‎ABBE G. JACQUEMET‎
‎A MON FRERE SOLDAT‎

‎SPES / ACTION POPULAIRE. 1926. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 71 pages. Tampons de bibliothèque. . . . Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne‎

Reference : R260168345


‎ Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne‎

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‎[MANUSCRIT] [SARRAT (Louis)]‎

Reference : 214048

‎La Guerre du Tonkin racontée par un soldat du 2me Régiment d'infanterie de marine. du 26 mai 1883 au 13 juin 1886. Souvenir offert à mon frère André Sarrat, soldat à la 5me section d'infirmiers à Orléans, 1895‎

‎S.l. [Gien], s.d. (13 juin 1886) in-folio, titre et 114 pp., couvertes d'une écriture soignée et très lisible (environ 30 lignes par page), [2] ff. n. ch. de tables, cartonnage de papier bouteille de l'époque, dos renforcé, exemplaire déboîté. ‎


‎Très intéressante relation d'un appelé (sous le régime de la loi Cissey du 27 juillet 1872), qui effectua une partie de son service au Tonkin, dans le contexte de la seconde expédition de conquête de la région, et de la Guerre franco-chinoise liée aux opérations des Pavillons noirs.Elle se compose de deux éléments bien distincts, quoique entremêlés dans la rédaction : d'une part, la reproduction de nombreuses pièces officielles, diplomatiques ou militaires relatives au conflit (e.g. le Traité de Hué du 25 août 1883 (ou Traité Harmand, établissant le protectorat français sur l'Annam et le Tonkin, mais aussi un grand nombre d'ordres généraux ou particulier de Brière de L'Isle, commandant le corps expéditionnaire) ; d'autre part, la suite des événements auxquels Louis Sarrat participa en personne.Dans cette dernière, on notera spécialement le voyage aller qui mena le détachement du 2e RIMA de Brest, où il était stationné, à Toulon, où il embarqua, puis à Port-Saïd, à Aden, à Singapour, à Saïgon, Haïphong et enfin Hanoï. Suit le récit des engagements auxquels Sarrat prit part (Combat de Phong, reconnaissance de Phu-Oï, relève de Nam-Dinh, relève de Nim-Binh, prise du fort de Phu-Sa et de la citadelle de Santay, prise de Bac-Ninh et de Hong-Hoa, reconnaissance de Késo, et surtout la prise de Lang Son du 13 février 1885, décisive pour la fin de la campagne et de la Guerre franco-chinoise, enfin marche sur Tuyen Quang). Rien en revanche, et sans surprise, sur les énormes répercussions politiques de l'Affaire de Lang Son en métropole. Le tout se termine par le récit du voyage de retour et des retrouvailles au foyer familial (13 juin 1886), après 43 mois d'absence.Mais le plus intéressant est constitué par une série de notations assez développées sur le pays et ses habitants, regroupées à la fin du texte (pp. 96-111) : données statistiques et militaires sur le Tonkin, excursus sur les Pavillons noirs, description d'un village annamite type, des costumes indigènes, des pratiques agricoles, de l'alimentation, des coutumes matrimoniales et funéraires.Le passage le plus étonnant du texte concerne la fausse (mais officielle) annonce de la mort du rédacteur dans les engagements du Kelung (où il ne s'est par ailleurs jamais trouvé). Communication officielle fut adressée au maire de Gien, selon la procédure, ce qui eut pour conséquence la tenue d'un service funèbre "absente corpore" dans la cathédrale d'Orléans, ainsi qu'un article élogieux dans le Républicain orléanais du 6 mars 1885 (Gien. Un héros inconnu, nécrologie par Pierre Defaucamberge). Ce fut une lettre de leur fils bien vivant, datée du 10 mars 1885, qui révéla aux parents de Louis Sarrat l'énormité de l'erreur administrative. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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Phone number : 06 46 54 64 48

EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎DUGAZON ; FAVART ; FAULCON ; PERRIN ; PIIS ; MARLIER ; DEVIENNE ; COUPIGNY ; MEHUL ; GUEROULT ; MAGOL ; JADIN ; CATEL ; DAVRIGNY ; DALAYRAC ; RIGEL ; BERTON ; CRASSOUS ; SOLIE ; CHENIER ; DESORGUES ; CHERUBINI‎

