La Guilde du Livre. 1972. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 257 p. - Exemplaire 825 / 5000.. . . . Classification Dewey : 94.41-Editions numérotées (gros tirage)
Reference : RO20002322
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C.N.R.S. - Jean Corbel ed. - P. Gabert et J. Masseport - G. Monjuvent - N. Fedoroff - A. Moign - L. Barbaroux - H. Geoffray - G. Delibrias - R. Muxart - R. Laurent
Reference : 87094
(1966)
Audin, Editeur à Lyon et C.N.R.S. - Centre National de la Recherche Scientifique Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1966 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur crème, titre en noir grand In-8 1 vol. - 350 pages
quelques illustrations en noir et blanc, cartes, coupes géologiques, schémas, dont une carte de l'installation de la base française avec un schéma du bâtiment 1ere édition, 1966 "Contents, Chapitres : Jean Corbel : Pourquoi de nouvelles recherches polaires ? - Les français au Spitsberg - Expédition et base-laboratoire du C.N.R.S. - Le Spitsberg et ses voisins polaires - Recherches sur les climats du Spitsberg et leurs variations récentes - De l'extension maximale des glaciers dans la zone de mer de Barentz - Note sur les raids de l'Isfjord et de Laponie - Paysages de la Baie du Roi - Sols polygonaux et sols striés de la Baie du Roi - Datation au carbone 14 des terrasses maritimes de la Baie du Roi - P. Gabert et J. Masseport : Quelques aspects de la morphologie des versants du Spitsberg occidental - G. Monjuvent : Quelques observations sur le Quaternaire - N. Fedoroff : Les sols du Spitsberg occidental - A. Moign : Compte rendu de la mission de l'été 1964 - L. Barbaroux : De l'étude statistique des blocs erratiques, rive sud du Kongsfjord - H. Geoffray : Quelques données climatiques sur la Baie du Roi - Bilan hydrographique et bilan d'érosion du système du glacier Love est - Coupe verticale de température du glacier Love est - G. Delibrias : Laboratoire du radiocarbone du C.N.R.S. - Radioactivité de l'air et circulation atmosphérique - R. Muxart : Recherches de géochimie externe - Extrait du journal d'un chimiste - R. Laurent : Rapport technique sur le matériel et les constructions - Selon la présentation de Jean Corbel sur un autre ouvrage : ""Depuis plusieurs années, des expéditions financées par le C.N.R.S. (Centre national de la Recherche scientifique) sont organisées au nord du Spitsberg. Elles ont reçu le sigle administratif de R.C.P. 42 (Recherche coopérative sur Programme). Elles prennent une ampleur croissante. La composition et les sujets abordés au cours de cet été 1966 montrent toute la nouveauté de ces expéditions. Il faut les comparer aux expéditions polaires traditionnelles basées sur les transports par tracteurs très lourds et limitées, à cause de ces tracteurs, à l'étude des vastes inlandsis glaciaires plats ou à l'étude de la très haute atmosphère. Ces expéditions traditionnelles restent pratiquement sans chercheurs de catégorie A (niveau professeur de faculté ou titulaire d'un doctorat d'état) à cause de la longueur des séjours imposés ; elles ont généralement seulement un ou deux candidats à une thèse et des ingénieurs et techniciens télécommandés depuis Paris ou New York. L'expédition de la R.C.P. 42 en 1966 comprend : - pour le Spitsberg : 34 personnes dont 7 femmes, 10 chercheurs de catégorie A, 5 assistants de faculté faisant des thèses d'état sur le Spitsberg ; - pour le raid de comparaison en Laponie : 10 personnes dont 3 femmes, 5 chercheurs A. Les sujets traités s'écartent délibérément des études sur les inlandsis et sur la stratosphère, études faites avec le succès que l'on sait par les expéditions polaires de P.