‎Thiollet J.-P. et Quignard-Peyrucq M.-F.‎
‎Les lettres de ma carrière‎

‎LES ANNALES 76e ANNEE N°224 - Images du roman américain d’aujourd’hui, par Raymond LAS VERGNAS, Doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de Paris. — Les valses de Vienne : la carrière fabuleuse des Strauss, par Fanély REVOIL‎

‎AU BUREAU DU JOURNAL. JUIN 1969. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Texte en colonnes. Nombreuses photographies en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.493-Les annales / Conferancia‎

‎Revue mensuelle des lettres françaises. Sommaire : Images du roman américain d’aujourd’hui, par Raymond LAS VERGNAS, Doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de Paris. — Les valses de Vienne : la carrière fabuleuse des Strauss, par Fanély REVOIL, Professeur au Conservatoire national supérieur de musique. — Échec au Roi : le marquis de Montespan, par la Baronne de LA PAUMÉLIÈRE.LES ANNALES DU MOIS, par MAURICE CARITE' - JACQUES NELS - GÉRALD GASSIOT-TALABOT Classification Dewey : 70.493-Les annales / Conferancia‎

‎LES OEUVRES LIBRES N° 9. MADEMOISELLE CARRIERE DE L'ODEON PAR LUCIEN GUITRY SUIVI DE NOTES SUR L'AMOUR EN RUSSIE PAR CLAUDE ANET SUIVI DE LETTRES DE GUERRE D'UN ANNAMITE PAR JEAN MARQUET SUIVI DE L'HONORABLE CARRIERE DE MADEMOISELLE ANGELE PAR L-L MARTIN‎

‎FAYARD.. Mars 1922.. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 382 pages.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

‎Toutes ces oeuvres sont complète dans ce livre. Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

‎Joseph Le Bon dans sa vie privée et dans sa carrière politique.. Notice historique d'après des documents retrouvés en 1858 aux Archives de l'Empire. Quelques lettres de Joseph Le Bon antérieures à sa carrière politique. Ses lettres à sa femme. Réfutation, article par article, du rapport à la Convention‎

‎Paris, Dentu, 1861 in-8, II-375 pp., demi-percaline bleue, dos orné (rel. de l'époque). Rousseurs.‎

‎Forme le complément de deux études publiées en 1845 et 1853 par Émile Le Bon. Celui-ci s'était consacré à la réhabilitation de son père. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎JOSEPH LE BON DANS SA VIE PRIVÉE ET DANS SA CARRIÈRE POLITIQUE, Notice historique d’après les documents retrouvés, en 1858, aux Archives de l’Empire., Quelques lettres de Joseph LeBon antérieures à sa carrière politique., Ses lettres à sa femme pendant les quatorze mois qui ont précédé sa mort., Réfutation, article par article, du rapport à la Convention sur sa mise en accusation. ‎

‎, Paris, E.Dentu 1861, in-8, demi-rel. cartonnée, tit. doré sur pc. de maroquin havane, dos lisse orné de filets dorés encadrants, (rares rousseurs et piqûres), bon état, II-375p.‎

‎[ Deux lettres autographes signées, adressées à Théodore Massiac, collaborateur au Gil Blas : ] 1 L.A.S. de 2 pages, non datée : [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page‎

‎2 L.A.S. à savoir 1 L.A.S. de 2 pages, non datée [ circa 1887 ? ]: [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page‎

‎Très intéressante lettre autographe signée dans laquelle l'écrivain et librettiste Paul Ferrier (1843-1920) évoque sa collaboration avec Fabrice Carré, sa jeunesse d'avocat (et sa robe jetée aux orties pour une moustache !), et évoque la soprano Emilie Mily-Meyer qui tient le premier rôle dans leur dernière oeuvre.‎