‎ECOLE DE SALERNE‎
‎L'ART DE CONSERVER SA SANTE.‎

‎L'ART DE CONSERVER SA SANTE, composé par l'Ecole de Salerne, avec la traduction en vers français par Mr. B. L. M. + TRAITE DES CAUSES PHYSIQUES ET MORALES DU RIRE RELATIVEMENT A L'ART DE L'EXCITER par POINSINET DE SIVRY‎

‎ 1768 deux livres reliés ensemble en un volume, reliure demi-velin havane moucheté petit in-octavo (binding half calfskin in-octavo), dos long (spine without raised band), décoré or (gilt decoration)roulettes et filets or (gilt line) - titre frappé or (gilt title) - pièce de titre sur fond havane clair (label of title) avec filet or (label of title with gilt line), coiffe supérieure légèrement manquante (head and tail of the spine lightly faded), léger manque sur 2 millimètres carrés, papier peigné aux plats (cover with painting paper), toutes tranches lisses (all smooth edges) bleues (all blue edges), sans illustration (no illustration) excepté une vignette sur la page de titre et des bandeaux et des culs-de-lampe in-texte (illuminated of headpieces and headpieces) gravés sur bois (engraving wood) en noir pour le premier volume et une marque d'imprimeur gravée sur bois (engraving wood) en noir en bas de la page de titre du deuxième livre , XXX pages de discours +72 pages + (3) feuillets de table pour L'ART DE CONSERVER SA SANTE et 134 pages + 1 feuillet d'errata pour TRAITE DES CAUSES PHYSIQUES ET MORALES DU RIRE, sans date (1749) Douai Derbay Editeur, sans date (1749) + 1768 AMSTERDAM Marc-Michel REY Editeur, ‎

‎L'ART DE CONSERVER SA SANTE : Cette version poétique est parue la même année à Paris, chez Le Prieur ; l'édition de Douai est particulièrement rare. (Oberlé : ""Les Fastes"", 329 et Vicaire, 45 pour l'édition de Paris), TRAITE DES CAUSES PHYSIQUES ET MORALES DU RIRE RELATIVEMENT A L'ART DE L'EXCITER : Edition originale."Cet ouvrage est d'un bout à l'autre un écrit raisonné, plein de recherches, de notions et même de découvertes utiles, et qui n'interessait pas moins la philosophie que l'art du Theatre". Barbier IV, 775. Querard VII, 236......en trés bon état malgré l'infime défaut signalé (good condition in spite of the small defect indicated) ‎

‎L'Hygieine ; ou l'Art de conserver la Santé, Poëme Latin de M. Geoffroy, traduit en françois par M. de Launay [ L'Hygiène - édition originale de la traduction ]‎

‎1 vol. in-8 reliure postérieure demie-percaline bleue, chez Pierre-Guillaume Cavelier, Paris, 1774, xlvij-269 pp.‎

‎Edition originale de la traduction française par Delaunay. Etat satisfaisant (pas de pages de garde, coupes très fort. frottées, bon état intérieur par ailleurs). Etienne-Louis geffroy, naturaliste et médecin fort distingué, professeur de la faculté de médecine de Paris, fut reçu docteur en 1748. Il suivit longtemps encore les hôpitaux et la pratique de Bourdelin avant de se livrer à l'exercice de l'art. Il faisait diversion à ses travaux scientifiques en sacrifiant non aux plaisirs, mais aux muses, et renferma les préceptes de l'hygiène dans des vers d'une latinité pure et élégante. On raconte que c'est dans sa voiture, dans les moments où il ne pouvait plus lire, que Geoffroy composa cet ouvrage, auquel on donne un rang honorable parmi les poëmes modernes (Dezeimeris, II, 522)‎

‎L'art de conserver la santé, de vivre long-temps et heureusement. ‎

‎Montpellier et Paris chez l'auteur & Bechet, Gabon 1825 1 vol. broché in-8, broché, couverture de relais, 320 pp. Avec une traduction, en vers français, des vers latins de l'Ecole de Salerne par M. M.-J.-F. Alexandre Pougens. Donné à la suite : POUGENS (Alexandre). Hygiène, ou l'art de conserver la santé (89 pp.). Manque de papier au dos et couverture de relais, sinon bon état de conservation intérieur.‎

‎L'Art de conserver la Santé des Personnes Valétudinaires, et de leur prolonger la Vie. Traduit du Latin de M. Cheyne, avec des remarques intéressantes et un abrégé des propriétés des alimens‎

‎Traduit du Latin de M. Cheyne, avec des remarques intéressantes et un abrégé des propriétés des alimens, 1 vol. in-12 reliure d'époque pleine basane marbrée, dos à 5 nerfs orné, Chez Laurent - Ch. d'Houry Fils, Paris, 1755, 3 ff. n. ch. (faux-titre, titre et avis du traducteur), xxxiv pp., 1 f. n. ch., 517 pp. (mal paginé "417"), 1 f. n. ch. (privilège)‎

‎Les chapitres s'organisent ainsi : De l'Air ; Des Alimens solides & fluides ; Du Sommeil & de la Veille ; Du mouvement & du repos ; Des excrétions & des Sécretions ; Des affections de l'âme ou des passions. Etat très satisfaisant (coiffe arasée, reliure lég. frottée, bon état par ailleurs). Rare traduction française de "An essay of Health and long life".‎

‎Médecine poétique, ou l’Art de conserver sa santé et de vivre mieux, avec indication curative de quelques maladies de la peau et autres affections. Ouvrage utile à la portée de tous les gens du monde.‎

‎Poitiers, Impr. de A. Dupré, Poitiers, Impr. de A. Dupré1872 ; grand in-8, broché, couv. jaune imprimée. 74 pp., 1 f. errata.ÉDITION ORIGINALE rare, publiée à compte d’auteur.Cette curiosité médicale est un traité d’hygiène et de santé en 21 chapitres (ou chants) entièrement rédigé en alexandrins.Sachons que la santé, ce trésor précieux / Est l’unique moyen de vivre vieux, très vieux...De l’Hygiène, Circumfusa, Applicata (vêtements, bains, propreté...), Ingesta (aliments, boissons), Excreta (excrétions et flux périodiques), Geta (veille, sommeil, travaux), Percepta (joie, colère), Réflexions allégoriques, Sur l’art de guérir, Avantage de la poésie sur la prose, Avis à suivre pour avoir une longue et bonne existence, de la Mort, Maladies de peau (toutes sortes de dartres), Un mot sur l’apoplexie (un mot en 88 vers !)Ce docteur Barot (qui mériterait blaviérisation) est né à Gençay en 1795 et mort dans la même commune de la Vienne en 1883. Fils d’un officier de santé, il rejoint à 18 ans la garde de Napoléon et participe aux campagnes militaires de l’empereur. En 1848 il soutient sa thèse de médecine et installe son cabinet à Gençay. Le docteur Barot est un métromane récidiviste. À se demander s’il a jamais pondu de la prose ! Il a publié des milliers de vers en alexandrins (parfois amputés d’un pied), un poème sur le Comice agricole de Civray, un autre sur La Fin tragique du Prince Louis, fils de Napoléon III, un autre à la gloire de Thiers (le Foutriquet, pas la ville des couteaux). La Médecine poétique reste son livre le plus important, suffisamment pour être cité dans le Parnasse médical français, ou dictionnaire des médecins poètes de la France publié par A. Chéreau en 1874.ENVOI AUTOGRAPHE dans al marge supérieure de la couverture hommage de haute considération de la part de l’auteur. Une déchirure à l’angle de la couverture à emporté le nom du destinataire.‎

‎Un médecin poète‎