‎HISTORAMA. Spécial/hors série. N°6‎
‎LA CAVALERIE FRANCAISE‎

‎Album De La Cavalerie Française] - A Robert d'Orléans Duc De Chartres Colonel Du 12ème Régiment De Chasseurs à Cheval‎

‎Armand-Dumaresq Imprimerie Lemercier et Cie 45,5 x 34,5 Paris Album grand in-4, reliure demi-chagrin bordeaux à coins début XXème, dos à quatre nerfs, filets et titres dorés. Recueil, dédié à Robert d'Orléans duc de Chartres et signé par l'auteur, composé d'une page de titre imprimée comportant la dédicace et d'une suite de 66 planches contrecollées sur papier fort en recto, montées sur onglet. Il n'y a pas de pages de texte. La page de titre en noir est encadrée d'un cuirassier et d'un chasseur à cheval et comporte à gauche la signature "Armand-Dumaresq 1880" et à droite la mention "Imprimerie Lermercier et Cie Paris". Les 66 planches, lithographies d'après les dessins d'Armand-Dumaresq, sont rehaussées de couleurs. Elles représentent chacune des soldats à pied ou à cheval, sur la rangée supérieure et en dessous, les étendards. Elles sont numérotées en haut à droite de Pl.1 à Pl.66 et portent toutes la mention en bas au centre "Imprimerie Lemercier et Cie Paris". Les planches de notre album sont celles, qui seront publiées en 1881, accompagnées d'un texte, par la librairie J. Dumaine, Baudouin et Cie, sous le titre "Album de la cavalerie française, MDCV - MDCCCLXXXI". Chaque planche représente les uniformes et les étendards d'un même régiment depuis sa fondation jusqu'à la Troisième République. Robert d'Orléans (1840-1910) a été chef de corps du 12ème Régiment de chasseurs à cheval de 1878 à 1883. Il est le fils du duc d'Orléans, neveu du duc d'Aumale et le frère du comte de Paris son aîné, prétendant orléaniste au trône de France. Il connait l'exil après la Révolution de 1848, comme tous les membres de la famille d'Orléans. Le duc d'Aumale lui servit de tuteur, le faisant entrer dans l'armée du Piémont en 1859-1860. Il partit ensuite aux États-Unis lors de la guerre de Sécession, sous la conduite de son oncle le prince de Joinville, faisant partie en 1862 de l'armée du Potomac aux côtés de son frère le comte de Paris. En 1871, il rentra en France, combattant sous le nom de « Robert Lefort » avant d'être nommé dans les chasseurs d'Afrique. Il fut mis en non-activité en 1883, à l'âge de quarante-trois ans. Coins et coiffes légèrement usés. Unique et rare exemplaire. Bel ex-libris de J. Baeyens, gravé par Rousselot représentant un caisson d'artillerie avec au premier plan un artilleur de la garde, daté 1932. (ApB53) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST Livre ‎

‎La Cavalerie française dans la guerre mondiale (1914-1918).‎

‎ Payot, 1930, in-8°, 334 pp, préface du général Brécard, 30 croquis dans le texte et hors texte (certains dépliants), broché, bon état (Coll. de Mémoires, études et documents pour servir à l'histoire de la guerre mondiale)‎

