de la maison de Médicis"; importante tables des matières des huit volumes à la fin du dernier tome; bien complet du feuillet d'addition pour la page 465 du septième volume, à la fin du chapitre XXVII.
Important voyage du célèbre astronome français. Le sous titre de l'ouvrage détail: "contenant l'histoire et les anecdotes les plus singulières de l'Italie et sa description, les moeurs, les usages, le gouvernement, le commerce, la littérature, les arts, l'histoire naturelle et les antiquités; avec des jugements sur les ouvrages de peinture, sculpture et architecture, et les plans de toutes les grandes villes d'Italie." L'atlas prévu est ici absent. Coupes et coins frottés, certains coins restaurés anciennement, quelques coiffes absentes, épidermures et manque de peau pour quelques volumes (ceux qui ont des rousseurs). Barbier, IV, 1066; Fiammetta Olschki, 388; Bibliographie du voyage français en Italie, p. 113.
La Haye, Henry van Bulderen, 1702. 3 volumes in-12 de [56]-339-[21]; 356-[24]; 414-[20] pages, plein veau brun, dos à nerfs ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titres bordeaux, tranches rouges.
Importante iconographie composée de 57 gravures hors-texte (14+36+7) dont 30 dépliantes; et un titre gravé au premier volume. Le nombre de planches varie d'un exemplaire à l'autre, certains exemplaires possède 80 planches d'autres moins. Fils du pasteur de Sainte-Mère-Église, le jeune Maximilien Misson se destine, comme son père au pastorat protestant et fait des études à Genève. Condamné à l'exil en Angleterre par la révocation de l'Édit de Nantes, il abandonne la carrière ecclésiastique et devient précepteur d’un jeune aristocrate britannique, Charles Butler, avec qui il voyagea trois ans à travers Europe. C'est ce voyage qu'il raconte en 41 lettres, adressées à un destinataire anglais anonyme, et publiées une première fois en 1691 (en deux volumes). Le Voyage d'Italie s'oppose aux récits des voyageurs catholiques, c'est un anti-pèlerinage. Misson porte un regard critique sur ce pays qui est pour lui le lieu de la superstition et du papisme. Cependant le texte ne saurait se réduire à son aspect polémique. C'est d'abord une relation précise, écrite dans un style élégant et fluide, de tout ce qu'on peut admirer en Italie (des oeuvres d'art aux phénomènes surnaturels), et il a été utilisé comme guide de voyage jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, même si Pompéi et Herculanum n’avaient alors pas été découverts. C'est ici la quatrième édition, l'avant dernière publiée du vivant de son auteur. Toutes les éditions sont rares. Ex-libris manuscrit sur les pages de titre: J. J. Chaponière D. M. P. Sans les coiffes, coins frottés, un mors partiellement fendu. Brunet, 20168; Fossati-Bellani, 366: Fiammeta- Olschski 453; Biblio. du voyage français en Italie, p. 54.