LAFON MICHEL. 2006. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 460 pages- les dernières pages ont été pliées. . . . Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille
Reference : R200052226
ISBN : 2749906148
Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille
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Revue d'Histoire des Sciences - Rhoda Rappaport sur Fontenelle - Marie-Françoise Mortureux - Alain Niderst sur Voltaire - Claudine Cohen sur Benoit de Maillet alias Telliamed - Geneviève Artigas-Menant sur Madame Leprince de Beaumont - Henri Duranton - Jean Mayer sur Diderot - Claudine Pouloin - Roselyne Ray - Armelle Debru sur Hiérophile - N. Piepenbrock, M. Dun, V. Malquarti et R. Toellner - Jean-Louis Gardies sur Euclide - Roselyne Rey et Jean-Louis Fischer sur Jacques Roger
Reference : 100317
(1991)
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Centre International de Synthèse - Revue d'Histoire des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1991 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en bleu et noir grand In-8 1 vol. - 231 pages
1ere édition, 1991 Contents, Chapitres : 1. Articles : Rhoda Rappaport : Fontenelle Interprets the Earth's Theory - Marie-Françoise Mortureux : De la ressemblance entre les mathématiques et l'amour dans les Entretiens de Fontenelle - Alain Niderst : Les Lettres anglaises de Voltaire, une vulgarisation méthodique et imprudente - Claudine Cohen : Benoit de Maillet et la diffusion de l'histoire naturelle à l'aube des Lumières (Telliamed) - Geneviève Artigas-Menant : La vulgarisation scientifique dans le Nouveau Magasin français de Madame Leprince de Beaumont - Henri Duranton : La diffusion d'une nouvelle histoire : Les avatars de Clio au XVIIIe siècle - Jean Mayer : Diderot et le calcul des probabilités dans l'Encyclopédie - Claudine Pouloin : La connaissance et la vulgarisation du débat sur les chronologies dans l'Encyclopédie - Roselyne Ray : La vulgarisation médicale au XVIIIe siècle : Le cas des dictionnaires portatifs de santé - 2. Documentation : Armelle Debru : Hiérophile ou l'art de la médecine dans l'Alexandrie antique - N. Piepenbrock, M. Dun, V. Malquarti et R. Toellner : L'enseignement médical dans les manuels scolaires en France aux XVIIe et XVIIIe siècles - Jean-Louis Gardies : La proposition 14 du Livre V ans l'économie des Eléments d'Euclide - Roselyne Rey et Jean-Louis Fischer : Nécrologie de Jacques Roger, 1920-1990 - Comptes rendus infimes traces de pliures aux bords des plats de la couverture, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre, papier à peine jauni - paginé 279 à 510
Michel Lafon. 2007. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 460 pages.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Traduit de l'anglais par Gouyé-Guilbert Nathalie. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Michel Lafon 2007 460 pages 18 8x15x4 2cm. 2007. Broché. 460 pages.
Très Bon Etat
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Numéro 367 - Décembre 1977 - In-8, broché
Bon état