‎"Déjà pendant la guerre, la Revue militaire suisse avait pu fournir à ses lecteurs quelques renseignements sur le rôle joué par la cavalerie française. Ces renseignements ont été complétés depuis au fur et à mesure que paraissaient les différents « historiques des corps de cavalerie ». Aujourd'hui, nous avons sous les yeux un ouvrage complet, richement documenté, ne négligeant aucun côté de l'important problème qu'il traite et bénéficiant du recul du temps. Le capitaine Gazin ne s'est pas borné au récit, à la fois clair et vivant, des opérations successivement menées par les grandes unités de cavalerie, il les a commentées, jugées et a su en tirer des leçons opportunes. (...) le capitaine Gazin a raison de rappeler l'opinion du maréchal Foch lui-même « la cavalerie gardera sa raison d'être aussi longtemps que la vitesse et la surprise conserveront leur rôle sur le champ de bataille. » Du chapitre fort instructif qui clôt l'ouvrage et qui est intitulé « Observations et enseignements », je ne veux mentionner qu'une leçon parce qu'elle peut être utile à tous ceux qui ont de la cavalerie sous leurs ordres. Il s'agit de la formidable usure des chevaux au début de la campagne. Cette usure, dont la responsabilité incombe tant au haut commandement qu'aux chefs de la cavalerie, prit de telles proportions que l'arme en resta longtemps pantelante. En quatre mois de guerre de mouvement elle avait perdu le quart de son effectif et ce qui restait encore debout était épuisé à l'extrême. La continuité des efforts exigés, l'abus des marches forcées, les ordres et les contre-ordres, les passages successifs et toujours hâtifs d'une aile à l'autre, d'une armée à une autre, les arrivées tardives dans les cantonnements, la suppression des abreuvoirs, toutes ces causes ont contribué à ruiner prématurément la plus belle des cavaleries. Pour exploiter le succès après la bataille de la Marne et pour la manoeuvre à grande envergure de la course à la mer on ne disposait plus que de divisions squelettiques. La leçon ne fut pas perdue cependant puisque en 1918 le 2e corps de cavalerie se portant au secours des Anglais dans les Monts de Flandres put parcourir 218 kilomètres en 68 heures sur des routes en mauvais état, sur un terrain accidenté, par des itinéraires fréquemment embouteillés et cela avec un déchet de chevaux insignifiant. Il est vrai que les conditions de ces marches forcées étaient essentiellement différentes de celles du corps Sordet en particulier, mais la façon dont elles furent organisées et exécutées indiquent un progrès marqué et une technique cavalière bien supérieure. L'ouvrage du capitaine Gazin, qui se lit comme un roman d'épopée, est illustré de nombreux croquis fort clairs. C'est un livre que tout officier de cavalerie et, plus encore, tout officier ayant à se servir de la cavalerie, devrait posséder dans sa bibliothèque." (Revue militaire suisse, 1930) ‎

‎Carnet de la Sabretache n° 124 - La cavalerie française au cours de la guerre de 1914-1918 par A. Leleu, La cavalerie française en 1914, les cadeaux tactiques par R.G. Ginot, Destruction d'une escadrille allemande par un escadron de dragons, septembre‎

‎Bureau de la revue. 2e trimestre 1995. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 33 à 64. Texte en colonnes. Accompagné de 8 planches en couleurs et noir et blanc, numérotées de 1 à 14.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria‎

‎Bulletin des collectionneurs de figurines et des amis de l'histoire militaire. Sommaire : La cavalerie française au cours de la guerre de 1914-1918 par A. Leleu, La cavalerie française en 1914, les cadeaux tactiques par R.G. Ginot, Destruction d'une escadrille allemande par un escadron de dragons, septembre 1914 par J.C. Bauduin, Une bicentenaire, la prise de la flotte hollandaise par un escadron de hussards par J. de Lassalle Classification Dewey : 355.021-Militaria‎

‎de la cavalerie française‎

‎1868 Imp. Labaume, Lyon. reliure demi cuir, titre et filets dorés sur le dos, 152p. bon état, quelques rousseurs, reliure solide.‎

‎Quelques tableaux. Table : de la cavalerie française - 1: ce qui a été fait : armes rayées - amélioration de l'instruction - conclusion - 2: ce qui reste à faire : rajeunissement de la cavalerie - instruction des officiers - instruction des cavaliers - donner plus de rapidité à la cavalerie - conclusion. ‎

‎Le Hussard - armes anciennes d'origine n° 13 - Cavalerie française, Officiers française, Gendarmerie française, Marine française, Barillets européens, Tir, duel et voyage européen, Petits revolvers US, Gros revolvers US, Armes d'épaules françaises, Armes‎

‎Le Hussard. 1er janvier 1985. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355.8-Armes‎

‎Sommaire : Cavalerie française, Officiers française, Gendarmerie française, Marine française, Barillets européens, Tir, duel et voyage européen, Petits revolvers US, Gros revolvers US, Armes d'épaules françaises, Armes d'épaule US, Winchesters et leviers ou pompe Classification Dewey : 355.8-Armes‎