Babel éditeur. Juin 2003. In-16. En feuillets. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 60 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Reference : R260260590
Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
[Chaigneau-Brasier] - CHAIGNEAU, Camille ; Automobiles BRASIER ; Automobiles BRASIER
Reference : 56782
(1928)
Lot de 4 documents relatifs aux automobiles Chaigneau-Brasier. I : Tarif Automobiles Chaigneau-Brasier 1er octobre 1928, 1 prospectus format A 4 ; II : Courrier à en-tête Chaigneau Spéciale, Paris, datée du 9 décembre 1927, texte dactylographié format A 4 ; III : Part Bénéficiaire au Porteur de la Société des Automobiles Brasier, avec surcharge Chaigneau-Brasier, complet des 24 coupons ; IV : Action de 100 Francs au Porteur de la Société des Automobiles Brasier, avec surcharge Chaigneau-Brasier, complet des 24 coupons
Intéressant lot, qui évoque le constructeur automobile Brasier puis Chaigneau-Brasier. Fondée en 1902, l'entreprise remporte de nombreux succès dans les courses ; mais malgré l'association tardive avec Camille Chaigneau, elle fait faillite et disparaît en 1930.
s.d. [1953], 21x27cm et un feuillet de 21x18,5cm, 14 feuillets.
| Le snobgermanopratin roule des mécaniques au volant de sa Torpedo|<br>* 14 feuillets rédigés à l'encre violette sur feuillets perforés à petits carreaux. Treize d'entre eux sont numérotés en haut à droite de la main de l'auteur (3, 4, 5, 7, 8, 10, 11, 12ème non numéroté mais sur lequel le texte se poursuit normalement, 13, 14, 15, 16, 19 et 22). Le début du texte manque ainsi que certains feuillets (entre les n°5 et 7, ainsi qu'entre les n°8 et 10 et les n°11 et [12]). Nombreuses biffures, ratures et corrections. Quelques traces marginales d'adhésif. Très beau brouillon en très grande partie inédit témoignant de l'amour inconditionnel du dandy germanopratin pour l'automobile. Passionné de mécanique et de conduite, Boris Vian posséda de nombreux modèles de voitures; sa favorite fut incontestablement sa Brasier Torpédo 1911, ancien taxi de la Marne dont il fit l'acquisition au printemps 1950. Dans un précédent article donné à Constellation et intitulé «Et dire qu'ils achètent des voitures neuves!» (n°46 février 1952), Claude Varnier décritamoureusement leur rencontre : «Ma voiture a quarante ans tout juste: elle a été construite en 1911. Avant de l'avoir trouvée, j'en ai conduit beaucoup d'autres; aucune ne m'a jamais donné autant de satisfaction.» Etrange auto dotée d'un pot de chambre amovible et d'un évier escamotable, à l'image des machines fantastiques que Boris Vian inventa pour ses romans, elle fut la seule à figurer sur la pochette de l'un de ses albums, Chansons possibles ou impossibles, sur lequel figurent les plus grands succès du chansonnier. L'homme et la voiture sont inséparables, Boris y promène Duke Ellington lors de ses visites à Paris «et ce sera un insigne honneur, accordé à quelques jolies femmes de sa connaissance, Eléonore Hirt ou Olga, une voisine, que de prendre la pluie pour des heures, la capote empêchée, sur la route du soleil» (Philippe Boggio, Boris Vian, 1993). En centralien appliqué, il apprécie la conduite capricieuse et la mécanique désuète de sa Brasier, comme en témoigne le manuscrit que nous proposons. Le texte est en effet ponctué de descriptions élogieuses du splendide véhicule:«elle s'est rhabillée de neuf: peinture blanche, cuir rouge, capitonnage exécuté par un ouvrier d'époque, s'il vous plaît.» Claude Varnier loue les qualités exceptionnelles de sa voituretout en soulignant les affres de la conduite d'un modèle ancien: «je suis obligé de la grimper en troisième et le