Reference : S534

‎1 - Couplets patriotiques chantés à Montpellier le jour de la Fête du 2 Pluviôse an 7. Air : Comme nos soldats vont grand train : ou, Femmes voulez-vous éprouver : De limprimerie de Tournel. 3 pp. /2 - Le Réveil des patriotes, chant populaire. Air : La République nous appèle (sic). Suivi de : Les nouvelles à la mode. Facétie. Air : Va-t-en voir sils viennent, Jean. P., Bertrand-Quinquet. 8 pp. /3 - Couplets faits & chantés par le Citoyen DUGAZON, aux trois premières représentations, de par le Peuple & pour lui, après le Marchand de Smirne. Air : Des Dettes. 7 pp. /4 - LAnti-fédéraliste, chanson républicaine. Air : De la Bergerette, Contredanse. P., Société Thypographique (sic) des Trois Amis. 4 pp. /5 - La Décadence de Beaulieu, par un Officier du 2me Régiment de Dragons. Sur lAir : Je le compare à mon Louis. Suivi de : Chanson grivoise sur Beaulieu. Sur lAir : Vla cque cest qudaller au bois. Et de : Calcul pour Beaulieu ; LAlphabet de Beaulieu ; Vers pour le Général Buonaparte ; Vers pour lArmée dItalie. 8 pp. /6 - Hymnes qui seront chantés le 10 août lan 2 de la république française, à la fête de la réunion ; Paroles du citoyen VARON, musique du citoyen GOSSEC. P., Gérard. 4 pp. /7 - Couplets pour la fête donnée aux généraux BONAPARTE et MOREAU, dans le temple de la Victoire, le 15 brumaire lan 8e de la République. Air : La victoire en chantant, etc. P., Baudouin. 4 pp. /8 - Couplets chantés en lhonneur des généraux et soldats français dans le repas donné dans le temple de la Victoire, au général Bonaparte, le 15 brumaire an 8 de la République française. Air : Hymne des Marseillais. Par le citoyen FAVART. P., Baudouin. 4 pp. /9 - Couplets distribués au Banquet donné par les Membres du Corps législatif aux généraux BONAPARTE et MOREAU, le 15 brumaire an 8, dans le temple de la Victoire. Air : Du Pas de Charge. Par Félix FAULCON. P., Baudouin. 2 pp. /10 - Anniversaire du 14 juillet, célébré le 26 Messidor, an 7 de la République française. Hymne. Air : du Vaudeville des Visitandines. Par PERRIN. 3 pp. /11 - La Carmagnole. Chantée dans le Siège de Lille, avec accompagnement de Guitarre (sic). P., Imbault. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /12 - Vaudeville des Petits Montagnards. P., Imbault. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /13 - De Cécile et Julien, ou le Siège de Lille. P., Imbault. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /14 - Même titre ; autre version. /15 - Couplets républicains par le Citoyen Bauchet la Borde. Air : Chacun avec moi lavouera. P., Frère. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /16 - Exhortation des Républicains Français au départ de leurs Fils pour larmée. P., Frère. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /17 - Couplets de la Fête de la Réunion du 10 aoust 1793, lAn 2° de la République. P., Imbault. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /18 - Stances contre lathéisme, par le citoyen PIIS. Air : Du Vaudeville de lile des Femmes. P., Frère. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /19 - Himne (sic) des Ennemis des Rois. P., Imbault. Musique notée ; texte gravé. 2 pp /20 - Remettez vos culottes. Air : On doit soixante mille francs. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. Pièce doublée, avec de petits manques. /21 - Réponse à la chanson Remettez vos culottes. Air : On doit soixante mille francs. P., Imbault. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /22 - Hymne à la République française une et indivisible. Dédiée au Président de la Convantion (sic) nationale par le citoyen MARLIER. Air : Vous qui damoureuse avanture (sic). P., Frère. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /23 - Romance patriotique sur la mort du jeune Barra. Par AUGUSTE du théatre du Vaudeville. Musique de DEVIENNE. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /24 - Chanson patriotique sur le succès de nos armes. Par COUPIGNY. Musique de GOSSEC. Musique notée ; texte gravé.2 pp. /25 - Stances. Chantées à la fête des élèves pour la fabrication des canons, poudre et salpêtre. Par Pilet. Musique de CATEL. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /26 - Le Chant du départ. Hymne de guerre. Par *** Musique de MEHUL. Musique notée ; texte gravé. 4 pp. Déchirure importante sans manque. /27 - Chanson patriotique. Par GUEROULT. Musique de SOLIE. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /28 - Chant dune esclave affranchie, par le décret de la Convention Nationale, sur le berceau de son fils. Par COUPIGNY. Musique de JADIN. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /29 - La raison du sage. Chanson républicaine. Par GUEROULT. Musique de DEVIENNE. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /30 - La chûte des tyrans. Couplets patriotiques. Par MAGOL. Musique de DEVIENNE. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /31 - LAdoption. Par DESFONTAINES. Musique de JADIN. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /32 - Chant républicain sur la mort dAgricole Viala soldat de XI ans. Par COUPIGNY. Musique de DEVIENNE. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /33 - Hymne à la victoire sur la bataille de Fleurus. Par LEBRUN. Musique de CATEL. Chanté au concert du peuple le 16 Messidor an 2. Musique notée. 4 pp. /34 - Hymne chanté par le peuple à la fête de Barra et Viala, le 10 Thermidor. Par DAVRIGNY. Musique de Mehul. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /35 - Ode à lEtre Suprême. Par AUGUSTE. Musique de DALAYRAC. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /36 - Hymne sur lenfance. Par DESFONTAINES. Musique de RIGEL. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /37 - Hymne à Barra et Viala. Par *** Musique de LANGLE. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /38 - Ode sur lenfance. Par CRASSOUS. Musique de GOSSEC. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /39 - Le chant des victoires, hymne de guerre. Par CHENIER. Musique de MEHUL. Musique notée ; texte gravé. 4 pp. (fortes mouillures). /40 - Hymne à la liberté, à trois voix. Par DESORGUES. Musique de ***. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /41 - LEvacuation du territoire de la République, chanson de guerre. Par LA COMBE. Musique DADRIEN. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /42 - Hymne à la fraternité. Par DESORGUES. Musique de CHERUBINI. Musique notée. 4 pp. /43 - Ode à J.J. Rousseau. Par DESORGUES. Musique de JADIN. Musique notée ; texte gravé. 3 pp. /44 - Hymne à légalité. Par CHENIER. Musique de CATEL. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /45 - Le chant des triomphes de la République Française. Ode. Par LAHARPE. Musique de LESUEUR. Musique notée ; texte gravé. 4 pp. /46 - Adieux dun vieillard à son fils, en lenvoyant aux frontières. Chanson patriotique. Par COUPIGNY. Musique de DALAYRAC. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /47 - Strophes sur le dévouement des citoyens de la Première réquisition. Par *** Musique de BERTON. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /48 - Hymne du IX Thermidor. Par CHENIER. Musique de MEHUL. Musique notée ; texte gravé. 4 pp. /49 - Le chant du 14 juillet. Par CHENIER. Musique de GOSSEC. Musique notée ; texte gravé. 4 pp. /50 - Ode sur le 18 Fructidor. Par **** Musique de CHERUBINI. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /51 - Hymne du 10 août. Par CHENIER. Musique de CATEL. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. /52 - Hymne funèbre sur la mort du général Joubert. Par CHAUSSARD. Musique de CHERUBINI. Musique notée ; texte gravé.4 pp. /53 - Le chant du Ier Vendémiaire. Sur la fondation de la République. Par CHENIER. Musique de MARTINI. Musique notée ; texte gravé.4 pp. /54 - Hymne à lEtre suprême. Par DESORGUES. Musique de GOSSEC. Musique notée ; texte gravé. 3 pp. /55 - Chant patriotique pour linauguration des bustes de Marat et Lepelletier. Par COUPIGNY. Musique de GOSSEC. Musique notée ; texte gravé. 2 pp. 56 - Stances contre le luxe. Par PIIS. Musique de SOLIE. Musique notée ; texte gravé. 2 pp.‎

‎ Ensemble 55 pièces in-8 débrochées, détachées de recueils collectifs ; certaines présentent des mouillures claires ou des salissures ; souvent défauts dusage.‎


Jacques Chaminade - Aix les Bains

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