Cénomane. 2007. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en tête abîmée, Papier jauni. 285 pages, exemplaire de bibliothèque, couverture plastifiée, tampons et étiquettes.. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Reference : R200126158
ISBN : 2916329099
Traduit du suédois par Philippe Bouquet. Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
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Paris, Gallimard, (1936). Un vol. in-12 (188 x 113 mm) de 249 pp., broché.
Edition originale (mention fictive d'édition portée en page de titre). ''Les derniers jours, dont la mort constitue le thème dominant, peut se lire comme le roman de la désillusion : les étudiants y vivent presque inconsciemment les derniers jours de leur jeunesse, les vieillards les derniers jours d'une existence marquée par l'échec et, comme le remarque en philosophe averti Alfred, le garçon de café adonné à l'astrologie, seul personnage clairvoyant autour duquel gravite tout ce monde dérisoire qu'il observe à distance, le temps n'est pas loin où la planète cessera elle-même d'exister. Œuvre à la fois parodique et philosophique, écrite sur un ton caustique, où abondent les situations cocasses, Les derniers jours est un livre lucide et franchement hilarant.'' Petites marques d'usage affectant dos et plats. Du reste, belle condition. Peu courant.
Ensemble de 6 volumes de Louis Lacroix, brochés en bon état (le volume sur les derniers baleiniers a la couverture poussiéreuse et en partie décollée).
État : Très bon état - Année : 1993 - Format : in 8° - Pages : 248pp - Editeur : Plon - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/pierre-sipriot/759-les-soixante-derniers-jours-de-marie-antoinette?lrb
Pendant ces jours d'incarcération, d'interrogatoirs et de procès, Marie-Antoinette se souvient des jours heureux, puis du flot de haine qu'elle a suscité. Elle ira jusqu'au bout ˮà la bravadeˮ, sans comprendre comment sa mort, après avoir subi tous les outrages qui puissent être infligés à une mère, est le revers de sa vie de reine. Pierre Sipriot reconstitue les derniers gestes, les derniers mots, la dernière mémoire de celle qui passa de la grandeur souveraine à la grâce du pardon, comme si Louis XVI lui tendait les bras pour l'aider à trouver sa mort.
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État : Très bon état - Année : 2010 - Format : in 8° - Pages : 351pp - Editeur : Le Grand Livre du Mois - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/pierre-milza/5340-les-derniers-jours-de-mussolini?lrb
Milan, le 25 avril 1945, 20 heures: le convoi qui emporte Mussolini et ses plus fidèles lieutenants s'ébranle vers une destination incertaine. Trois jours plus tard, à Giulino di Mezzegra, sur la rive ouest du lac de Côme, le Duce et Claretta Petacci sont exécutés. Que s'est-il passé au cours de ces trois longs jours? Pierre Milza mène ici son enquête, à la recherche d'une vérité complexe. Les trois derniers jours de Mussolini se déroulent à la manière d'un roman d'espionnage sur fond de tragédie, celle du peuple italien confronté aux horreurs de la guerre civile. A cela près qu'il s'agit d'une histoire vraie et que, soixante-cinq ans plus tard, elle n'a toujours pas livré tous ses secrets.