régime du moteur baisse (...) mais une Brasier ne cogne jamais: elle monte ou s'arrête(on n'a d'ailleurs qu'à changer de vitesse pour éviter ce désagréable phénomène ». Son carrosse ne manque pas d'attirer les regards: «il est bon de voir la foule, spontanément, apprécier l'effort d'un isolé pour mettre l'accent sur la qualité française [...] Je vois à votre voiture que vous êtes quelqu'un de bien, qui respecte les traditions. » Si le début du manuscrit est relativement fidèle à la version finale de l'article de Constellation, il en est tout autrement de la suite. En effet, alors que Claude Varnier, parti en virée vers la Normandie, se fait arrêter pour excès de vitesse par un policier, ce personnage n'apparaît pas dans notre manuscrit, où il est éclipsé par la présence de la célèbre Zizi Jeanmaire, proche amie de Boris Vian : «Mon amie Zizi est venue me souhaiter bon voyage; elle apprécie tellement le confort de ces baquets capitonnés qu'elle ne descend qu'à la Porte de Saint-Cloud, la nostalgie dans l'il et cinq cents balles de taxi devant elle, funèbre perspective.Je lui ai bien proposé de l'enlever, mais elle pense que ça se saurait, avec une voiture comme ça...» Le personnage de Zizi est associé à celui d'Odile, «une personne sage». Le Dictionnaire des uvres de Boris Vian nous apprend que «Vian affectionne ce prénom pour ses chroniques de Constellation où il désigne l'épouse du narrateur, parisienne charmante.» Le reste de l'histoire fait la part belle à l'autobiographie. Boris Vian y évoque un séjour à Caen en compagnie de Jo Tréhard, créateur du Festival dramatique de Normandie qu'il rejoint pour qui il écrit le livret d'opéra Le Chevalier de neige en mai 1953: «Jo a un poste municipal et connaît fort bien le maire. Il me le présente.» La rencontre avec le maire de Caen, racontée dans notre manuscrit, est relatée dans la biographie de Philippe Boggio: «Lors du premier voyage à Caen, Boris s'était tout de suite bien entendu avec le maire. Celui-ci était tombé en arrêt devant la Brasier, et avait exigé de la conduire.» Dans cette ébauche non retenue de Constellation, c'est Claude Varnier qui lui propose: «- Monsieur le Maire, que diriez-vous d'un tour d'honneur en Brasier le 26 juillet sur votre circuit de vitesse.» L'alcool fait partie intégrante de l'uvre de Vian (notamment par la création de son célèbre Pianocktail); ce manuscrit n'échappe pas à la règle: Claude Varnier a le sens de la fête et de la boisson. L'hôtelière qu'il rencontre lui offre «un petit calvados» que Claude juge «bien bon». L'apéritif fait bien vite tourner la tête de notre chroniqueur qui déclare au troisième verre: «Ce n'est plus le trou normand, c'est un véritable abîme». Il enchaîne: «Si je continue comme ça, tout l'alcool de la maison va y passer». Reprenant le volant de sa Brasier - et le sujet principal de son article - il souligne avec humour: «Est-ce le calva, est-ce l'air vespéral (J'ai déjà remarqué qu'entre sept et neuf heures, la Brasier peut faire dix à l'heure de plus). J'ai réalisé une incroyable moyenne sur ces derniers kilomètres.» L'article, résolument technique dans sa version finale, prend ici une tournure des plus oniriques. Toute la fin, racontant comment Claude Varnier rêve d'inaugurer le circuit de Caen au volant de son bolide, humiliant les Ferrari et autres Gordini, n'était qu'un rêve provoqué par son ivresse: «Quelques secondes après, je me ranime grâce aux bons offices de Jo qui me passe un linge humide sur le front(...) Dans l'excès de mon émotion je me suis un peu évanoui...» Provenance: Fondation Vian Brouillon autographe signé d'un article de Boris Vian rédigé sous l'un