LA SIRENE. 1921. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. V + 350 pages.. . . . Classification Dewey : 365-Prisons
Reference : R320072905
Classification Dewey : 365-Prisons
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
P., Editions de la Sirène, 1920, in-12, v-350 pp, broché, qqs soulignures crayon, bon état
"Un livre plein de révélations sur la guerre, sur la paix, sur l'économie, sur les finances..." (Le Petit Parisien) — Par Joseph Caillaux (1863-1944). Il commence sa carrière politique parmi les républicains modérés, adhérant à l'Alliance républicaine démocratique à sa création en 1901, alors qu'il est ministre des Finances de Waldeck-Rousseau, avant de rejoindre le Parti radical dans les années 1910, dont il devient rapidement l'une des principales figures. Instigateur de l'impôt sur le revenu et partisan d'un pacifisme libre-échangiste, ses prises de positions et sa personnalité difficile suscitent une haine véhémente parmi ses anciens amis et la droite nationaliste, qui mènent contre lui de violentes campagnes de presse. L'une d'elle débouche sur le meurtre de Gaston Calmette, patron du “Figaro”, par son épouse Henriette Caillaux, événement qui, avec sa propre condamnation pour « intelligence avec l'ennemi » pendant la Première Guerre mondiale, mettra en suspens sa carrière politique... — "Il suffit de lire ce volume d'une haute tenue littéraire, pour comprendre que la politique préconisée par M. Caillaux fut, avant et pendant la guerre, une politique intelligente et clairvoyante. Intelligente, car elle écartait le conflit ; clairvoyante, car elle pouvait limiter le désastre. Il est permis de croire que la guerre aurait pu être évitée, si la France avait eu à sa tête M. Joseph Caillaux, dont la sage et prudente diplomatie avait fait ses preuves en sauvant la paix européenne, lors des incidents marocains. Dans son livre, “Mes Prisons”, M. Caillaux expose ses conceptions sur notre politique intérieure, puis réduit à néant les accusations aussi puériles qu'infâmes sous lesquelles la justice de M, Clemenceau tenta de l'étouffer. Après avoir montré qu'il tint à s'effacer le plus possible aux débuts des hostilités, et que l'« Union Sacrée », qui servit si bien les desseins de la Réaction ne joua point pour lui, M. Joseph Caillaux expose quelles furent ses premières angoisses, au début de 1915. Il lui parut que si les gouvernants commençaient à organiser la guerre, ils ne songeaient pas du tout à prévoir la paix. Or, ne fût-ce que par humanité, leur souci le plus impérieux aurait dû être de chercher à saisir l'occasion la plus favorable pour arrêter le cataclysme. Combien peu nombreux étaient ceux qui, en 1915, songeaient à entrevoir des possibilités de paix ?... Maintenant, nous comprenons que la véritable sagesse et le patriotisme éclairé eussent été, pour tous les peuples, de conclure une paix de transaction, en l'été de 1915, lorsqu'on s'aperçut, des deux côtés des tranchées, que la guerre allait s'immobiliser pendant de longues années. Cette paix, ainsi que M. Caillaux le montre, eût été tout à l'avantage de la France, car elle l'eût laissée plus riche et plus prospère que la paix de 1918. Que de milliers d'hommes seraient encore en vie !... Que de milliards économisés !... Que de ruines évitées !... « La paix qui serait intervenue en 1915, – écrit M. Caillaux – n'eût certes pas été la paix d'écrasement des empires centraux qui a pris place en 1918, mais, si l'on fait le bilan de l'hypothèse et de la réalité, si 'on étudie les choses ert excluant la passion, avec le souci des intérêts de notre pays, force est de constater que la paix après la Marne et l'Yser eût conféré l'hégémonie, l'hégémonie morale s'entend, à la seule nation qui fût victorieuse alors, à la France. En a-t-il été de même en 1918 ? Il me suffit de poser la question... » (page 35)..." (Armand Charpentier, Le Populaire, 2 janvier 1921)
DE LA SIRENE. 3ème tirage. 1920. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 350 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
AUX EDITIONS DE LA SIRENE. 1920. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 349 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
2° édition. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
DE LA SIRENE. 1920. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos plié, Intérieur frais. 349 pages - Des salissures sur le 1er plat et au dos.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
FLAMMARION. 1921. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. IV + 350 pages. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Classification Dewey : 320-Science politique