-E. Victor. La R.C.P. 42 est avant tout une expédition de naturalistes, au sens large du terme. Elle étudie l'influence du froid sur le milieu naturel (morphologie terrestre et littorale, hydrologie, glaciers de montagne, biologie animale, géochimie, géologie polaire, etc.). Elle veut familiariser un certain nombre de spécialistes français avec les problèmes de la taïga, de la toundra au sol profondément gelé, des montagnes alpines polaires, de la banquise littorale. Il était indispensable de ne point se contenter de répéter les travaux et les méthodes de nos prédécesseurs. La R.C.P. 42 a résolument ouvert de nouveaux secteurs de recherche avec des méthodes nouvelles. Nous fûmes entre autres les premiers à concevoir des observations s'étendant sur dix années pour étudier les glaciers polaires de type alpin. Nous fûmes également les premiers à utiliser à une grande échelle le scaphandre autonome pour l'étude des zones littorales de 0 à 50 m au-delà du 75e degré de latitude nord. Nous pensons être les premiers à expérimenter les traîneaux sur coussin d'air dans le monde polaire. Pourquoi te Spitsberg ? Parce que c'est la terre polaire la plus proche de la France. Si de France on se dirige droit vers le nord on passe au large de la côte ouest du Spitsberg. La Scandinavie, Laponie comprise, avec son climat anormalement doux pour la latitude, offre une route facile. On comprend que de tous temps, cette proximité relative ait attiré les Français. C'est en français qu'écrivait le découvreur du Spitsberg : Barentz. Ce sont des baleiniers français (de Dunkerque à Bayonne par la Bretagne) qui s'établirent sur ses côtes occidentales pour chasser, avec les autres baleiniers septentrionaux, les baleines géantes du Spitsberg (aujourd'hui disparues, mais qui devaient être le plus grand mammifère jamais connu). C'est pour soutenir ces baleiniers que Louis XIV envoya sa flotte de guerre par 80° de latitude nord pour écraser les Hollandais, et que le Spitsberg fut déclaré colonie française sous le nom d'Arctique François, avec une base fortifiée permanente dans le nord-ouest de l'île. Ces prétentions furent rapidement abandonnées au profit de la Norvège, mais durant tout le xixe et le début du xxe siècle des missions scientifiques effectuèrent des travaux. Ce sont elles par exemple qui levèrent la première carte régulière au 1/1. 000. 000e de la région nord-ouest à laquelle nous nous intéressons particulièrement. Pour nous, la première expédition en Laponie eut lieu en 1951, la première expédition au Spitsberg (3 personnes) en 1952. Les expéditions au nord du Spitsberg se continuent chaque été (à partir de mai) depuis 1963. La création de la R.C.P. 42 qui leur assure un cadre administratif, date du Tr janvier 1964. Pour assurer la sécurité et permettre un travail scientifique utile, nous avons construit en trois ans une base-laboratoire comportant quatre bâtiments principaux permanents et de nombreuses tentes temporaires, des bâtiments annexes en divers points des 350 km de côte qui constituent notre secteur. Nous disposons d'une vedette, avec trois pièces chauffées, pour la plongée et le transport des personnes dans les fjords (Baie du Roi, Baie de la Croix, Baie des Anglais), de petites barques légères qui malheureusement souffrent beaucoup des icebergs, d'un tracteur léger en voie de remplacement pour le transport du matériel."". - Spitzberg, en norvégien Spitsbergen, est une île de Norvège située dans le Svalbard, un archipel formant un territoire de ce pays. - Sur cette île est installée la réserve mondiale de semences du Svalbard, une énorme chambre froide et forte conservant des échantillons de l'ensemble des graines vivrières de la planète en vue de la conservation de la biodiversité. L'ancien village minier de Ny-Ålesund est aujourd'hui une cité scientifique internationale. La France y possède deux stations de recherche : la base Charles Rabot dans le village et la base Jean Corbel à cinq kilomètres à l'est du village, cette dernière (créée en 1964) étant la plus ancienne des stations scientifiques de l'archipel. (idem Wiki)" Légère pliure au coin supérieur de 2 pages, sans gravité, sinon bel exemplaire, très frais et propre - NB : Cette publication de 1966 sur les travaux de 1964-1965, orientée sur la géologie, conserve son actualité aujourd'hui avec le réchauffement climatique et les problèmes que cela génère dans les régions polaires.