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Fribourg et P., Egloff, LUF, 1946, in-8°, 252 pp, index, broché, bon état
Par le ministre des affaires étrangères de Roumanie entre le 23 décembre 1938 et le 31 mai 1940. — Entre avril et mai 1939, le diplomate roumain entreprend une tournée politique dans les pays occidentaux et balkaniques : à Varsovie, à Berlin, à Bruxelles, à Londres, à Paris, à Rome et au Vatican. En juin, il part en Yougoslavie, en Grèce, en Turquie, et en Bulgarie. Toutes ses impressions sont publiées dans son livre “Derniers jours de l'Europe”, paru en 1946. — "M. Gafenco, ministre des affaires étrangères de Roumanie en 1939, puis ministre de son pays à Moscou jusqu'au déclenchement des hostilités germano-soviétiques, est venu par la suite dans notre pays où, comme tant d'autres, il a trouvé abri. Il a déjà publié chez nous « Préliminaires de la guerre à l'est », qui contient bien les meilleures pages que l'on connaisse sur les causes exactes du conflit qui devait mettre aux prises Berlin et Moscou. « Derniers jours de l'Europe » est apparemment d'un autre genre. On pourrait n'y voir – si l'on ne sentait partout sous-jacente une pensée très ferme – que le simple récit des voyages que le ministre roumain des affaires étrangères fit, au printemps 1939, dans les différentes capitales européennes, en mission officielle pour le compte de son gouvernement. La plume alerte de l'écrivain, son style direct et le ton attachant qu'il sait prendre contribuent en effet à donner d'abord à ces pages des qualités toutes narratives. On partage avec M. Gafenco les inquiétudes du colonel Beck qui, recevant son interlocuteur dans son vagon-salon, se rend compte enfin, sans vouloir encore regarder en face toute ta réalité, de la faillite de sa politique d'amitié avec le Reich. On suit l'auteur en Allemagne et l'on se complait aux fresques saisissantes qu'il brosse d 'Hitler et de Gœring. On passe alors outre-Manche où l'on aperçoit l'Angleterre de ces hommes de bonne foi que furent Chamberlain et Halifax s'éveiller lentement après Prague, à la vérité. Toujours à la suite de M. Gafenco, l'on revient en France, où l'auteur note le trouble des esprits et souligne à quel point, pour le Quai-d'Orsay d'alors, Munich n 'a pas été un point d'aboutissement, contrairement à une légende tenace, mais bien un répit forcé qu'il aurait fallu mettre à profit militairement et diplomatiquement. On se rend en Italie où l'écrivain nous montre un « duce » incertain, flottant, hésitant qui, ayant perdu toute maîtrise de soi, ne peut devenir finalement qu'une marionnette aux mains des Allemands. Et l'on termine par un tour dans les Balkans. Tout cela vaudrait déjà pour le seul apport historique, pour la valeur de témoignage que le livre représente. Mais, comme nous le disions, il y a bien davantage encore dans cet ouvrage. En se penchant sur cette Europe, qui, quelques mois plus tard, allait subir la plus grave des catastrophes, M. Gafenco saisissait déjà avec exactitude les causes du drame. D'abord , il constatait qu'il n'existait plus de réaction morale authentique et profonde, sur notre continent, contre « l'hitlérisme absurde et sacrilège ». Et cette absence de réaction se traduisait non seulement par le fait qu'à la force allemande on laissait libre champ, mais surtout par le fait qu'on donnait libre cours à l'idée chère à tous les impérialismes, celle des « partages d'influence ». Le principe du partage, écrit M. Gafenco, pénétrait la politique européenne. Expliquons-nous. Une paix n'est viable que si elle permet à chaque Etat d'exister normalement, selon ses aspirations propres. Dès que les grands envisagent de l'établir, au moyen de compromis entre eux, par des « sphères d'influence » arbitrairement délimitées, alors il y a tôt ou tard menace de rupture, risque de déséquilibre. C'est très exactement ce qui s'est produit en 1939. Hitler a cru, à Munich, que les nations occidentales lui laissaient les mains libres à l'est. Quant il a vu que ce n 'était pas le cas, ce fut la guerre, à l'ouest aussi. Pareillement, le pacte germano-russe était axé sur le principe erroné d'un partage d'influence en Europe orientale et balkanique. Il ne pouvait être viable longtemps... Comprend-on maintenant la haute leçon – actuelle – qui se dégage du livre de M. Gafenco ? Si les quatre aujourd'hui ont la sagesse de laisser se refaire une Europe selon les normes traditionnelles, tout peut être sauvé. S'ils s'obtinent dans l'idée néfaste d'un partage en zones d'influences, alors tout est à craindre..." (René Braichet, Feuille d'Avis de Neuchâtel, 10 juillet 1946)