de ses nombreux pseudonymes : Claude Varnier. Il s'agit d'une ébauche de l'article intitulé "Mes vacances comme en 1900" paru dans le numéro d'août 1953 de la revueConstellation. Le manuscrit préparatoire que nous proposons est en très grande partie inédit, Vian y ayant imaginé une toute autre histoire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Société des Automobi sans date In-4, retenu par une cordelette, couverture imprimée ornée d'un décor gaufré.Ravissant catalogue publicitaire du constructeur automobile français Brasier, imprimé par Draeger, composé de deux parties: la première, imprimée sur papier vélin, présente un conte inédit intitulé Il était une fois une automobile écrit par l'auteur et dramaturge français d'origine belge Henry Kistemaeckers (1872-1938), relatant avec humour les aventures d'une famille aristocratique qui achète une automobile Brasier. Elle est illustrée à chaque page par René Vincent de dessins in texte en deux tons. La seconde partie, imprimée sur papier couché, constitue le catalogue technique de la marque automobile, orné de 8 compositions hors texte représentant différents modèles de châssis et carrosseries avec une page entière illustrant 8 modèles de fiacres, omnibus, voitures de livraison, etc. Tirage non précisé. Cet exemplaire était destiné à être offert, car il porte sur le faux titre ce texte imprimé en violet à l'aide d'un cahet: : à Monsieur le propriétaire de l'Hôtel .............. à .............. avec mes meilleurs compliments. Brasier. Brasier fut un constructeur automobile français de 1905 à 1930, date à laquelle il fit faillite. Durant les années 1900, il obtint de nombreux succès en courses automobiles.
[MIRO Juan] BERNARD Sophie, VERDIER Aurélie & al.
Reference : PEINTUREEE9519510724
(2024)
ISBN : 9782382031810
Paris, In Fine éditions d'art / Musée de Grenoble, 2024, 23 x 29, 264 pages sous cartonnage éditeur illustré. Iconographie noir & blanc et couleurs. Catalogue publié à l'occasion de l'exposition présentée au musée de Grenoble du 21 avril au 21 juillet 2024. Complet de son erratum - tiré à part. "Illustré par plus de cent trente oeuvres, l'ouvrage Miró. Un brasier de signes offre un panorama de l'oeuvre de Joan Miró dans les collections du Musée national d'art moderne - Centre Pompidou complété par celles du musée de Grenoble et de la Fondation Miró à Barcelone. De ses années de jeunesse en Catalogne à son installation à Paris au début des années 1920, en pleine éclosion du surréalisme, jusqu'à ses ultimes années à Palma de Majorque, Miró. Un brasier de signes met l'accent sur la force subversive et l'incandescence de sa création, mythologie complexe et duelle où l'azur côtoie les ténèbres, où l'esprit d'enfance n'exclut pas les démons intérieurs. Il offre notamment un regard privilégié sur la dernière période du peintre, celle des années 1960-1970, marquée par une liberté créatrice hors du commun."
Léger écrasement au premier plat du cartonnage.
Paris 1913 In-8 Broché
Revue d'avant-garde fondée par Gaston Picard et dirigée par Robert Veyssié, Marcel Hervieu et Sylvain Royé. Numéro spécial de janvier 1913, consacré au poète Paul-Napoléon Roinard. Important poème de Guillaume Apollinaire: Le Brasier (pp. 6 à 9), et textes de Roger Allard, Nicolas Beauduin, Fernand Divoire, Fernand Fleuret, Paul Fort, Louis de gonzague Frick, Ernest Gaubert, Rémy de Gourmont, Gustave Kahn, Victor-Emile Michelet, Rachilde, Georges Périn, Henri de Régnier, Jean Richepin, Jean Royère,Han Ryner, Emile Verhaeren... Portrait de Roinard en frontispice. Couverture jaune un peu ombrée, mais bon exemplaire de cette fragile publication. Très bon 0