FLAMMARION. 1962. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Papier jauni. 311 pages. Quelques rousseurs et pliures.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R200094403
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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Flammarion. 1962. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 313 pages - envoi de l'auteur sur la page de faux titre (photo disponible) - légères mouillures et rousseurs sur les plats.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Demi reliure, couv. conservée
Flammarion, 1962, in-12, 315 pp, 4 cartes, broché, qqs soul. stylo, bon état
Mémoires du général Laffargue de 1911 à 1945 : la Grande Guerre en Lorraine et Artois, l'entre-deux-guerres dans l'Etat-Major du général Weygand (il décrit les manœuvres ourdies contre ce général par les milieux politiques de gauche), la campagne de 1940, la Résistance, le procès Pétain (ou il témoigna en faveur de l'innocence de l'accusé). — "Saint-Cyrien, Gascon, le général Laffargue égrène ses souvenirs. Ils vont de 1914 où, jeune lieutenant élevé dans le culte de la Revanche, il part à l'assaut à la tête de sa section à Morhange, jusqu'aux lendemains de la 2e guerre mondiale. Entre- temps, il a servi dans les états-majors de Joffre, de Weygand et de De Lattre, il a siégé au Conseil Supérieur de la Guerre et a occupé des postes administratifs importants au ministère. Sans être lui-même un personnage de tout premier plan, il a connu bon nombre de personnalités, dont il dresse le portrait vivant, contrasté : d'un côté les « bons », Joffre, Foch, Weygand, Pétain, de l'autre, les « mauvais », Gamelin, de Gaulle, et la plupart des hommes politiques. Son témoignage est, pour l'historien, révélateur d'un état d'esprit, celui du militaire fougueux, spontané, sans nuances, qui ne voit que machiavélisme inavouable et passions viles dans les jeux de la politique, et attribue le désarmement de la France devant l'Allemagne hitlérienne à « une machination contre la Défense nationale, ourdie au sein même du Cabinet du ministre », et qui qualifie le procès de Pétain de « vengeance d'eunuque »." (J.-M. d'Hoop, Revue Historique, 1964)