C.N.R.S. - Jean Corbel ed. - P. Gabert et J. Masseport - G. Monjuvent - N. Fedoroff - A. Moign - L. Barbaroux - H. Geoffray - G. Delibrias - R. Muxart - R. Laurent
Reference : 87049
(1966)
Audin, Editeur à Lyon et C.N.R.S. - Centre National de la Recherche Scientifique Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1966 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur crème, titre en noir grand In-8 1 vol. - 350 pages
quelques illustrations en noir et blanc, cartes, coupes géologiques, schémas, dont une carte de l'installation de la base française avec un schéma du bâtiment 1ere édition, 1966 "Contents, Chapitres : Jean Corbel : Pourquoi de nouvelles recherches polaires ? - Les français au Spitsberg - Expédition et base-laboratoire du C.N.R.S. - Le Spitsberg et ses voisins polaires - Recherches sur les climats du Spitsberg et leurs variations récentes - De l'extension maximale des glaciers dans la zone de mer de Barentz - Note sur les raids de l'Isfjord et de Laponie - Paysages de la Baie du Roi - Sols polygonaux et sols striés de la Baie du Roi - Datation au carbone 14 des terrasses maritimes de la Baie du Roi - P. Gabert et J. Masseport : Quelques aspects de la morphologie des versants du Spitsberg occidental - G. Monjuvent : Quelques observations sur le Quaternaire - N. Fedoroff : Les sols du Spitsberg occidental - A. Moign : Compte rendu de la mission de l'été 1964 - L. Barbaroux : De l'étude statistique des blocs erratiques, rive sud du Kongsfjord - H. Geoffray : Quelques données climatiques sur la Baie du Roi - Bilan hydrographique et bilan d'érosion du système du glacier Love est - Coupe verticale de température du glacier Love est - G. Delibrias : Laboratoire du radiocarbone du C.N.R.S. - Radioactivité de l'air et circulation atmosphérique - R. Muxart : Recherches de géochimie externe - Extrait du journal d'un chimiste - R. Laurent : Rapport technique sur le matériel et les constructions - Selon la présentation de Jean Corbel sur un autre ouvrage : ""Depuis plusieurs années, des expéditions financées par le C.N.R.S. (Centre national de la Recherche scientifique) sont organisées au nord du Spitsberg. Elles ont reçu le sigle administratif de R.C.P. 42 (Recherche coopérative sur Programme). Elles prennent une ampleur croissante. La composition et les sujets abordés au cours de cet été 1966 montrent toute la nouveauté de ces expéditions. Il faut les comparer aux expéditions polaires traditionnelles basées sur les transports par tracteurs très lourds et limitées, à cause de ces tracteurs, à l'étude des vastes inlandsis glaciaires plats ou à l'étude de la très haute atmosphère. Ces expéditions traditionnelles restent pratiquement sans chercheurs de catégorie A (niveau professeur de faculté ou titulaire d'un doctorat d'état) à cause de la longueur des séjours imposés ; elles ont généralement seulement un ou deux candidats à une thèse et des ingénieurs et techniciens télécommandés depuis Paris ou New York. L'expédition de la R.C.P. 42 en 1966 comprend : - pour le Spitsberg : 34 personnes dont 7 femmes, 10 chercheurs de catégorie A, 5 assistants de faculté faisant des thèses d'état sur le Spitsberg ; - pour le raid de comparaison en Laponie : 10 personnes dont 3 femmes, 5 chercheurs A. Les sujets traités s'écartent délibérément des études sur les inlandsis et sur la stratosphère, études faites avec le succès que l'on sait par les expéditions polaires de P.-E. Victor. La R.C.P. 42 est avant tout une expédition de naturalistes, au sens large du terme. Elle étudie l'influence du froid sur le milieu naturel (morphologie terrestre et littorale, hydrologie, glaciers de montagne, biologie animale, géochimie, géologie polaire, etc.). Elle veut familiariser un certain nombre de spécialistes français avec les problèmes de la taïga, de la toundra au sol profondément gelé, des montagnes alpines polaires, de la banquise littorale. Il était indispensable de ne point se contenter de répéter les travaux et les méthodes de nos prédécesseurs. La R.C.P. 42 a résolument ouvert de nouveaux secteurs de recherche avec des méthodes nouvelles. Nous fûmes entre autres les premiers à concevoir des observations s'étendant sur dix années pour étudier les glaciers polaires de type alpin. Nous fûmes également les premiers à utiliser à une grande échelle le scaphandre autonome pour l'étude des zones littorales de 0 à 50 m au-delà du 75e degré de latitude nord. Nous pensons être les premiers à expérimenter les traîneaux sur coussin d'air dans le monde polaire. Pourquoi te Spitsberg ? Parce que c'est la terre polaire la plus proche de la France. Si de France on se dirige droit vers le nord on passe au large de la côte ouest du Spitsberg. La Scandinavie, Laponie comprise, avec son climat anormalement doux pour la latitude, offre