IMPRIMERIES G. MONT-LOUIS. 1923. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 120 pages - couverture illustrée d'un dessin en noir et blanc - Envoi de l'auteur.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Reference : R320006408
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Superbe recueil entièrement gravé, texte et musique, sur grand papier de Hollande. S.l., 1744. Petit in-8 étroit de (1) f.bl., 1 titre gravé dans un joli cartouche surmonté des armoiries du comte de Clermont avec les emblèmes maçonniques, 40 pp. contenant la Dédicace de Naudot, suivi de « Recueil de chansons nouvelles de la Maçonnerie »51 pp., (1) p., suivi de « Chansons notées pour l'ordre de la Félicité » 16 pp. Maroquin olive, large roulette dorée autour des plats, guirlande dans les angles, armoiries au centre, dos lisse orné, roulette intérieure et sur les coupes dorées, doublures et gardes de moire jaune, tranches dorées. Reliure de l'époque. Etui.178 x 90 mm.
« The dedication copy for the Comte de Clermont, one of the most eccentric personages of the Ancien Regime: destined at the age of nine for the church and endowed with enormously rich benefices, he took up a military career without renouncing these, became nominal commander-in-chief of the French armies, but was relieved of his command after a disastrous campaign against the Prussians in 1758. He had literary ambitions, maintained a kind of salon and engineered his election to the Académie which gave rise to much ridicule. In 1744 he was made Grand Master of the French Free Masons, but soon abandoned this dignity to his dancing master Lacorne (Dict. de Biogr. franç.). He amassed a not inconsiderable library (sold by Prault in 1771) employing no less than five different versions of his arms on his bindings ; that on the above binding is reproduced by Olivier, Hermal (pl. 2633, No. 2) from it. - The British Union Catalogue of Early Music identifies the author with Jean-Jacques Naudot, a flute virtuoso who published several compositions for that instrument, although Eitner (VII, 151) doubts their identity. The Hirsch copy (III, 952) also with Clermont's arms, lacks the last 8pp. of part II. - A delightful volume.” (Martin Breslauer)Edition originale de ce recueil ainsi constitué.Bulletin Morgand et Fatout, 4266.C'est en 1737 que paraissait la première édition du recueil ‘Chansons notées de la très vénérable Confrérie des Francs Maçons, précédées de quelques pièces de poésie convenables au sujet et d'une Marche, le tout recueilli et mis en ordre par Frère Naudot’.Superbe recueil entièrement gravé, texte et musique, sur grand papier de Hollande.Le catalogue de l'Union Britannique de la musique identifie l'auteur avec Jean-Jacques Naudot, un virtuose de la flûte qui publia plusieurs compositions pour cet instrument, bien qu’Eitner (VII, 151) doutât de son identité.Certaines de ces chansons sont la transposition de celles des Constitutions d'Anderson, avec des musiques soit arrangées, soit originales.La question de savoir si ces musiques sont de la composition de Naudot, de Lansa, ou même d'autres, ne semble pas encore tranchée. Lansa publia en effet vers 1744 les Chansons originaires des Francs-Maçons, en s'attribuant dans la préface la paternité de la musique et (en collaboration avec la Tierce) des textes.Après tout, Naudot ne prétend pas avoir fait autre chose que recueillir et mettre en ordre les chansons qu'il publie - à l'exception de la Marche, seule partition d'ailleurs où il fait figurer son nom.Nous avons en tout cas pu identifier que parmi les chansons du recueil certaines utilisent des airs préexistants.Bel exemplaire de dédicace aux armes de Louis de Bourbon-Condé, comte de Clermont (1709-1771), placées dans un support comprenant des emblèmes maçonniques. Le comte de Clermont fut l'un des personnages les plus excentriques de l'Ancien Régime.Destiné à l'âge de 9 ans à une carrière militaire, sans renoncer à ses biens, il devint Commandant en Chef des Armées Françaises, mais fut destitué de son commandement après une campagne désastreuse contre les Prussiens en 1758. Il avait des ambitions littéraires, entretenant un genre de salon et présentant sa candidature à l'Académie des Francs-Maçons français, il abandonna bientôt cette dignité à son Maître de danse, Maître Lacorne.Exemplaire cité par Olivier. (Pl. 2633, fer 2).Provenance : J. Hennessy (1929, n° 196). A figuré au catalogue Breslauer, 104, n° 85, année 1980.
