F. Lanore. Non daté. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en pied abîmée, Intérieur acceptable. 258 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte. 2e plat et dernières pages légèrement pliés. Non daté.. . . . Classification Dewey : 945-Italie
Reference : R240164124
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(Naples) circa. 1825, 18,7x23,8cm, une feuille sous marie-louise.
Aquarelle originale en parfait état de conservation représentant la baie de Naples, inscrite dans la marge inférieure :Napoli S. Lucia a mare. Rare vue du rione de Santa Lucia, quartier historique de Naples, dépeint tel qui l'était dans le premier quart du XIXe siècle, le Vésuve crachant des cendres au fond de la composition. Ce type d'aquarelles napolitaines et la vue du Vésuve en activité était très prisé chez les voyageurs européens fortunés, qui effectuaient le traditionnel "Tour d'Italie", un pèlerinage à travers les paysages bucoliques et les grandes villes d'Italie. Cette aquarelle faisait partie d'un albumamicorumassemblé entre 1825 et 1826, regroupantdes vues de paysages lacustres et de villes portuaires (Naples, le lac de Côme, lac Majeur...) parmi des gravures, lithographies, dessins, et lavis. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Cannes s.d. (8 mars 1885), 11,1x17,2cm, une page et quart sur un bifeuillet.
| "Je veux aller voir Naples, et descendre jusqu'à la Sicile" |<br>* Lettre autographe signée de Guy de Maupassant, au critique Vittorio Pica. 1 pageŒà l'encre noire sur deux page d'un bifeuillet, avec sa mention manuscrite en tête "Cannes. Villa mon plaisir". Enveloppe autographe jointe, avec un manque dû à l'ouverture. Discrets transferts d'encre sépia sur le premier feuillet, d'une autre missive de Maupassant. Charmantelettre de Maupassant à la vue défaillante, annonçant son voyage en Italie, qu'il fera le mois suivant en compagnie du peintre Henri Gerveix et de Henri Amix. Il adresse cette lettre et sa nouvelleYvette au critique littéraire napolitain Vittorio Pica, quifit paraître de nombreuses études dans les revues littéraires italiennesFantasio, Napoli Letteraria et La Tavola Rotonda sur les chefs-d'oeuvre de l'écrivain, dont Mademoiselle Fifi, Pot-Bouille, Une Vie, et Bel-Ami. Accablé par des troubles visuels, Maupassantéprouve le besoin d'une perpétuelle fuite en avant, et fait son grand tour de Côte d'Azur et deMéditerranée dans les années 1880, dont il publierales impressions sous forme de chroniques. "Mon cher Confrère, Excusez si je ne vous écris jamais, mais j'ai les yeux si malades que la seule pensée d'écrire dix lignes me torture. J'ai l'intention d'ailleurs de faire plus, et d'aller vous serrer la main dans le courant d'avril. Je veux aller voir Naples, et descendre jusqu'à la Sicile. Je serai heureux de vous dire toute la reconnaissance que je vous ai pour votre si cordiale confraternité. Je me demande si vous avez reçu Yvette [souligné plusieurs fois]. Dans tous les cas j'en ai encore un exemplaire ici, je vous l'adresse en le recommandantcar les employés des Postes sont plus que suspects. [...]" Le mois suivant cette lettre, Maupassant sillonnera avec ses compères la Riviera Ligure, Savone, Gênes, puis Venise puisNaples et son golfe : "Naples et ses habitants indisciplinés le séduisent davantage. Le désordre et la saleté de la ville l'amusent. Il félicite le laxisme avec lequel ce peuple du soleil appréhende la vie". (Cosimo Campa, Maupassant). On ne sait s'il ira finalement serrer la main de son correspondant napolitain,Vittorio Pica. Ce dernier s'intéresse très tôt aux mouvements naturalistes et symbolistes français : "Curieux de tous les mouvements d'avant-garde, il s'était d'abord occupé des naturalistes - il a entretenu des rapports suivis avec Maupassant, Huysmans et Zola -, ensuite il s'intéressa aux symbolistes, à Mallarmé et à Verlaine surtout, auxquels il a consacré des études d'une justesse admirable" (Petralia, Bibliographiede Rimbaud en Italie cit., p. 37). Collaborateur des plus prestigieuses revues nationaleset internationales de tendance moderniste, il est l'un des premiers fondateursde la Biennale de Venise, dont il sera le secrétaire général de 1920 à 1926. Esthétique missive de l'écrivain pérégrinateur à un grand admirateur de ses oeuvres. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chez Ladvocat, à Paris 1835, In-8 (13x21,5cm), 4 tomes en 4 volumes reliés.
