AMOUR MAXIMUM. 1989. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages agrafées.. . . . Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations
Reference : R240097273
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L’un des 50 exemplaires de l’édition originale « très recherchée » des Pensées de Joubert, imprimée par Chateaubriand, l’ami intime de l’auteur, et réservée aux proches. Paris, Imprimerie Le Normant, 1838.In-8 de 394 pp. et (1) f.bl. Relié en demi-veau bleu marine de l’époque, dos lisse orné de filets dorés.200 x 125 mm.
Edition originale, « tirée à petit nombre et de la plus grande rareté. Joubert était mort en 1824, et c’est à la demande de Mme Joubert que Chateaubriand fit un choix dans les papiers de l’auteur pour publier ce Recueil qui fut distribué à des amis. Cette première édition est très rare ». (Escoffier, Le Mouvement romantique, p. 294). « Très rare, tiré à très petit nombre (50 exemplaires ?), et très recherché. Plusieurs pensées n’ont pas été réimprimées dans les éditions suivantes » (Clouzot 161). « Tiré à un petit nombre d’exemplaires et distribué à des amis. L’éditeur est M. de Chateaubriand, auquel Mme Joubert confia, après la mort de son mari, les petits cahiers écrits au crayon sur lesquels l’auteur avait déposé ses pensées, ses maximes et ses réflexions. M. Joubert n’avait publié pendant sa vie que quelques articles non signés dans les journaux » (La Littérature française contemporaine, p. 419). « Joseph Joubert (1754-1824) sera lié avec Fontanes jusqu’à sa mort par une tendre et fidèle amitié. Pendant quelques mois, Joubert servit de secrétaire à Diderot et travailla sous sa direction à l’Essai sur la bienveillance universelle. Il connut également Restif de la Bretonne et devint l’amant de sa femme. En 1793, Joubert épousa Mlle Moreau de Bussy, et l’année suivante, rencontra Pauline de Beaumont que, quelques années plus tard, il devait faire connaître à Fontanes, et celui-ci à Chateaubriand. En 1800, c’est autour de cette jolie femme et de ces trois hommes que devait se créer un salon qui eut son heure de célébrité. C’est là que Joubert commença à exercer un véritable ascendant sur Chateaubriand à qui il servit pendant des années de mentor, l’encourageant mais le critiquant parfois âprement. Joubert fut une des rares personnes dont Chateaubriand acceptât une telle sévérité ; il profita de ses conseils et lui témoigna un attachement indéfectible. Mais Joubert, aimé et estimé des hommes les plus remarquables de son temps, resta toujours dans l’ombre et, à l’exception des quelques articles parus dans sa jeunesse, ne publia jamais rien. Il écrivait pourtant avec continuité, au jour le jour, dans de petits carnets qu’il tint avec la plus grande régularité à partir de 1786 ; ce sont ces notes menues, raffinées, pleines de sel et de suc dont Chateaubriand devait tirer le petit ouvrage intitulé ‘Recueil des pensées procurées par Chateaubriand’ paru en 1838 ». (Dictionnaire des auteurs, II, p. 665). Dans ses Portraits littéraires, Sainte-Beuve consacre un chapitre entier à l’auteur de ces Pensées : « Bien que les ‘Pensées’ de l’homme remarquable, dont le nom apparaît dans la critique pour la première fois, ne soient imprimées que pour l’œil de l’amitié, et non publiées ni mises en vente, elles sont destinées, ce me semble, à voir tellement s’élargir le cercle des amis, que le public finira par y entrer. Parlons donc de ce volume que solennise d’abord au frontispice le nom de M. de Chateaubriand éditeur, parlons-en comme s’il était déjà public : trop heureux si nous hâtions ce moment et si nous provoquions une seconde édition accessible à la juste curiosité de tous les lecteurs […]. M. Joubert a été l’ami le plus intime de M. de Fontanes et aussi de M. de Chateaubriand […] En littérature, les enthousiasmes, les passions, les jugements de M. Joubert le marquaient entre les esprits de son siècle et en vont faire un critique à part… M. Joubert est un esprit délicat avec des pointes fréquentes vers le sublime […] Sur quantité de points qui reviennent sans cesse, sur bien des thèmes éternels, on ne saurait dire mieux ni plus singulièrement que lui. » (Sainte-Beuve, Portraits littéraires, pp. 306-326). A l’époque le possesseur de cet exemplaire a fait relier à la suite les Sentiment de Napoléon sur la divinité de Jésus-Christ par le Chevalier de Beauterne. (Paris, chez l’auteur, 1841. In-8 de (1) f., viii pp., xix, 32, 83, 8, 4, 3, (1)). Ce même possesseur a rédigé sur la première page de garde une longue notice documentée, à la fois biographique et bibliographique sur cette rare édition des œuvres de Joubert. Plaisant exemplaire réservé à l’un des amis de l’auteur, sans rousseurs, conservé dans sa demi-reliure de l’époque. Provenance : ex libris de la bibliothèque de M. Elie Petit. Le seul exemplaire de cette originale de Joubert répertorié dans ABPC fut vendu 23 000 F par Sotheby’s Monaco en 1989, soit 3500 € il y a 18 ans. Parmi les bibliothèques publiques françaises, seule la B.n.F. en possède un exemplaire. OCLC n’en répertorie aucun.