L’exemplaire est orné de la grande Carte Générale des Cotes de France et de 51 cartes à double page, toutes rehaussées, et détaillant tout le littoral des côtes de France depuis Dunkerque jusqu’à Nice. Paris, Desnos, s.d. [1766]. In-4 de 1 f. de titre gravé sur double-page, 1 grande carte dépliante et 51 cartes sur double-page. Demi-veau de l’époque, dos à nerfs orné, pièce de titre de maroquin rouge, tranches rouges. Reliure de l’époque. 270 x 210 mm.
Deuxième édition augmentée de cet important atlas côtier de France, établi par Georges-Louis Le Rouge en 1757 et révisé par Louis Brion de la Tour (1756-1823). Phillips 5998; Tooley, p. 44. L’exemplaire est bien complet de la grande Carte Générale des Cotes de France faisant office de table des matières, et des 51 cartes à double page, toutes rehaussées, et détaillant tout le littoral des côtes de France depuis Dunkerque jusqu’à Nice. La partie marine des cartes est aquarellée en vert d’eau, les cotes parfois en brun pale. Georges-Louis Le Rouge (vers 1712 - vers 1790) est un cartographe, graveur et architecte du XVIIIe siècle, né à Hanovre de parents français. Il quitta Darmstadt après avoir poursuivi de 1727 à 1732 le travail inachevé de son père, une grande carte de Darmstadt, et composa une carte de l’Alsace en cinq grandes feuilles, sans doute à des fins militaires; il réalisa ultérieurement des cartes dans le cadre de la Guerre de Succession de Pologne, entre 1733 et 1735. À partir de 1736 il vécut à Paris, où il se maria pour la deuxième fois en 1741 et remplit la fonction d'ingénieur géographe du roi de France Louis XV au service du comte de Clermont. Dès 1738, il devint lieutenant au service de Maurice de Saxe. En 1744, il fit paraître une carte de la Hollande en 21 feuilles. À partir de 1747 il adapta et traduit des cartes venues d’Angleterre en collaboration avec John Rocque. Il créa en outre et entre autres un Atlas d’Allemagne, en cent feuilles, qui comprenait une description écrite de l'Allemagne, publié en 1759. Ingénieur, nommé «géographe du roi» Louis XV, éditeur spécialisé dans les atlas et ouvrages topographiques, il doit surtout sa célébrité à la publication de nombreuses cartes (1748-1756), plans de batailles (en Allemagne, 1741) et relevés de places fortes restés fameux. Son parcours et ses connexions sociales, à cheval sur l'Allemagne et la France, sont caractéristiques des ingénieurs géographes de son temps, qui circulaient à travers l'Europe du XVIIIe siècle pour acquérir puis faire valoir leurs compétences cartographiques. Bel exemplaire conservé dans sa reliure de l’époque.
Couverture crème souple et imprimée rempliée. Dos bruni. pages non-ébarbées. Bel état du papier malgré de petites piqures sur les pages de garde. Frontispice en noir et blanc représentant un portrait de l'auteur réalisé par Alexeieff.
Paris. Cahiers libres. 1928. 36 pp. In-12. Broché. Très bon état. 1 volume. TIRAGE LIMITÉ. Un des 875 exemplaires sur vélin pur-fil lafuma numérotés.Petite description de la ville de Clermont fournie par Jean Giraudoux.
