EDITORIAL EVEREST. 1966. In-12. Cartonné. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 124 pages - Nombreuses photos en noir et blanc et couleurs hors texte - Contre-palts illustrés de plans en couleurs -. . . . Classification Dewey : 946-Espagne, Portugal
Reference : R320040936
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, , 1914-1917. Plus de 1000 lettres et cartes manuscrites.
Correspondance privée exceptionnelle de Léon Meltzheim pendant la Grande Guerre.Cette correspondance privée, rare et volumineuse, comprend plus de 1 100 lettres échangées entre le lieutenant Léon Meltzheim et son épouse Andrée, surnommée affectueusement "Dé", entre juillet 1914 et décembre 1918. Léon, affecté au 30e d’Artillerie, rédigea plus de 750 lettres (84 en 1914, 168 en 1915, 172 en 1916, 117 en 1917, et 150 en 1918), auxquelles s'ajoutent 350 lettres d'Andrée pour l’année 1917, et plus de 120 lettres et cartes manuscrites de la famille et des proches de Léon en 1916.Les premiers mois de la guerre. Dès juillet 1914, Léon Meltzheim, alors âgé de 31 ans, est affecté au 10e SMA sous les ordres du capitaine Desgrais. Ses lettres relatent les conditions difficiles de l'artillerie, les longues marches et le manque de repos, tout en minimisant les détails liés à la guerre pour rassurer sa femme. Léon mentionne parfois la Croix de Guerre qu'il reçoit, tout en minimisant ses activités militaires. Un an plus tard, il évoque des détails sur les gaz de combat et son équipement, notamment des lunettes de protection.La bataille de Verdun et la naissance de Georges. L’année 1916 est cruciale pour Léon, avec la bataille de Verdun et l'attente d'un heureux événement à la maison. Le 30e d’Artillerie est déployé pour protéger les lignes de ravitaillement, mais Léon préfère écrire à Dé pour lui assurer que tout va bien et qu'il se préoccupe de sa santé, notamment de son état de grossesse. En juillet, la naissance de leur fils Georges réjouit Léon, qui écrit : « Quelle joie que ce poupard ! ». Fin 1916, il se dit chanceux d’avoir échappé aux horreurs de Verdun.1917 : Un changement dans la correspondance. À partir de 1917, les lettres de Léon se font plus rares et évitent de décrire la guerre. En revanche, Andrée lui écrit quotidiennement, offrant un point de vue précieux sur la vie à l’arrière. Ses lettres dépeignent la gestion de la vie de famille, les débuts de leur enfant Georges, ainsi que les difficultés économiques de la guerre. Andrée écrit avec une grande fréquence, plus de 300 lettres durant l’année.La correspondance comme témoignage humain. Les lettres échangées entre le front et l’arrière sont d'une valeur inestimable, offrant un témoignage humain des conditions de guerre. Elles reflètent les émotions des soldats et de leurs proches, offrant des détails sur l’expérience vécue, tout en cachant souvent la brutalité des événements. Pour les soldats, la correspondance est un lien vital avec le monde extérieur, et pour les familles, c'est le signe de vie qu'elles attendent avec impatience. L'absence de nouvelles engendre une angoisse partagée entre le front et l'arrière.Documents associés : la correspondance est accompagnée de photographies, de coupons de mandat-lettre, d'un négatif de photographie et d’une monographie rédigée par le fils de Léon, Georges Meltzheim, intitulée Vie de Léon Meltzheim (1883-1972).Un ensemble exceptionnel de lettres conjugales et familiales pendant la Grande Guerre, entre Paris et le front, témoignant des réalités de la guerre et de la vie quotidienne.[Voir : Clémentine Vidal-Naquet, Couples dans la Grande Guerre (Les Belles Lettres) et Correspondances conjugales 1914-1918 (Robert Laffont)].