Editions Le Temps Singulier 1980. Fort in-8 broché de 337 pages au format 31 x 3,5 x 14 cm. Couverture avec petite photo de Serge Gainsbourg et titre imprimé. Dos carré. Plats et intérieur frais, malgré de petites rousseurs sur les tranches. Textes précédés d'un entretien avec Alain Coelho et suivi d'un recueil de pensées, aphorismes et humeurs. Photos, dessins, facsimilés hors texte. Etat superbe. Carte postale éditeur jointe. Edition dans l'année de l'originale, notée " Second Tirage ", imprimée le 12 novembre 1980 avec dépôt légal du 4ème trimestre. On joint 3 cartes postales avec portrait photos de Serge Gainsbourg (Actuel) + 2 caricatures du chanteur par G.Robin et Fabien Moreau, ainsi que le papillon publicitaire des éditions Denoël, pour la parution du livre d'Alain Coelho et Franck Lhomeau.
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PAYOT ET CIE. NON DATE. In-16. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 144 pages - 1 annotation sur la page de faux titre. TRanches dorées - . . . . Classification Dewey : 149.7-Pensées philosophiques, aphorismes
"""LES PETITES ANTHOLOGIES"". Classification Dewey : 149.7-Pensées philosophiques, aphorismes"
Deux Édition originale reliées en 1 volume.1° Longueruana ou recueil de pensées, de discours et de conversations, suivi d'une Chronologie des gouverneurs de Syrie pour les Romains, des pontifes des Juifs et des procureurs de Judée, suivi d'une importante table raisonnée des matières. Belle gravure en frontispice. A Berlin, non nommé (N. Desmarest) - 1754 - xxiij (Avis du Libraire, Avertissement et Catalogue des Ouvrages de l'Auteur), et 391 pages.Par M. Louis du Four de Longuerue, abbé de sept-Fontaines et de Saint Jean-du-Jard. Archéologue, linguiste et historien, spécialiste de géographie ancienne. Enfant prodige protégé de Fénelon. Seul ouvrage philosophique de l'auteur, Longueruana paraitra après sa mort. Recueilli par J. Guijon et édité par Nicolas Desmarest.2° L'oracle des anciens fidèles pour servir de suite et d'éclaircissement à la Sainte Bible. A Berne, non nommé (Provins, Louis Michelin) - 1760 - viij (Épitre dédicatoire, Avis au Lecteur) et 127 pages.Ouvrage anonyme, réponse à L'Oracle des nouveaux philosophes de l'abbé Guyon, paru en 1759 et dirigé contre Voltaire. À travers sept conversations entre lui-même et des juifs polonais qu'il voulait convertir, l'auteur démontre la fausseté et les contradictions de l'Ancien Testament. Très rare impression de Provins, condamnée, brûlée et mise à l'index. Ce Simon Bigex ou Bugex, originaire de Savoie, fut par ailleurs le copiste de Grimm et remplira par la suite, à partir de 1768, la fonction de secrétaire de Voltaire au château de Ferney.Reliure plein veau de l'époque. Dos lisse orné et doré avec pièce de titre maroquin rouge. Triple filet doré encadrant les plats. Plats légèrement frottés. Une dizaine de pages brunies. Bon état. Format in-12°(17x11).
Paris.Firmin-Didot.1810.In-12 en cuir de Russie vert avec filets dorés et couronne comtale dorée sur le 1er plat.Tranches dorées.107 p.Qques piqûres.Reliure avec charnière droite ouverte.Rare. ( Général d'Empire mort en 1846 ).