L’Olimpe, seul recueil poétique important de Grévin, contient les sonnets adressés à sa rétive maitresse Nicole Estienne, « fleur de seize ans », fille de l’imprimeur et médecin Charles Estienne. Publié alors qu’il avait vingt-deux ans, il comporte une centaine de sonnets chantant son amour et célébrant les perfections de l’idole. In-8 de (8) ff., 216 pp. Maroquin bleu nuit à grain long, couronne de lauriers frappée or au centre des plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrure. Mercier Sr de Cuzin.163 x 100 mm.
Édition originale, très rare, des poésies amoureuses adressées par le poète à sa maîtresse Nicole Estienne, fille du médecin Charles Estienne. Il la demanda en mariage mais ne put jamais obtenir sa main.Barbier, IV, 2, n° 50 (Haut. : 153,5 mm) ; Tchemerzine, III, 495 ; Haag, V, 364 ; J. Pineaux, La Poésie des protestants de langue française, pp. 47-48 ; Picot, Catalogue… Rothschild, I, n° 710 ; Émile Paul, Bibliothèque… De Backer, I, n° 340 (« Plusieurs des sonnets de L’Olimpe valent les plus beaux du XVIe siècle », Haut. : 161 mm.)Ce recueil contient les sonnets adressés par l’auteur à sa rétive maîtresse, suivis des Jeux Olimpiques, adressés à la même égérie : des odes, des élégies et des pastorales, dont la première est dédiée à Marguerite de France ; on trouve également la Gélodacrye, où le poète critique sévèrement les abus des ecclésiastiques et la cupidité des grands.Jacques Grévin, né à Clermont-en-Beauvaisis en 1538 et mort à Turin en novembre 1570, homme de théâtre et poète, ami de Ramus, de Du Bellay et de Ronsard, fut dans les dernières années de sa vie le médecin de la duchesse de Savoie, sœur de Henri ii de France ; c’est à sa cour qu’il mourut à l’âge de 32 ans.« Il se fit une réputation brillante : Marguerite de France, épouse de Philibert Emanuel, duc de Savoie, l’emmena en Italie, et le fit non seulement son médecin, mais le consultoit dans ses plus intimes affaires. Grevin joignoit à la connoissance approfondie de son art, les talens aimables de la poësie ; il les accompagnoit d’excellentes qualités et d’une grande douceur d’esprit. Il fut regretté de tous ceux qui le connoissoient, et mourut âgé de près de 30 ans, à Turin, le 5 novembre 1570. La duchesse de Savoye lui fit faire de magnifiques funérailles, et pris soin de sa veuve et de sa fille qu’elle garda toujours près d’elle tant qu’elle vécut. Claude Binet fait de grands éloges de Grévin dans la complainte qu’il fit sur sa mort, et qui fut imprimée en 1573. De Thou vante aussi son esprit et son érudition. »En tant qu'auteur de théâtre, Jacques Grévin fut l'un des premiers (à la suite de Jodelle) à chercher à introduire la tragédie en France. En 1561 il publia Cesar, tragédie, imitée d'un original latin par Muret, et une comédie, Les Ébahis, sa pièce la plus importante mais aussi, selon l'Encyclopædia Britannica de 1911, « la plus indécente ».Grévin composa aussi des poèmes, appréciés de Ronsard jusqu'à ce que la religion ne les sépare, Grévin étant un partisan de la Réforme. Après sa conversion au protestantisme, Grévin rompit avec ses amis de la Pléiade et attaqua même Ronsard dans un pamphlet en vers intitulé Le temple de Ronsard. « L’Olimpe » est son chef-d’œuvre.