‎Séonnet Michel‎
‎Une vie de quinze ans‎

‎Desclée de Brouwer. Avril 2012. In-8. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 115 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

Reference : R260255918
ISBN : 2220064271


‎ Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

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‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

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Reference : R300011140

(1954)

‎LA REVUE VINICOLE INTERNATIONALE N° 40 ÉDITORIAL : Depuis quinze ans, par M. Gabriel VERDIER.LE VIN DANS LA VIE : Jeunesse et fraîcheur, par Georges ROZET .‎

‎PUBLICATIONS VINICOLES INTERNATIONALES. 1954. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 47 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte - nombreuses pages publicitaires.. . . . Classification Dewey : 634.8-Viticulture, vin‎


‎Sommaire : ÉDITORIAL : Depuis quinze ans, par M. Gabriel VERDIER.LE VIN DANS LA VIE : Jeunesse et fraîcheur, par Georges ROZET Sur la 3* Assemblée Générale de la FÉDÉRATION INTERNATIONALE DES INDUSTRIES ET DU COMMERCE EN GROS DES VINS, SPIRITUEUX, EAUX-DE-VIE ET LIQUEURS :—Entretien à bâtons rompus avec MM. Jean BOURCIER et Pierre VATRON—Le compte rendu technique des travaux .LES VINS DE LA COTE CHALONNAISE, par F. GRIVOTCHRONIQUE DU VIN DE BOURGOGNE : Tastevinage 1954, par un membre du jury.Foire Nationale aux Vins de Mâcon, du 15 au 24 mai, par G. RL’Assemblée Générale du Syndicat de Saône et Loire des Négociants en Vins et SpiritueuxCHRONIQUE DU VIN D’ANJOU ET DE SAUMUR : A la conquête de Paris.Histoire des Vins de France : LE COMMERCE FRANÇAIS DES VINS, par Jacques ESTADASLES EXPORTATIONS FRANÇAISES DE VINS ET SPIRITUEUX EN 1953. - II. - Eaux-de-Vie, Liqueurs et Sirops L’Exportation française de Vins et Spiritueux (statistiques de mars)Les Vins français sur le marché anglais, par Geoffrey FRASER LES PANORAMAS ÉCONOMIQUES de Pierre BERNARD LE TRAITEMENT DES VINS PAR LE FROID : La technique GASQUET, l’UltraréfrigérationUne réussite et un exemple : ALTITUDE LU POUR VOUS : Le Vin de France dans l’Histoire. — La Journée de l’Embouteillage au Congrès de l’Emballage. — La Colombie, pays ami de la FranceLE VIN SUR LES ONDES : Faux Hercule ou Vrai Tartufe, par Gaston MARCHOU.ACTUALITÉS VINICOLES : La Jurade de Saint-Emilion à Paris. — Le Banquet du Commerce parisien des Vins. Classification Dewey : 634.8-Viticulture, vin‎

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Reference : RO10086493

(1975)

‎PARIS MATCH N° 1361 - Quinze ans après, que reste-t-il des Beatles ? par Alain Pelgrand, Le roman photo de leurs aventures, Giscard en Pologne, Les Basques ont leur bonze qui se brule, La vie d'un lad et ses espoirs, Ph. Alexandre juge le syndical‎

‎PARIS MATCH. 28 juin 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 90 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire :Quinze ans après, que reste-t-il des Beatles ? par Alain Pelgrand, Le roman photo de leurs aventures, Giscard en Pologne, Les Basques ont leur bonze qui se brule, La vie d'un lad et ses espoirs, Ph. Alexandre juge le syndical de Séguy, Une réforme du droit de succession par Roger Chateauneu Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R110054045

(1935)

‎EUROPE REVUE MENSUELLE N° 145 - ROMAIN ROLLAND s Quinze ans de combat (I). WILLIAM FAULKNER s Soleil couchant..VICTOR-SERGE : Histoire de Russie.MAXIME GORKI : La vie de Klim Samguine (H)..COMMENTAIRES :jean-richard bloch‎

‎LES EDITIONS RIEDER. 15 JANVIER 1935. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 152.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : ROMAIN ROLLAND s Quinze ans de combat (I). WILLIAM FAULKNER s Soleil couchant..VICTOR-SERGE : Histoire de Russie.MAXIME GORKI : La vie de Klim Samguine (H)..COMMENTAIRES :jean-richard bloch : Parmi les leçons d’un congrès. NOTES DE LECTURES :JEAN GUÉHENNO : « Alexandre aux Indes ».CHRONIQUES DU TEMPS :ERNST-ERICH noth : Le quatrième Reich..LÉON limon : Éh fermentation dans le Danube etles Balkans (fin). EUGÈNE dabit : Les Expositions;COMPTES RENDUS :Eugène Dabit : André Chamson. — Jean Blanzat : Ludovic Massé. — Marc Bernard : Jacques Chardonne. — Jean Blanzat : Pierre Hamp. — Philippe Soupault : Robert de Saint-Jean. — René Maublanc : Karl Marx Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R110054046

(1935)

‎EUROPE REVUE MENSUELLE N° 146 - ROMAIN ROLLAND : Quinze ans de combat (II) ..L. CHAUVET : Meya ..BAYMFORD-PARKES : Les limites du marxisme.. MAXIME GORKI ; La vie de Klim Samguine (III)..COMMENTAIRES :JEAN-RICHARD BLOCH‎

‎LES EDITIONS RIEDER. 15 FEVRIER 1935. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 153 à 304.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : ROMAIN ROLLAND : Quinze ans de combat (II) ..L. CHAUVET : Meya ..BAYMFORD-PARKES : Les limites du marxisme.. MAXIME GORKI ; La vie de Klim Samguine (III)..COMMENTAIRES :JEAN-RICHARD BLOCH : Deux représentations théâtrales.NOTES DE LECTURES :jean guéhenno : Décadence de la vertu. CHRONIQUES DU TEMPS :JULES ISAAC : Réponse provisoire à quelques critiques. LÉON LIMON : Laval, le Duce et le Négus. EUGÈNE DABIT : Les Expositions. DOMINIQUE BRAGA : Les Spectacles..COMPTES RENDUS :Eugène Dabit : Aragon. — Jean Blanzat : Georges Pillementy — Jean Blanzat : André Sevry. — Emmanuel-Flavia Léopold : Negro. — Benjamin Goriely : Advéenka Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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