Julliard. 1969. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 314 pages augmentées de quelques planches de photos en noir et blanc. Quelques traits au crayon en marge du texte sans incidence sur la lecture. Jaquette en bon état.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Reference : R320159797
Traduit de l'allemand par Paul-MArie Flecher. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
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Julliard, 1969, in-8°, 315 pp, traduit de l'allemand, 8 pl. de photos hors texte, cart. éditeur, sans la jaquette, bon état.
Rare. Ce volume de mémoires du Grand Amiral Dönitz, père de la Marine allemande, commandant en chef de la Kriegsmarine, successeur de Hitler, retrace sa longue carrière qui le mena, depuis ses premiers exploits d'officier de marine dans les Détroits pendant la guerre de 14-18, à travers les crises et les soubresauts de la République de Weimar au IIIe Reich et au tribunal de Nuremberg. — "Le successeur de Hitler, dernier chef du Reich grand-allemand et prisonnier de Spandau, où il fut libéré après avoir purgé jusqu'au bout ses vingt ans de détention, semblait admirablement placé pour apporter sur le Troisième Reich sinon des révélations, du moins un utile éclairage. Il s'en est tenu dans le présent ouvrage au récit de sa carrière d'officier de marine, zélé et doué, commandant de sous-marin pendant la première guerre mondiale, "pacha" sur un croiseur, enfin organisateur de l'arme navale pour le compte de Hitler. A travers ces souvenirs de combats et de croisières, c'est la personnalité falote d'un officier de pont qui se dessine. Au-delà du métier fait et bien fait, de l'usage intelligent de la torpille et du sextant, Doenitz se refuse sans cesse à toute réflexion sur le destin de son pays, notamment au moment du réarmement et de l'arrivée de Hitler au pouvoir. S'il justifie son refus de hâter la capitulation totale par la nécessité de mettre le plus grand nombre possible de ses compatriotes à l'abri des Russes – ce que la marine allemande fit avec courage et dévouement, – s'il dénonce avec raison l'aveuglement de Hitler laissant passer la chance de mettre l'Angleterre à genoux que lui offrait l'arme sous-marine, jamais il ne se demande pourquoi il a combattu et pourquoi tant de ses meilleurs camarades sont morts. Image parfaite de la servitude sans grandeur que peut comporter la profession militaire." (Le Monde, 1969)