IMP. SORDES. 1986. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 127 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.8-Tauromachie
Reference : R320097294
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S.n., Saint-Maixant (Gironde) 1931, 20,5x26,5cm, une page.
Lettre autographe signée de François Mauriac (19 lignes à l'encre noire à en-tête de son domaine girondin de Malagar à Saint-Maixant) adressée à l'abbé Casy Rivière. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, deux déchirures en marge gauche et droite de la missive en raison de la pliure. François Mauriac comprend et apporte tout son appui à l'abbé : "Il est évident que vous êtes appelé à vivre au milieu des âmes de Jésus. Vous êtes trop sensible pour supporter indéfiniment le contact de ceux qui le haïssent. Mais comme je comprends votre désir de ne pas les quitter pour avoir jeté les bases d'une union, d'une fraternité au Christ-Jésus." Il entend aussi lui apporter tout son concours dans tout ce qu'entreprendra Casy Rivière : "Si je pouvais vous aider aussi peu que ce fût, croyez que j'en serais heureux. Quel dommage que je n'aie pas su que vous vouliez aller à Lourdes : j'en arrive ; j'y étais samedi dernier..." et l'invite à Bordeaux lorsque son ami pourra s'y rendre. Beau témoignage de la charité chrétienne qui animait l'auteur de Génitrix et de Thérèse Desqueyroux. - Photos sur www.Edition-originale.com -
3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]
3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.
S.n., s.l. (Paris) 31 Décembre 1896, 13x20cm, une page et demie.
Lettre autographe signée de Francis Viélé-Griffin (32 lignes à l'encre violette depuis son domicile parisien) adressée à Edouard Ducoté, poète, bibliophile et directeur de la revue l'Ermitage depuis 1895. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, annotations à la plume au verso du quatrième feuillet. Francis Viélé-Griffin remercie son coréligionnaire poète à Edouard Ducoté qui lui a dédié son futur recueil Fables et s'excusede l'intrangiseance du Mercure de France qui ne veut publier que des auteurs et poètes estampillés Mercure de France : "... je ne comprends pas l'exclusivisme du Mercure, il m'a étonné et peiné.." Il lui assure n'avoir aucune influence au sein de la revue et de la maison d'édition dirigées par Alfred Valette car il ne s'occupe d'aucune des formalités administratives : "... je n'ai que peu assisté, jusqu'à présent, aux séances du comité où mon influence, au reste, est nulle." En bon ami, Francis Viélé-Griffin désire tempérer la déception d'Edouard Ducoté de ne se voir pas publier par le Mercure : "Mais n'êtes vous pas aussi bien chez Perrin ? " et l'invite à lui rendre visite bientôt pour : "... causer de vos projets d'art..." Intime de Stéphane Mallarmé, ami d'André Gide, de Paul Valéry, de Francis Jammes, d'Emile Verhaeren, Francis Viélé-Griffin est un poète symboliste américain de langue française. Il devient, avec Gustave Kahn, l'un des principaux théoriciens du vers libre. - Photos sur www.Edition-originale.com -
NATHAN. 2016. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 79 pages illustrées en couleur - quelques exercices remplis au crayon à papier. . . . Classification Dewey : 372.7-Livre scolaire : mathématiques
Classification Dewey : 372.7-Livre scolaire : mathématiques
Paris 5 novembre 1939, 13,5x20,8cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe double.
Lettre autographe signée de Jean Wahl adressée à Marc Barbezat, deux pages rédigée à l'encre bleue sur un feuillet. Enveloppe jointe. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Jean Wahl fut l'examinateur de Marc Barbezat pour l'examen de philosophie au baccalauréat, c'est alors que les deux hommes se lièrent d'amitié.En 1940, peu de temps après la rédaction de cette lettre, Barbezat fondera la revue L'Arbalète à laquelle le philosophe collaborera en confiant à son jeune protégé ses tous premiers poèmes. Cette revue deviendra par la suite une maison d'édition qui publiera notamment les premiers et sulfureux textes de Jean Genet. "Il y a beaucoup de points sur lesquels je suis d'accord avec vous ; d'autres non. Montherlant [...] serait sans doute encore plus près de vous que je ne le suis. Et a d'ailleurs résolu de très peu écrire, ces temps-ci, se distinguant par là, heureusement d'autres hommes de lettres, Giraudoux, Duhamel, Romains et tutti quanti. Oui, aimez Stendhal, voilà une admiration que je comprends complètement."Il achève sa lettre évoquant des tableaux de Vélasquez et du Gréco vus à Genève. - Photos sur www.Edition-originale.com -