Payot. 1980. In-12. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 297 pages. Annotation au crayon de papier en page de garde. Tampon en page de titre.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Reference : R240160443
Trad. de l'anglais par F. Roger-Cornaz. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
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Payot 1937 in8. 1937. Broché.
dos recollé couverture défraîchie dos ridé tranche ternie intérieur propre
Pocket 2002 2002. Philippe Alexandre - La derniére reine Victoria: 1819-1901/ Pocket 2002
Très bon état
Paris, Librairie Bloud et Barral, 1901. In-8 relié demi-basane, 399 p. Frontispice : La Reine Victoria. Introduction. Très bon état : cuir très légèrement frotté.
ALEXANDRE (Philippe) et Béatrix de l'AULNOIT.
Reference : 80898
(2000)
ISBN : 9782221090640
Laffont, 2000, gr. in-8°, 422 pp, 16 pl. de gravures en noir et en couleurs hors texte, 3 tableaux généalogiques, broché, couv. illustrée, bon état
Il y a cent ans, la reine Victoria mourait et entrait dans la légende comme une petite dame obèse et impérieuse. Son nom symbolise un siècle d'hypocrisie, d'austérité sourcilleuse, de chasteté puritaine. Le moment est venu de corriger le mythe d'une Victoria « victorienne ». La reine du plus grand empire depuis la Rome antique, la grand-mère de l'Europe, la souveraine de la révolution industrielle était une femme sensuelle qui aimait les hommes beaux, les soldats en uniforme, les Écossais en kilt, les Indiens en turban. Meilleure danseuse du royaume, elle raffolait des bals qui se terminaient à l'aube, elle ajoutait du whisky à son thé, apprenait l'Italien en chantant du bel canto. Séduite par les couleurs de la Méditerranée, elle lança la Côte d'Azur. Aux lords, elle préférait ses serviteurs simples et bons. Son peuple l'appelait « la reine républicaine ». Mais à quarante-deux ans, devenue veuve, elle respecta aveuglément les principes luthériens d'Albert, son prince allemand, qu'elle avait aimé jusqu'à la folie. C'est une Victoria ardente et violente que fait revivre cette biographie sans révérence.