La nouvelle revue socialiste. 1975. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Papier jauni. 172 pages. Page de titre et tranche de pied légèrement tachées. Dos frotté.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : Dossier : Léon Blum et la question culturelle : Avant-propos - Présentation : Léon Blum et la culture - Léon Blum et la révolution française - Léon Blum, critique littéraire, Stendhal et le beylisme - Léon Blum et la production culturelle (1904-1914) - Léon Blum à Narbonne (1929-1940) - L'image de Léon Blum dans la presse d'extrême droite des années 30 - La politique culturelle du premier gouvernement Blum - La politique scolaire et culturelle du gouv. Léon Blum (1936-1937) vue par un parlementaire de l'époque - ""Le nouveau Portugal"" - Poligique monétaire et inflation - Le PS et la réforme de l'entreprise - Poésie pour vivre - Grenoble : l'action culturelle inachevée ? .. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Belin , Un Savant, une Epoque Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1999 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'un portrait de Léon Brillouin en vignette rouge In-8 1 vol. - 255 pages
quelques illustrations dans le texte en noir et blanc 1ere édition, 1999 Contents, Chapitres : Avant-propos - Une tradition familiale (Eleuthère Mascart et Marcel Brillouin) - Etudes et thèse (Propagation des ondes en milieu dispersif - Les tenseurs en mécanique et en électricité) - Du bleu du ciel à l'effet Brillouin (L'interaction de la lumi-re avec un solide - Effets Brillouin et Raman) - La nouvelle mécanique (A la frontière des mondes classique et quantique, la méthode Brillouin, Wentzel, Kramers - La diffraction d'ondes électromagnétiques par une sphère - Paramagnétisme et fonctions de Brillouin - Les statistiques quantiques) - Les zones de Brillouin et la théorie des électrons dans les solides - De l'Institut Poincaré au Collège de France (Méthode perturbative de Brillouin-Wigner - Théorème de Brillouin) - Entre les ondes et l'information, directeur de la radiodiffusion nationale (Théorie du magnétron) - Démon de Maxwell et théorie de l'information (Entropie, concept nomade) - De nouveaux centres d'intérêt (Premier ordinateur français - Vie, matière et observations, systèmes dynamiques, théorème de Poincaré) - Epilogue - Références, chronologie, oeuvres de Léon Brillouin, index - Léon Nicolas Brillouin, né le 7 août 1889 à Sèvres1 et mort le 4 octobre 1969 à New York, est un physicien franco-américain, essentiellement connu pour ses travaux en mécanique quantique et en physique du solide. Il a notamment travaillé sur la théorie des ondes et la théorie de l'information. - Léon Brillouin entre à lÉcole normale supérieure en 1908. À la fin de sa scolarité, il décide de continuer ses études à lInstitut de physique théorique de Munich dont la direction était alors assumée par Arnold Sommerfeld. Il va y travailler au laboratoire de Max von Laue (1879-1960) sur la physique du solide, qui en était à ses premiers balbutiements. Il rentre en France en 1913 et commence une thèse sur « La théorie des solides et les quanta », quil ne pourra soutenir quen 1921 en raison de sa mobilisation, pendant la Première Guerre mondiale, dans les services de radiotélégraphie. Au cours de sa carrière scientifique, Léon Brillouin apportera à la science des contributions importantes, dont l'effet qui porte son nom, le concept de diffusion Brillouin, et les zones de Brillouin, pour ne citer que l'un des domaines, la physique des solides, où il a su exercer son talent, et qu'il a même contribué à fonder. En avril 1926, Léon Brillouin synthétisait dans le renommé Journal de physique près de dix articles publiés par des physiciens étrangers comme Werner Heisenberg, Max Born ou Pascual Jordan. Il a ainsi joué un rôle important dans lintroduction en France de la mécanique quantique. En 1927, il fut avec Marie Curie, Louis de Broglie, Émile Henriot et Paul Langevin l'un des cinq Français invités au cinquième congrès Solvay3,4, qui marqua la naissance officielle de la mécanique quantique. Il fut titulaire de la chaire de théories physiques à la faculté des sciences de l'université de Paris de 1928 à 1932 avant d'être