DELAGRAVE. 1929. In-16. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos fané, Non coupé. 404 pages. Rousseurs sur la couverture.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R260131159
Extraits, notices et annotations de Georges Roth. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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[Paris], , [1694 et 1709]]. 16 pièces en 1 volume in-8, veau brun, dos orné à nerfs, tranches rouges (reliure de l’époque).
Exceptionnelle réunion complète des seize petits traités qui constituent la contribution de l’abbé de Dangeau (1643-1723) à la réflexion philologique, et surtout à la réforme de l’orthographe dont il s’était fait le promoteur. De toute rareté.Contrairement à l’intuition de l’auteur de la longue note manuscrite des premières gardes (signée D. D. et datée du 4 septembre 1865), chaque pièce a dû connaître une sortie séparée, et c’est ultérieurement que certains de ces opuscules furent réunis avec une page de titre factice pour former des recueils cohérents que l’on trouve tels quels dans les bibliothèques, comme les Essais de grammaire (Paris, 1711, avec seulement 5 pièces) ou encore les Réflexions sur la grammaire fransoise (Paris, 1717, avec 10 pièces).Moqué par nombre de ses contemporains (dont Saint-Simon), et également par tous les esprits rétifs à une réforme phonétique de l’orthographe française (qu’il écrivait déjà ortografe), Dangeau fut un philologue de talent, le premier à isoler et décrire les voyelles nasales dans la langue française, le premier aussi à désirer un système qui rapproche le langage écrit de la prononciation réelle.« Les seize opuscules de Dangeau furent imprimés séparément, en 1694, pour ses amis seulement et pour quelques curieux, comme il le dit lui-même » (Quérard). Nous avons ici : I. Premier discours qui traite des voyeles. S.l.n.d., 36 pp.II. Second discours qui tente des consones. S.l.n.d., 24 pp.III. Lètre sur l'ortografe, écrite en 1694. S.l.n.d., 14 pp., un feuillet blanc.IV. [Remarques sur l'orthographe]. S.l.n.d., 13 pp., un feuillet blanc.V. Suite des essais de grammaire. S.l.n.d., 51 pp.VI. Sur l'ortografe françoise. S.l.n.d., 20 pp.VII. Des Principales parties du discours. S.l.n.d., 14 pp., un feuillet blanc.VIII. Des Parties du verbe. S.l.n.d., 64 pp.IX. Sur la comparaison de la langue françoise avec les autres langues. S.l.n.d., 3 pp.X. Considérations sur les diverses manières de conjuguer des Grecs, des Latins, des François, des Italiens, des Espagnols, des Alemans, &c. S.l.n.d., 23 pp.XI. Des Particules. S.l.n.d., [2]-11 pp.XII. Des prépositions. S.l.n.d., 11 pp.XIII. Sur la préposition après. S.l.n.d., 4 pp.XIV. Sur le mot quelque. S.l.n.d., 5 pp., un feuillet blanc.XV. Sur le mot quelqu'un. S.l.n.d., 3 pp.XVI. Utilité de la table du verbe canto. S.l.n.d., 23 pp., un feuillet blanc.Quérard, II, 383 ; Quérard, Supercheries I, 172 ; Cioranescu, XVIIe siècle, 23289 à 23298 et 23300 à 23305.
A Amsterdam, chez Henri Desbordes, 1685. In-12 de (8)-313-(3) pp., maroquin rouge doublé de maroquin rouge, dentelle intérieure, dos orné à nerfs, triple filet doré sur les plats, tranches dorées sur marbrure (reliure de l'époque).