une route facile. On comprend que de tous temps, cette proximité relative ait attiré les Français. C'est en français qu'écrivait le découvreur du Spitsberg : Barentz. Ce sont des baleiniers français (de Dunkerque à Bayonne par la Bretagne) qui s'établirent sur ses côtes occidentales pour chasser, avec les autres baleiniers septentrionaux, les baleines géantes du Spitsberg (aujourd'hui disparues, mais qui devaient être le plus grand mammifère jamais connu). C'est pour soutenir ces baleiniers que Louis XIV envoya sa flotte de guerre par 80° de latitude nord pour écraser les Hollandais, et que le Spitsberg fut déclaré colonie française sous le nom d'Arctique François, avec une base fortifiée permanente dans le nord-ouest de l'île. Ces prétentions furent rapidement abandonnées au profit de la Norvège, mais durant tout le xixe et le début du xxe siècle des missions scientifiques effectuèrent des travaux. Ce sont elles par exemple qui levèrent la première carte régulière au 1/1. 000. 000e de la région nord-ouest à laquelle nous nous intéressons particulièrement. Pour nous, la première expédition en Laponie eut lieu en 1951, la première expédition au Spitsberg (3 personnes) en 1952. Les expéditions au nord du Spitsberg se continuent chaque été (à partir de mai) depuis 1963. La création de la R.C.P. 42 qui leur assure un cadre administratif, date du Tr janvier 1964. Pour assurer la sécurité et permettre un travail scientifique utile, nous avons construit en trois ans une base-laboratoire comportant quatre bâtiments principaux permanents et de nombreuses tentes temporaires, des bâtiments annexes en divers points des 350 km de côte qui constituent notre secteur. Nous disposons d'une vedette, avec trois pièces chauffées, pour la plongée et le transport des personnes dans les fjords (Baie du Roi, Baie de la Croix, Baie des Anglais), de petites barques légères qui malheureusement souffrent beaucoup des icebergs, d'un tracteur léger en voie de remplacement pour le transport du matériel."". - Spitzberg, en norvégien Spitsbergen, est une île de Norvège située dans le Svalbard, un archipel formant un territoire de ce pays. - Sur cette île est installée la réserve mondiale de semences du Svalbard, une énorme chambre froide et forte conservant des échantillons de l'ensemble des graines vivrières de la planète en vue de la conservation de la biodiversité. L'ancien village minier de Ny-Ålesund est aujourd'hui une cité scientifique internationale. La France y possède deux stations de recherche : la base Charles Rabot dans le village et la base Jean Corbel à cinq kilomètres à l'est du village, cette dernière (créée en 1964) étant la plus ancienne des stations scientifiques de l'archipel. (idem Wiki)" légères traces de pliures aux coins des plats de la couverture qui reste en bon état, tampon de particulier au coin supérieur droit du plat supérieur, petite déchirure sur la gauche du bas du plat supérieur, sans manques (cela affecte le bas des 9 premières pages), intérieur propre, papier à peine jauni, pliure au coin inférieur des 8 premières pages, cela reste un bon exemplaire, augmenté d'un envoi autographe signé, sans doute de Jean Corbel à un collègue spéléologiste. - NB : Cette publication de 1966 sur les travaux de 1964-1965, orientée sur la géologie, conserve son actualité aujourd'hui avec le réchauffement climatique et les problèmes que cela génère dans les régions polaires.
Editions Beauchesne. Avril 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 155 pages.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
Sommaire : Communautés de base et théologie pratique par Alois Müller et Norbert Greinacher, Le mouvement des communautés chrétiennes de base en Italie par Marcello Vigli, Communautés de base aux Etats Unis par Richard Westley, Les communautés de base en Amérique Latine par José Marins Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne
PRESSES POCKET N°5. 1990. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 143 PAGES. . . . Classification Dewey : 4-Traitement des données. Informatique
dBASE III PLUS - Micro informatique p.s.i. N°4501- guide rapide, initiation facile, micro memento- creation d'une base donnees, consultation de la base, saisie, mise a jour d'une base, travail sur un tableau, pointeur d'enregistrement, utilisation de plusieurs bases, ajout fusion et eclatement, etiquettes, calculer, imprimer, programmer, echanges de donnees avec d'autres logiciels, parametres Classification Dewey : 4-Traitement des données. Informatique
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La base aérienne 142 Boufarik était un site opérationnel de l'Armée de l'air, situé sur le territoire de la commune de Boufarik, près de la ville de XXX, en Algérie française.Elle était active de 19XX à 1962.