Fernand Nathan. 1945. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 158 pages - nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte - quelques illustrations en couleurs hors texte.. . . . Classification Dewey : 949.5-Grèce
Reference : R320149481
Illustrations en couleurs de Marilac. Classification Dewey : 949.5-Grèce
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Aubier, collection historique, 2009. In-8 broché, couverture couleurs. En belle condition.
"Être un dirigeant politique dans l'Athènes du Ve siècle, c'est bien sûr être présent à l'assemblée comme à la guerre. Mais si Aristide, Thémistocle, Cimon, Périclès, Nicias et Alcibiade sont devenus des " hommes illustres ", c'est aussi parce qu'ils ont su construire une image publique où leurs moeurs étaient une part de leur action politique. Plutarque nous raconte comment ces hommes ont grandi, aimé, festoyé, prié : Cimon, après une jeunesse dissipée, ouvre ses jardins au peuple d'Athènes et devient un des leaders de la vie politique. Alcibiade aime les garçons comme les filles, charme l'assemblée, dirige la flotte et conduit les processions. Ces comportements, qui ne laissent pas de nous surprendre, sont parfaitement intégrés dans un discours qui construit une image chatoyante parfois, émotionnelle souvent, du politique. Pauline Schmitt Pantel remet ainsi en question les frontières du domaine politique d'une manière inédite."
Autrement, collection Guides intmes / Emois, 1987. 3 volumes in-8, cartonnages couleurs, sous coffret illustré. En belle condition.
Epuisé depuis belle lurette.
Paris et Genève, Fischbacher et Jullien, 1903. In-8 broché, couverture imprimée. Nom de possesseur sur garde, pour le reste en belle condition. Portrait de l'auteur en frontispice.
Fayard, 1936, in-12, 320 pp, broché, bon état (Coll. Les Grandes études historiques)
"Ce livre est vivant, alerte, clair, bien informé. Que peut-on souhaiter de plus ? On y suit aisément la lente formation de la démocratie, son épanouissement fugitif au temps de Périclès et son trop rapide déclin dont les causes sont finement analysées. Le développement de l'impérialisme athénien et son influence néfaste sur le régime démocratique qui lui avait donné naissance sont très nettement mis en lumière. Des portraits vivement brossés illustrent au passage les principaux personnages de l'histoire d'Athènes. Le style et les rapprochements suggérés à maintes reprises avec la politique contemporaine consacreront le succès de ce livre auprès du grand public." (Bulletin de Correspondance Hellénique, 1937) — "Aujourd'hui, en historien, M. Robert Cohen considère Athènes dans la forme de son gouvernement. N'est-ce pas à Athènes qu'est née la démocratie, qu'elle s'épanouit, s'étiola et révéla enfin les maux qu'elle pouvait susciter ? M. Robert Cohen a déjà écrit deux solides volumes : La Grèce et l'hellénisation du monde antique (PUF, 1934), une Nouvelle histoire grecque (Hachette, 1935), et, en collaboration avec M. Gustave Glotz, de l'Institut, il édifie une monumentale Histoire grecque qui en est à son quatrième et dernier volume. C'est dire déjà la valeur de son dernier livre. A le lire, l'intérêt ne cesse de croître par les déductions qu'il tire du passé et les leçons qui nous permettent de mieux juger les événements actuels. (...) Après avoir connu une incomparable grandeur sous Périclès, en gardant un équilibre qui avait fait sa force, Athènes s'est trouvée vaincue par les fautes d'une démocratie discoureuse. C'est la conclusion qui se dégage du livre de M. Cohen. « Que pouvait, écrit-il, un Etat dont tous les citoyens se sentaient orateurs et tenaient pour sacré le droit au bavardage, dont chaque individu entendait conserver sa pleine indépendance et ne pas obéir ? Que pouvait un Etat dont avait disparu le respect des valeurs et la notion de toute hiérarchie ? Et pourtant ? Athènes a mis deux siècles à mourir d'un mal dont elle pouvait guérir ; elle n'avait qu'à vouloir. A travers les âges, il est d'autres pays qui surent se redresser sur le bord de l'abîme et forcer le destin. »" (La Croix, 1er mai 1937)
Fayard, 1941, in-12, 320 pp, reliure demi-percaline chocolat, dos à 3 larges nerfs soulignés à froid, pièce de titre basane carmin, fleuron à froid (rel. de l'époque), bon état (Coll. Les Grandes études historiques). Exemplaire très bien relié
"Ce livre est vivant, alerte, clair, bien informé. Que peut-on souhaiter de plus ? On y suit aisément la lente formation de la démocratie, son épanouissement fugitif au temps de Périclès et son trop rapide déclin dont les causes sont finement analysées. Le développement de l'impérialisme athénien et son influence néfaste sur le régime démocratique qui lui avait donné naissance sont très nettement mis en lumière. Des portraits vivement brossés illustrent au passage les principaux personnages de l'histoire d'Athènes. Le style et les rapprochements suggérés à maintes reprises avec la politique contemporaine consacreront le succès de ce livre auprès du grand public." (Bulletin de Correspondance Hellénique, 1937) — "Aujourd'hui, en historien, M. Robert Cohen considère Athènes dans la forme de son gouvernement. N'est-ce pas à Athènes qu'est née la démocratie, qu'elle s'épanouit, s'étiola et révéla enfin les maux qu'elle pouvait susciter ? M. Robert Cohen a déjà écrit deux solides volumes : La Grèce et l'hellénisation du monde antique (PUF, 1934), une Nouvelle histoire grecque (Hachette, 1935), et, en collaboration avec M. Gustave Glotz, de l'Institut, il édifie une monumentale Histoire grecque qui en est à son quatrième et dernier volume. C'est dire déjà la valeur de son dernier livre. A le lire, l'intérêt ne cesse de croître par les déductions qu'il tire du passé et les leçons qui nous permettent de mieux juger les événements actuels. (...) Après avoir connu une incomparable grandeur sous Périclès, en gardant un équilibre qui avait fait sa force, Athènes s'est trouvée vaincue par les fautes d'une démocratie discoureuse. C'est la conclusion qui se dégage du livre de M. Cohen. « Que pouvait, écrit-il, un Etat dont tous les citoyens se sentaient orateurs et tenaient pour sacré le droit au bavardage, dont chaque individu entendait conserver sa pleine indépendance et ne pas obéir ? Que pouvait un Etat dont avait disparu le respect des valeurs et la notion de toute hiérarchie ? Et pourtant ? Athènes a mis deux siècles à mourir d'un mal dont elle pouvait guérir ; elle n'avait qu'à vouloir. A travers les âges, il est d'autres pays qui surent se redresser sur le bord de l'abîme et forcer le destin. »" (La Croix, 1er mai 1937)