Exemplaire réglé. L'édition originale parut l'année précédente (1684).Cet opuscule sert de prospectus au dictionnaire que Furetière préparait depuis longtemps, mais qui ne parut que deux ans après sa mort. Le dictionnaire attira sur l'auteur le courroux de l'Académie Française à laquelle il appartenait depuis plus de vingt ans, et dont il fut expulsé le 22 janvier 1685.« Quand paraissent les Essais d'un dictionnaire universel personne ne peut plus prétendre que Furetière cache son jeu. Il lui eut été facile de tromper son monde en n'y publiant que des terme techniques. Or, il définit dans un sous-titre, de manière fort précise, le contenu de son ouvrage. Ces extraits sont bien ceux d'un recueil "universel, contenant généralement tous les mots François tant vieux que modernes, et les termes de tous les sciences et les arts [...] le tout extrait des plus excellents auteurs anciens et modernes ». [...] La bonne foi et la maladresse de Furetière sont entières. La réaction annoncée cinq ans plus tôt par Pavillon de tarde pas » (Alan Rey).Bel exemplaire en maroquin doublé. Annotation rayée sur la page de titre.Brunet, II, 1425 ; Sauvy, Livres saisis à Paris de 1678 à 1701, 281.
A Genève, chez G. J. Manget, 1799. 2 vol. in-8 de 461 pp. ; XII-525 pp., 12 planches gravées sur 7 feuilles, demi-veau havane, dos lisse orné, pièces de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Première édition française traduite par le marquis de Courtivron. Recueil d'essais du physicien et philanthrope américain. Le premier volume est consacré à l'oeuvre philanthropique de Rumford : propagation de la pomme de terre, des pâtes alimentaires et des nourritures économiques, suppression de la mendicité et organisation des maisons d'industries pour les pauvres, création des soupes populaires, etc. Le deuxième volume est consacré à l'oeuvre scientifique et aux recherches sur la calorimétrie.Bel exemplaire. Coquelin et Guillaumin II, 562 ; Einaudi, 5605.
A Paris, chez Prault fils, 1738. In-8 de XVI-191-104-(8) pp., veau blond, dos orné à nerfs, tranches rouges (reliure de l'époque).
Deuxième édition publiée la même année que l'originale. Exemplaire sur grand papier vélin.On trouve à la suite de ces Essais quatre contes de fées, genre de composition dont Moncrif lui-même se moqua plus tard. On disait, dans le temps où ils parurent, qu'ils étaient trop sérieux pour des enfants, et pas assez amusants pour ceux qui ne le sont plus.Frontispice gravé. Petit accident à une coiffe, sinon bel exemplaire. Cohen-De Ricci, 721.
A Paris, chez Nicolas Buon, 1627. In-8 de (10)-590 pp. 1 f.bl. (10) pp., 1 f.bl., titre-frontispice, vélin, traces de lacet, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Édition originale rare. Sur le modèle publié quatorze ans plus tôt des Aphorismes Civill and Militarie de Robert Dallington - précepteur du Prince héritier d'Angleterre, Ancelot-Mathias de Mouchemberg rassembla ses réflexions qu'il dédia à Antoine Ruzé marquis d'Effiat. Rentré d'Angleterre où il négocia avec succès le mariage d'Henriette de France avec Charles Ier d'Angleterre, Ruzé d'Effiat fut nommé surintendant des Finances en 1626 un an avant la publication de Mouchemberg.Avec l'adresse au lecteur, cet ouvrage méconnu est aussi remarquable par le choix du terme Essais probablement employé une deuxième fois dans un titre depuis Montaigne, après L'Essai des merveilles de la Nature et des plus nobles artifices du Père Binet en 1621. Mouchemberg était déjà connu en 1627 pour la suite de l'Argenis de John Barclay.Titre-frontispice gravé par Léonard Gaultier. Marque au titre de l'imprimeur Nicolas Buon.Provenance : bibliothèque du Chapitre de Reims avec un ex-libris armorié et un ex dono Michael de Blanzy, 1689 : Ex dono D. ac M. Michaelis de Blanzi pbri. Doct. et profess. Theolo Canoni. Ecc Remensis. 1689 ; ex-libris manuscrit à l'encre du temps en tête d'ouvrage Mr Dondey et Lamais. Des feuillets légèrement roussis mais bel exemplaire en vélin du temps.