LE GRAND LIVRE DU MOIS. 2006. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 435 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Reference : R240052546
ISBN : 2286022011
roman. Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
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169 superbes roses dessinées par Redouté rehaussées avec un grand raffinement de coloris très délicats à l’époque. Paris, de l’imprimerie de Firmin Didot, Imprimeur du Roi, 1817-1824. 3 volumes in-folio de I/ 156 pp., 1 portrait hors-texte, 1 frontispice colorié, 56 estampes en couleurs hors-texte, (1) f. de table; II/ 122 pp., 59 estampes en couleurs hors-texte, (1) f. de table; III/ 125 pp., 54 estampes en couleurs hors-texte, (1) p. d’errata, (1) f., pale mouillure en fin du volume 3 n’affectant pas les estampes. Demi-maroquin rouge à coins, dos lisses ornés de filets dorés et roulette estampée à froid formant faux-nerfs, grands fleurons dorés à la rose. Reliure de l’époque ornée de roses. 368 x 270 mm.
[video width="1678" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2024/03/Video-REDOUTE.mp4"][/video] Édition originale du livre légendaire de celui qu’on surnomma le « Raphaël des fleurs» et l’un des plus beaux recueils sur les roses. Dunthorne 232; Hunt, Redouteana 19; Nissen 1599; Pritzel 7455; Ray, French, 89; Stafleu TL2 9748. Elle fut publiée en trente livraisons de 1817 à 1824. Notre exemplaire, relié avec le portrait de Redouté par Gérard, est orné de 170 estampes en couleurs (169 + le frontispice) alors que Dunthorne et Nissen annoncent 168 estampes outre le frontispice. Great Flower Books précise: “Some copies contain 168 plates only, plus the frontispiece”. Cet ouvrage mythique, l’un des plus beaux livres de fleurs imprimés, est aussi l’ouvrage artistique de référence dont les planches furent le plus souvent reproduites dans tous les ouvrages importants de botanique. La qualité artistique des merveilleux dessins de Redouté s’allie à une science anatomique de la fleur et a une fraîcheur de coloris aujourd’hui encore inégalée. Dans l’introduction de l’édition en fac-similé de Schutter, Sir George Taylor note l’appréciation de Gisèle de La Roche: « Redoute and Thory knew, described and figured all the important roses know, in their day. Included were many of the key ancestors of our present day roses. The plates in « Les Roses» have artistic value botanical and documentary value, both for the species and cultivars stiel surviving and for those that have disappeared... » L’illustration se compose d’un portrait de Redouté gravé par Pradier d’après Gérard, d’un frontispice orné d’une couronne de fleurs, gravé par Charlin d’après Redouté, et de 169 planches dessinées par Pierre-Joseph Redouté, gravées au pointillé par Bessin, Chapuy, Langlois, Victor, Lemaire, Charlin et d’autres et imprimées en couleurs par Rémond. Reconnu très jeune pour ses talents de peintre de fleurs, Redouté obtient en 1788 le titre de dessinateur du Cabinet de Marie-Antoinette. Attaché pendant la Révolution au Museum d’histoire naturelle comme dessinateur de botanique, il délaisse la gouache employée jusqu’alors pour les vélins du Muséum pour l’aquarelle. Professeur de dessin de Joséphine de Beauharnais, il est nommé en 1805 «peintre des fleurs de l’impératrice» et c’est à la Malmaison qu’il exécute les premiers dessins destinés à cet ouvrage. Pour mener à bien cette luxueuse publication, Redouté utilise la gravure au pointillé. Mise au point vers 1785 par Francesco Bartolozzi, qu’il avait rencontré à Londres, cette technique, à la fois minutieuse et fastidieuse, revient à graver la plaque d’une multitude de minuscules points. L’imprimeur applique ensuite toutes les encres sur la plaque, «à la poupée» (le doigt entouré d’une bandelette d’étoffe), avant de procéder au tirage de la planche en un seul passage. Chaque planche est ensuite rehaussée à l’aquarelle et parfois à la gomme arabique. Dans son avant-propos, Redouté évoque brièvement ce procédé, qu’il semble ne pas vouloir divulguer, consistant «dans l’emploi de ces mêmes couleurs, sur une seule planche, par des moyens qui nous sont particuliers, et que nous nous proposons de publier un jour. C’est ainsi que nous sommes parvenus à donner à nos gravures tout le moelleux et tout le brillant de l’aquarelle». «Les fleurs de Redouté sont admirables tout à la fois par une exactitude parfaite sous le rapport de la science botanique par l’éclat des couleurs et par la délicatesse et la légèreté de la touche. C’était merveille de voir les mains qui créaient ces chefs-d’œuvre» (André De Voes, Biographie de P.