élu au Collège de France, succédant à son père Marcel Brillouin. Louis de Broglie lui succéda à la Sorbonne. En août 1939, un mois avant la déclaration de guerre à lAllemagne, Léon Brillouin est nommé, en tant que spécialiste de la propagation des ondes, directeur de la Radiodiffusion nationale. Ayant exercé la fonction quelque temps pendant le régime de Vichy, il démissionne à la fin de 1940 et émigre aux États-Unis. Il y enseigne dans plusieurs universités (dont celle de Harvard) et travaille chez IBM de 1948 à 1954. Il est élu membre de l'académie des sciences américaine en 1953. Il terminera sa carrière et sa vie aux États-Unis. Il publie en 1959 Science et théorie de l'information (version anglaise en 1962) où sont examinées les relations entre ces deux disciplines. Il adopte notamment un point de vue de physicien et fait le lien entre l'entropie informationnelle de Shannon et l'entropie statistique de Boltzmann. Un certain nombre de jeux sur le contenu d'information des textes, dus à Shannon, se trouvent répertoriés dans cet ouvrage. Des concepteurs comme Walter Lewino utiliseront le concept pour la réalisation de jeux interactifs très voisins sur Minitel. (source : Wikipedia) infimes traces de pliures sur les plats de la couverture, sinon bon exemplaire, intérieur frais et propre, cela reste un bon exemplaire de la biographie de référence de Léon Brillouin, un immense physicien français, cette biographie de Rémy Mosseri est une des plus détaillée en langue française
Reference : albd281baa9e1499c49
Levinson A. Bakst Leon Bakst Leon. Loeuvre de Leon Bakst pour la belle au bois dormant. In Russian (ask us if in doubt)/Levinson A. Bakst Leon Bakst Leon. Loeuvre de leon Bakst pour la belle au bois dormant. Short description: In Russian (ask us if in doubt).Leon Baksts work for the ballet The Sleeping Beauty. Ballet in 5 Acts based on the fairy tale by C. Perrault. Music by Tchaikovsky. Introductory article by Andre Levinson. Paris. M. de Brunoff 1922.22s. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbd281baa9e1499c49
Lucien Moreau (1875-1932) militant royaliste de l'Action Française
Reference : DMI-1068
(1927)
Lucien Moreau (1875-1932) militant royaliste de l'Action Française lettre autographe signée à Léon DAUDET et Joseph Delest 2 f. in-4, 4 p., [1927] Très importante lettre, explosive, rédigée pendant la traque de Léon Daudet et Joseph Delest du 10 juin au 3 août 1927, d'abord dans les locaux du journal l'Action Française, puis à la Prison de la Santé et enfin sur les routes et dans les demeures où ils se cachèrent pour échapper à la police, suite à leur condamnation à cinq mois de prison pour diffamation dans le cadre de l'affaire Philippe Daudet, fils de Léon DAUDET décédé en 1923 dans des circonstances encore bien mystérieuses aujourd'hui, sur fond de machination politique, les différentes composantes au coeur de l'événement — Léon DAUDET et l'Action Française, les milieux anarchistes et le gouvernement — se renvoient mutuellement la balle et les responsabilités. Joseph Delest, compagnon d'infortune de Léon DAUDET dans cette affaire, a rendu compte de cet épisode dans un livre intitulé Pour une grande cause : en prison et en liberté avec Léon DAUDET (Paris, Éditions du Capitole, 1928). Voyons ce qu'en dit précisément Lucien Moreau à Léon DAUDET, au coeur de la tourmente, dans cette longue lettre qui décrit toute la stratégie à l'oeuvre du camp Daudet pour sa réhabilitation et la réouverture du dossier Philippe Daudet dans des conditions de vraie justice : "Chers amis, Maurras me disait hier combien le temps vous paraît long et nous imaginons sans difficulté, sinon sans peine, tout ce qui vous manque là-bas, ce qui manquerait à n'importe qui à votre place et ce qui vous manque plus qu'à personne. Cela m'a pourtant fait davantage ruminer depuis hier, et je voudrais vous dire comment je vois la situation. Elle gêne certainement beaucoup le ministère. Cachés et les autres en prison, à la veille de l'anniversaire Jaurès, cela le préoccupe aussi exagérément que vous pouvez le penser. Depuis quatre ou cinq jours, on nous dit ou fait dire de divers côtés — parfois par des échos tout bénévoles, de bonne foi, qui ne se sentent pas manoeuvrés