« Plusieurs des sonnets de ‘L’Olimpe’ valent les plus beaux du XVIe siècle ». (De Backer, Paris, 1926, i, n° 340).L’Olimpe s’ouvre sur un sonnet de Ronsard :« A Phébus, mon Grévin, tu es du tout semblableDe face & de cheveux, & d’art & de sçavoir,A tous deux dans le cueur Amour a faict avoirPour une belle Dame une playe incurable. »Suivent deux sonnets, un de J. Du Bellay et un de Rémy Belleau.L’Olimpe, seul recueil poétique important de Grévin, contient les sonnets adressés à sa rétive maitresse Nicole Estienne, « fleur de seize ans », fille de l’imprimeur et médecin Charles Estienne. Publié alors qu’il avait vingt-deux ans, il comporte une centaine de sonnets chantant son amour et célébrant les perfections de l’idole.« Pétrarquisme, platonisme et humanisme partagent l’inspiration du poète ; il vaudrait mieux peut-être parler de ronsardisme, du ronsardisme des sonnets à Cassandre, à quoi se mêlent des éléments plus personnels ». (J. Pirreaux. La Poésie des protestants de langue française, 1971, p. 47-48).Ce volume est très rare et manque à plusieurs grandes collections poétiques comme Viollet-le-Duc ou Herpin et, selon le rédacteur du catalogue La Roche Lacarelle, il s’agit là de « l’ouvrage le plus rare de Jacques Grévin ».Superbe exemplaire à marges immenses : hauteur de 163 mm contre 153 mm pour l’exemplaire Barbier et 161 mm pour le bel exemplaire de Backer.Note manuscrite ancienne Nicole Estienne p. 40.
BOUR, Charles - CLERGET, Hubert - BERTRAND, Joannès - MOURTON, Nicolas
Reference : 102244
Publié par Talbot (18..-18..- éditeur d'estampes) Lemercier, Joseph (1803-1887 - Imprimeur lithographe), sans date, 2 volumes de format oblong de 160x235 mm environ, contenant chacun 1 titre-frontispice lithographié en noir et 20 lithographies coloriées+ 1 vue spplémentaire en couleurs : Mont Dore, Lac Ravin, cartonnage toilé de l'éditeur, avec décor doré sur le premier plat "Souvenirs de Clermont" et décor à froid sur le dernier plat. Dos insolé et frotté sur le volume de Costumes, frottements sur les coins, des rousseurs sur les gardes et sur la planche supplémentaire, sinon bon état.
Talbot publie localement (1840-1855) des lithographies concernant les paysages auvergnats et les costumes locaux (ces dernières rentrent dans l'institution). Dans l'album intitulé Souvenirs de Clermont, vous trouverez les illustrations suivantes : Clermont-Ferrand - Clermont-Ferrand vue prise du Calvaire - Thiers, usines du Moustier - Royat, vue prise du ravin - Royat - Château de Tournoel - Châteaugay - Cathédrale de Clermont-Ferrand - Royat, église de Chamalières - Thiers, pont de Seychalis - Clermont-Ferrand, fontaine Delille - Royat, église et grotte vue prise des Chataigneraies - Royat, établissement thermal de St Marc - Grotte de Royat - Thiers, route de Lyon - Intérieur de la Cathédrale de Clermont - Lavoir de Nohanent - Rue des Gras - Thiers, cascade de Salien - Clermont-Ferrand, église du port.Dans l'album des Costumes de Clermont : Métayers de Thiers - Montagnards du Puy-de Dôme - Fileuses de Royat - Paysannes de Royat - Vignerons de Chamalières - Cultivateurs de Courpière - Paysans de Royat - Paysans de Mirefleurs - Thiers, bergère des Garniers - Thiers, laitière des Garniers - Thiers, paysannes des Granétias - Riom, paysanne de St Bonnet (x2) - Blanchisseuse et laitière de Nohanent - Clermont, marchands de bestiaux - Riom, paysans du Marais - Marchands de toile - Femmes du Mont-Dore - Femmes de Latour près du Mont-Dore - Femmes des environs du Mont-DoreLa planche supplémentaire illustre le Lac Pavin. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.