FAYARD. 2006. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 382 pages. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R260193375
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Paris, Fayard, (avril) 2006 1 vol. (150 x 235 mm) de 383 pp. et [1] f. Broché. Edition originale. Un des 25 premiers exemplaires sur Ingres d'Arches (n° 14). Envoi signé.
L'erreur de Rinaldi est sans doute de s'être rêvé en nouveau Proust, sans en avoir l'épaisseur. «Quand je veux lire du Proust, je ne lis pas Angelo Rinaldi, je lis Proust», avait lancé Philippe Djian (c'était en 1983). Jean-Edern Hallier s'était montré plus féroce, rebaptisant Rinaldi «Tom Proust». Son dernier roman, Où finira le fleuve (Fayard), renouvelle, à l'excès, ce «dédale de subordonnées» qu'évoquait déjà dans Le Monde Josyane Savigneau à propos d'un précédent ouvrage. Où finira le fleuve a pourtant suscité des papiers élogieux, pour ne pas dire dithyrambiques, ici ou là: une page dans Paris Match, par exemple. Ou deux pages dans Le Point, avec ce verdict définitif: «Rinaldi, c'est notre Lampedusa.» La preuve que Rinaldi compte toujours de solides alliés dans la place. «De moins en moins», toutefois, relève un observateur qui a soigneusement pointé les articles sur l'ouvrage. Le roi serait-il nu et vieillissant? «Oui, continue notre observateur. Les derniers à défendre les livres de Rinaldi sont ces spécialistes de la critique littéraire qui ne ratent jamais l'ouvrage d'un académicien, parce qu'ils rêvent d'un fauteuil pour eux-mêmes.» (Daniel Garcia, in L'Express, 2006)