-J. Redouté. Gand, 1873, p. 14). Les rosiers sont classés en trois groupes : les rosiers sauvages, connus dès l’Antiquité, tels l’églantier et le rosier toujours vert; les rosiers du moyen-âge, comme le rosier blanc et le rosier fétide; enfin, les rosiers plus récents, créés à l’époque de Redouté à partir d’espèces importées d’Asie. « Les Roses » demeure l’œuvre de grande délicatesse et d’un raffinement inégalé dont le nom reste attaché à celui de l’artiste. « So well known that it seems almost superfluous to add any more praise after nearly a hundred and fifty years of honours » Stafleu. Le format in-folio de cette belle édition permet pleinement à l’artiste d’exprimer la somptuosité et la délicatesse de ces roses anciennes qui enchantaient les roseraies de Versailles ou de Bagatelle. En 170 estampes qui composent autant de tableaux d’un grand raffinement revivent ces roses moussues, centifolia, gallica, alpina, multiflora, indica, rubufolia, dont les teintes exquises ont été rehaussées à l’aquarelle sous les yeux de Redouté en des coloris magnifiques et subtils, du rose le plus délicat au carmin le plus chaleureux ou au pourpre violacé. Précieux exemplaire bien complet des 171 estampes en somptueux coloris de l’époque. Au cours de ces dernières années trois autres exemplaires de qualité sont répertoriés sur le marché : 1/ Sotheby’s, 15 mars 2000, lot 67: «contemp bds, edges uncut; vorn, spines discolored & chipped, covers spotted. With port, engraved frontis & 169 plates ptd in colors & finished by hand. Some spotting, mainly to text. L.p. copy measuring 555 mm by 350 mm. £276,500 ($440,000 avec frais). 2/ Piasa, 5 décembre 2009. 170 estampes sur 171, sans le portrait. 367 x 270 mm. Petite éraflures à la reliure. Piqures marginales à plusieurs feuillets de texte, très pales rousseurs au frontispice. Une planche un peu abimée dans la marge sur 0,5 cm et déchirures marginales restaurées de 1 à 2 cm à 2 planches en noir et 3 en couleurs. Suite des gravures en deux états : 223056 € avec frais. 3/ Sotheby’s New York, 18 juin 2004; complet, avec deux états des gravures. « Contemp half mor gilt ; extremities worn, part of spine of Vol I detached. With port, engraved frontis & 169 plates ptd in colors & finished by hand & with a 2d suite of plates in black on ochre paper. Mainly marginal spotting & foxing. (Sotheby’s New York, June 18, 2004, lot 324, $390,000 avec frais). Superbe exemplaire, l’un des derniers répertoriés en reliure de l’époque «à la rose dorée».
Boston, 1992 ; in-4°, broché, couverture argentée , titre en blanc au 1er plat et dos, jaquette illustrée en couleurs; 224pp.,2ff.( carte en noir à double page). Illustrée de très nombreuses photographies en couleurs.
Splendide catalogue avec 218 objets décrits et représentés en couleurs.Très bon état.( GrD)
Atlanta / New York, Piggy Toes Press / The Metropolitan Museum of Art, 1998. Grand in-4, à ouvrir complètement et attacher au moyen de rubans, pour en faire une scène en carrousel. En belle condition mais sans les personnages à placer.
Atlanta / New York, Piggy Toes Press / The Metropolitan Museum of Art, 1998. Grand in-4, à ouvrir complètement et attacher au moyen de rubans, pour en faire une scène en carrousel. En belle condition.
Sommières 22 août 1969 | 12.60 x 20.30 cm | 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe
Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable.Maisvérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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