LIBRAIRIE DE L'ASSOCIATION POUR LA PROPAGATION ET LA PUBLICATION DES BONS LIVRES. XIXe SIECLE. In-12. Relié toile grenée. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 280pages - Dos a 4 nerfs - auteur, titre, caissons et filets dorés - Contre-plats marbrés.. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Reference : R320029278
TRADUIT DU SUEDOIS PAR Melle R. DU PUGET. Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
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Ides et calendes, 1951. In/8 (19 x 13 cm) broché, couverture illustrée d'une vignette, 119 pages.
"Gide André – Et nunc manet in te suivi de Journal intime : André Gide a tenu un journal intime pendant près de 60 ans. «Et nunc manet in te» et «Journal intime» sont une tranche de son journal, celle écrite après la mort de sa femme Madeleine. Rédigeant sans aucun artifice littéraire, il raconte certains faits marquants de sa vie conjugale, complexe et torturée. La mort de Madeleine a été une grande douleur pour Gide, qu’il tente certainement de conjurer avec ce plaidoyer qui fait revivre ses souvenirs."
Paris, sans date, (vers 1870-71) ; 1 vol. in-4, du N° 110 au N° 225. Demi percaline brune, dos lisse coiffes frottées. Pas de rousseurs, seule la première page présente quelques pliures, l'exemplaire est en bon état.
Revue hebdomadaire illustrée de bois gravés et de lithographies. Chaque numéro présente une couverture en couleurs suivie de 7 pages. Le Petit journal pour rire a succédé en 1867 au "Journal Amusant", fondé en 1855 par Charles Philippon. Il est toujours dirigé par ce dernier, et la rédaction en chef est assurée par NADAR. Les principaux illustrateurs sont Randon, Berthall, Monta, E. Riou, Marcelin, Bayard, A. Grévin... on rencontre aussi Daumier, Doré et Nadar lui-même.
A Paris, [Impr. de Bailleul ] chez Marchant, an IV- an V [1796-1797]. 5 volumes in-12 de [2]-XIV-543; XVI-464; XVI-476; XVI-463 et [2]-VIII-492 pages, demi-veau moucheté à coins, dos à 5 nerfs ornés de fleurons, filets, encadrements, titres, tomaison et date dorés, tranches rouges, "Bibliothèque de V. Perdonnet" doré aux premiers plats, ex-libris du même. Reliure à peine frottées, papier bleu des plats très légèrement tachés, très rares rousseurs.
Chaque volume débute par une importante table alphabétique des matières. Arrivé à Paris sous la Terreur de 1793, Bailleul installe son imprimerie au 22 de la rue Hautefeuille et fonde à la fin de 1794 le Journal du Commerce, feuille quotidienne patriotique d’obédience libérale. Son œuvre personnelle comprend plusieurs écrits économiques, dont deux périodiques : le Journal des fonctionnaires publics (1796) quotidien imprimé par Marchant, avec Gleizal et Le Vasseur comme rédacteurs; l’Année du négociant et du manufacturier (1803) dirigée en deux volumes avec son frère [Luc Marco, Genèse du risque éditorial, in Management & Avenir 2011/1 (n° 41)].
Reference : 9645
1 recueil in-4, cartonnage Bradel de papier gris-vert, étiquette de titre imprimée au dos. 53 numéros de 2ff, paginés de 1 à 282. Complets. La plupart des numéros sont déreliés à cause de l'assemblage de la reliure à la grecque.
Quatrième année complète de tous les numéros du 1er janvier au 31 décembre, il manque cependant le feuillet de supplément au N°25 du 18 juin, qui contient habituellement des annonces commerciales et avis divers. Par une erreur de pagination la page 121 n'existe pas. Cet hebdomadaire fondé en 1829 devient bihebdomadaire en 1831 puis quotidien à partir de 1850 ; il perdure jusqu'en 1991 avec plusieurs changements de titres et des interruptions, puis fusionne en 1991 avec la "Gazette de Lausanne" pour former le "Journal de Genève et Gazette de Lausanne". (cf. Jean de SENARCLENS, "Un Journal témoin de son temps - Histoire Illustrée du Journal de Genève" 1826 - 1998. Slatkine, 1999).
3 cahiers in-8, manuscrits écrits à l’encre et truffés de documents divers contrecollés, charnières fragiles.100 ff. dont 40 bl. - 78 ff. dont 7 bl.) - 118 ff. dont 25 bl.
Journal d’une jeune fille de la bonne société parisienne s’étalant sur 3 années (de la 7ème à la 9ème de son journal), illustré de cartes postales, photos de famille, herbiers, de quelques dessins (dont un petit portrait d’elle au crayon) et souvenirs divers.L’écriture soignée, le style encore ingénu et quelques fautes d’orthographe corrigées laissent à penser que l’auteur est adolescente ou toute jeune adulte. Rythmé par des promenades dans les forêts de l’ouest parisien, des messes et des tasses de thé, son quotidien évolue aussi parmi le monde des arts et des lettres avec Paul Harel, l’abbé Boissieu ou Maurice Poizat, auteurs amis de la famille. Elle recopie d’ailleurs entre deux récits, ses poèmes préférés. Elle croise Mounet-Sully, Albert Lambert ou cet « imbécile de Jules Truffier », comédiens renommés, lorsqu’elle va au théâtre. Elle visite la ville de Vernon avec comme guide Jules Maciet, mécène érudit, donateur du musée des arts décoratifs… Elle rencontre l’homme politique Pierre Biétry, chef des jaunes, (qui) « fut mon héros, mon idéal suprême ». Elle part visiter la Bourgogne, la Normandie, les bords de Loire, la Bretagne, Evian, Lourdes et Cauterets, qu’elle décrit soigneusement. Elle part en train, en voiture à cheval, en auto, avec sa mère, ses quatre frères et sœurs, des cousins, des amis... Elle séjourne très souvent à la Villeneuve en Chevrie près de Vernon, à l’Aventure, un charmant manoir dont elle explore toute la campagne environnante. Elle joue Haendel au violon avec passion et emmène ses chiennes Miny puis Darling dans ses expéditions. Elle savoure les plaisirs simples du quotidien avec une sagesse pieuse, et ponctue ses récits de remarques délicieusement candides :« Que les infirmes sont bons, et qu’il est cruel de les moquer. »« Que Dieu était bien bon et que je comprenais l’amour des païens pour les astres du firmament. »A travers ce témoignage personnel transparaît une époque, un art de vivre, un état d’esprit et une éducation propre à toute jeune fille de son rang en ce début de XXème siècle.