comme ils le sont pourtant — la situation est sans issue pour Daudet, le gouvernement n'à qu'à le laisser où il est, il n'y est guère plus libre qu'à la Santé, il se lassera. Mais la vérité nous parait tout autre : c'est pour le gouvernement que la situation est sans issue, s'il ne vous gracie ; et c'est pourquoi, sans ralentir les recherches (qui pourtant font preuve de son désir extrême de vous reprendre), il essaye de vous persuader et de persuader vos amis que c'est vous qui êtes "dans une impasse", — autre preuve du même désir animal qui jusqu'ici lui ôte toute lucidité, et l'enferre de plus en plus, et fait voir de plus en plus son impuissance, ce qui en même temps vous grandit, vous, Léon, plus fort que toutes les forces déployées par la police. Supposons maintenant que vous soyez découvert et puis. Devant l'opinion, c'est un revers — mais il reste que vous aurez fait durer plus d'un mois ce qui parait à tous un paradoxe — et la preuve de force donnée est à peine diminuée. Supposons que vous vous rendiez : cela serait un vrai désastre — à moins que le gouvernement n'accepte les conditions que Pujo a imaginé de lui poser : garanties à vous données quant à la reprise de l'affaire Philippe dans des conditions normales de vraie justice. A cette condition, vous pouvez vous rendre ; sans elle, je ne sais comment nous éviterions que ne se démoralisent tous les gens amis ou tièdes que passionne pour vous le fait que vous tenez, et que vous tenez si bien : suppression immédiate de tout le bénéfice de la belle reddition de la rue de Rome, de la belle réussite de la sortie de la Santé (qui a plu partout bien davantage encore, et n'a été discutée de personne du grand public). Il n'y a pas de doute à mes yeux, vous rendre, c'est un désastre, à moins que la condition "reprise de l'affaire Philippe" ne soit acceptée du gouvernement — auquel cas ce procès moral, et les risques dont vous le payez, vous grandissent encore. Comment en effet, pour nous, oublier ces risques ? Rentrer à la Santé ... d'abord, ces gens furieux d'avoir été bernés vous accordent-ils les mêmes conditions de vie ? On ferait, bien entendu, le cas échéant, toute la musique nécessaire —et aussi pour obtenir votre libération, cette fois de la volonté du gouvernement. On éviterait seulement de recourir aux conversations officieuses, qui n'ont servi qu'à nous amuser de promesses tout à fait illusoires — la dernière, comme les autres, en dépit de tout ce qu'ont prétendu ensuite, soit les menteurs eux-mêmes, qui l'avaient faite, soit les naïfs qui se plaisent à toujours opposé au fait arrivé le "might have been", même quand ce "might" dépend de la volonté d'ennemis lâches et sournois. Par le scandale public uniquement, on s'efforcerait cette fois de tout obtenir ; il faudrait écarter résolument tous délais que demanderaient des négociateurs ... on ne réussira pas tout de suite ; ce seront certainement des jours à patienter encore dans cette Santé déjà trop connue de vous. Alors, qu'est-ce que je conclus ? Il faudrait, chers amis, tenir encore où vous êtes, le plus possible, et au moins quelques jours de plus, — pour laisser le gouvernement réagir, et quant à l'anniversaire Jaurès, et quant à l'affiche que nous allons poser sur la reprise de l'affaire Philippe. La police sur les dents, les banderilles Barthou, ne sont pas pour le gouvernement un régime bien agréable. Ce régime prolongé quelques jours encore, par l'affaire Jaurès, plus les perspectives du procès Philippe — tout cela peut arracher à la lassitude une [non déchiffré] générale qui enfin vous rendrait à nous. Mais si cette [non déchiffré] n'est obtenue ? Alors, choisir le jour le plus opportun, et vous en aller au loin : l'essentiel étant (cela n'est pas impossible) de prendre la précaution de prouver que plus d'un mois vous avez bravé toutes gendarmeries de France ; j'ai pensé à un moyen qui ne serait pas mauvais, et Pujo trouvera sans doute mieux encore. Moyennant cette précaution, vous restez aux yeux de tous (ce qui est essentiel) celui qui fait ce qu'il veut, et quand il le veut". etc. Passionnant document, intime, au coeur de l'affaire Léon DAUDET qui chahuta la vie politico-journalistique français entre 1923 et 1927.