"EDITION DU ""MONDE ILLUSTRE"". 1910. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. partiel. décollorée, Dos fané, Intérieur frais. 283 pages. Dos cuir marron, titres et filets dorés. Papier beige et noir. Tranche poivrée. Bords frottés. Epidermures. Tampon sur la page de titres.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"
Reference : R260110679
"Reliure signée ""Club Bordelais"". Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"
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Aix, David, 1766. 18 pp. in 4° déreliées.
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[de l'Imprimerie de Coudert] - CLAUSEL ; RIGNOUX, B ; Duc d'OTRANTE
Reference : 27651
(1815)
1 prospectus in-8 imprimé au recto, de l'Imprimerie de Coudert, Bordeaux, 7 juillet 1815, Corps d'Observation des Pyrénées occidentales. [ La fin des Cents Jours en Gironde ] Ordre du Jour. Le 7 juillet 1815 : "Le Général en Chef ordonne ce qui suit : Le département de la Gironde est mis en état de siège. M. le Général Pegot reprendra le commandement du département. Les arrondissements de de Sous-Préfecture auront des Commandans particuliers, sous les ordres du Commandant supérieur du département. L'arrondissement de Lesparre ressortira du commandement de Blaye, confié à M. le général Donna. L'arrondissement de Libourne demeure sous le commandement du colonel Duchastel. Les arrondissemens de la Réole et de Bazas sont sous les commandement de M. le général Faucher. La ville de Bordeaux et son arrondissement sous sous les ordres du colonel Lurat. Pendant la durée de l'état de siège, les Administrations civiles conserveront l'exercice de leurs fonctions. Les Autorités civiles et militaires se concerteront pour arrêter les mesures propres à garantir la sûreté des personnes, des propriétés, et la tranquillité publique. Les Commandans militaires traduiront devant les conseils de guerre spéciaux, sans le concours d'aucune autorité civile, les espions, les embaucheurs, les prévenus de tous délits tendans à troubler la tranquillité intérieure, à protéger les ennemis de l'Etat, et empêcher les citoyens et les soldats de se porter à la défense de la Patrie" Signé Clausel, pour ampliation : Le Maréchal de Camp, Chef de l'Etat-Major-Général du Corps d'Observation des Pyrénées occidentales B. Rignoux
On joint : Nouvelles Officielles du 2 juillet 1815 (Bordeaux, de l'Imprimerie de Coudert, 1 feuillet in-8).
[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.
Reference : 131888aaf
Verkauf Pro Band/ Vendu Par volume.
150 - Fribourg à l’ère Grégaire. (photogr. de portraits et groupes scolaires au XIXè). (2006)153 - Pierre Joseph Rossier, Photographe. Une memoire retrouvée (20.-)152 - 1888 - 1918. Les premiers photographes amateurs en Gruyère155 - Fribourg au Moyen Age. Le Règne du mouton. (2007)157 - le Mouret. Histoires croisées, destin commun (2007).158 - ATD Quart Monde. Une maison, des vies. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
A Valence, de l'imprimerie de Jacques Montal, 1814, 1 Texte manuscrit au dos: "J'ay envoyé l'état à Mr le sous- préfet des mulets et chevaux qui ont été requis pour le transport des canons et obus de Valence à Lion pour le 15 février 1814 [...]". affiche de 42 x 52 cm, texte sur 3 colonnes ;
En 1814, Napoléon lève une armée pour faire face aux pays européens coalisés contre lui. Face à des forces trés supérieure, l'Empereur abdique et part en exil à l'ile d'Elbe.
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