MAISON DE LA BONNE PRESSE - POUSSIELGUE. NON DATE. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 205 pages - traces de mouillures en en pied en début d'ouvrage - roman.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R240051140
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Paris: Presses du Chatelet, 2002 in-8, 369 pages. Broché, bon état, ex dono sur la page de garde.
Ils en savaient trop sur les soucoupes volantes. Tradui de l'anglais (Etats-Unis) par Vincent Carénini. Teste présenté et annoté par Pierre Lagrange. (Paris: Presses du Chatelet, 2002) [M.C.: soucoupes volantes]
Denoël Paris 1957 In-12 ( 190 X 120 mm ) de 263 pages, broché. Frontispice de BAUQUIER. Petite tache sur la couverture sinon bel exemplaire.
Ernest Flammarion Paris S.D. (vers 1900) In-12 ( 185 X 120 mm ) de 131 pages, broché. Illustrations de Lucien METIVET dans le texte. Très bel exemplaire imprimé sur beau papier.Manuel divisé en huit leçons. Première leçon : De la nécessité qu'il y a, pour une femme, à bien connaître les goûts de son mari. Deuxième leçon : Tout le parti à trier du tabac, ou la contribution des contributions indirectes. Troisième leçon : A propos de Célestine, qui pourrait, aussi bien, se prénommer Célestin. Quatrième leçon : De la nécessité d'avoir un héritier. Cinquième leçon : Où l'on trouvera linfaillible recette pour prolonger une querelle. Sixième leçon : Qui espère établie, enfin, qu'il est préférable de ne point épouser un orphelin ou une orpheline. Septième leçon : A tout propos et en tous lieux. Huitième et dernière leçon : P.P.C.
Librairie Catholique Emmanuel Vitte Paris S.D.(1928) Grand et fort in-4 ( 330 X 255 mm ) de 400 pages, demi-maroquin vert à coins, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tête dorée, plats recouverts de papier "façon peau de crocodile". Très nombreuses photographies et illustrations dans et hors-texte. Très bel exemplaire de la meilleure édition de ce beau livre. Afrique, Asie ( Inde, Indochine, Cochinchine, Cambodge, Laos, Annam, Tonkin ), Amérique ( Canada, Etats-unis, Antilles, Guyane ), Océanie ( Nouvelle-Calédonie, Nouvelles-Hébrides, Iles Horn et Wallis, Gambier, Tahiti, Touamatou, Marquises ).
4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)