DEGORCE CADOT. VERS 1868. In-12. Relié. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. VI + 191 pages - titre + auteur + filets dorés sur pièce de titre - tâches sur le 2ème plat - contre plats marbrés - fichette collée sur le 1er contre plat.. . . . Classification Dewey : 370-Education
Reference : R240083414
Avec une préface par Eugène Pelletan. Classification Dewey : 370-Education
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AU BUREAU DE LA REVUE. Décembre 1951. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Est-ce vrai, cette fois ? par Louis Lecoin, L'école et la Liberté par Georges Pascal, Chant de la potence par Yvon de Retz, Le catoblépas au pouvoir par Rhillon, Permanence des castes par Michel Ragon, Un procès est ouvert par Henri Perruchot Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Degorce-Cadot 1868 In-12 reliure demi-basane bordeaux, dos lisse orné de dentelles dorées, 191 pp. Rousseurs.
Bon état d’occasion
CALMANN - LEVY. 1990. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 228 pages.. . . . Classification Dewey : 370-Education
Classification Dewey : 370-Education
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
[A. Sirou Jacques Lecoffre] - MONTALEMBERT, Comte Charles de
Reference : 32024
(1844)
1 vol. in-12 reliure de l'époque demi-veau blond : Défense de l'Ecole Libre devant la Cour des Pairs (Septembre 1831). Du devoir des Catholiques dans la question de la Liberté d'enseignement (Novembre 1843) Sirou, 1844, XI-156 pp. [ Suivi de : ] Trois discours sur la Liberté de l'Eglise, la Liberté d'Enseignement et la Liberté des Ordres Monastiques prononcés à la Chambre des Pairs par le Comte de Montalembert, A Sirou, 1844, VI-211 pp. [ Suivi de : ] Du Devoir des Catholiques dans les Elections, Jacques Lecoffre et Cie, 1846, 94 pp. et 1 f. n. ch.
Rare exemplaire d'une provenance tout à fait remarquable : de la bibliothèque de François Guizot (avec son cachet portant sa devise en titre et faux-titre du premier ouvrage : "Omnium recta brevissima" - le droit chemin est le plus court de tous). On ne peut imaginer provenance plus prestigieuse : François Guizot était bien le premier destinataire visé par le discours de Montalembert, comme en témoignent leurs luttes oratoires du 21 mai 1844. Etat très satisfaisant (rel. frottée avec accroc en coiffe sup., des rouss., rares petites notations au crayon dans le premier titre - passages mis entre crochets)