Edition originale française, rare, traduite par Charles Lefèvre sur la quatrième édition. Reliures en pleine basane framboise d'époque. Dos lisses ornés de trois caissons et de filets. Titres et tomaisons dorés. Grande plaque florale à froid estampée sur les plats. Filet doré d'encadrement. Un petit trou de vers au mors supérieur en queue du tome 3. Légers frottemens en coiffes et certains mors. Quelques rousseurs éparses sur un papier demeuré blanc. Bel exemplaire, rare en pleine reliure et dans cette condition. De 1799 à 1825, Colletta fut à la fois un témoin et un acteur de toutes les révolutions napolitaines. Il adhéra ainsi au nouveau gouvernement dès que les Français fondèrent à Naples une nouvelle république en 1799. Dès que Ferdinand IV eut reconquis la cité, il fut jeté en prison. En 1806 les Bourbons furent à nouveau jetés du trône et Joseph Bonaparte s'installa à Naples. Colletta fut alors reconduit dans son rang. En 1812, il fut promu général et directeur des routes et ponts. Il servit sous les ordres de Murat et combattit les autrichiens en 1815. Lors de la Révolution de 1820, il fut appelé par le roi comme conseiller, et combattit à nouveau les Autrichiens en 1821. Lors du rétablissement de l'autocratie, il fut mis en prison pendant 3 mois et échappa à l'exécution grâce à l'intervention des Autrichiens. Colletta connut alors l'exil et on lui permit de résider à Florence où il écrivit son Histoire de Naples. Celle-ci prend place dans une histoire européenne. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chez Pierre Gosse & Isaac Beauregard, à La Haye 1742, In-4 (21x25cm), (2) XXVIII, 656pp. et (2) VIII, 755pp. et (2) VIII, 746pp. et (2) VIII, 684pp., 4 volumes reliés.
Edition originale française, dont la traduction est attribuée à Louis de Bochat et à Desmonceaux. Elle est illustrée d'un portrait au frontispice par Seldemeyer, de 4 vignettes de titre (signées Schl.) répétées et d'une planche de médailles au tome I. Bandeaux de titre et lettrines d'ornements. Reliure en demi basane brune d'époque à petits coins. Dos à nerfs orné de filets. Pièce de titre de basane brune, pièce de tomaison idem. Plats de papier brun moucheté. Coiffes et mors très habilement restaurés. Déchirure dans le caisson de tête du tome IV. Frottements à la pièce de titre du tome IV avec les dorures estompées. Frottements et estafilades sur les plats. Coins émoussés, avec petits manques le long des bordures. Bon exemplaire, bien frais dans l'ensemble. Ex libris manuscrit dans la marge haute du titre : Petri Andrieu. Important ouvrage historique, dans lequel Giannone, qui fut un des grands intellectuels du début XVIIIe, décrit et critique les lois et coutumes administratives de Naples depuis l'époque antique. L'édition italienne date de 1723, mais son introduction en France fut victime de la censure, le pape ayant condamné l'ouvrage comme hérétique et diffamatoire. L'auteur s'en prend en effet aux abus de l'église. Suite aux persécutions de l'église provoquées par la publication de son livre, Giannone se réfugia à Vienne, puis fut livré à la justice par une ruse du Duc de Savoie. Il finira sa vie en prison. Tous les historiens du XVIIIe admirèrent son livre et s'en inspirèrent, Montesquieu préconisant (dans ses Pensées) d'écrire une histoire civile de France ; car en effet, nouveauté dans les études historiques, l'histoire de Naples de Giannone n'était plus qu'une étude historique et ecclésiastique, mais également une histoire culturelle et sociale de Naples. Brunet louera l'excellence de l'ouvrage historique mais déplorera les manquements de la traduction, dont cependant les lecteurs du XVIIIe se satisferont amplement. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., à Vienne & se trouve à Paris 1789, in-8 (22x14cm), 168 pp., broché.
Première traduction française de cet ouvrage paru en allemand à Leipzig en 1784. Brochure d'origine, avec papier d'emballage décoratif de l'époque , des pages d'autres ouvrages ont servi de garde. Histoire de la révolte à Naples en 1646, par un pauvre poissonnier nommé Masaniello, qui devint chef de cent mille hommes, contre l'oppression espagnole telle qu'elle s'exerçait à l'époque. La préface souligne la résonance de ce texte pour nous français qui connaissons des périodes similaires. En fin d'ouvrage, Meissner a placé les articles du nouveau privilège accordé à Naples par la couronne d'Espagne. - Photos sur www.Edition-originale.com -