TREVISE. 1974. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos plié, Papier jauni. 411 pages - Couverture contrepliée - Nombreuses photographies en noir et blanc hors texte - Arbre généalogique hors texte. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Reference : R160196679
Traduction de R. Bianchi Classification Dewey : 810-Littérature américaine
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Antwerpen, Bibliofielenvereeniging TIJL, kammenstraat 65., 1933 Oplage bedraagt slechts 54 exemplaren waarvan 1-50 genummerd en 4 ex. buiten handel. DIT IS EXEMPLAAR 49. Gesigneerd door Elisabeth Ivanovsky Deze uiterst zeldzame portfolio bestaat uit zwart color kaft met daarin zeven sjablonen, naar ontwerp en uitgevoerd door Elisabeth Ivanovsky bewerkt op zwaar pastelpapier. -- Edition is only 54 copies of which 1-50 numbered and 4 ex. outside trade. THIS IS COPY 49. Signed by Elisabeth Ivanovsky This extremely rare folder consists of a black color cover containing seven templates, designed and executed by Elisabeth Ivanovsky, edited on heavy pastel paper.
In 1933 werkte Elisabeth Ivanovsky af en toe in een drukkerij in Antwerpen om stencils te maken. Ze kreeg de kans om daar haar eigen creatie te publiceren - "Cirkus", een portfolio van zeven sjablonen inclusief omslag - onafhankelijk van de werken die voor de I.S.A.D. (La Cambre) zijn uitgevoerd. De portfolio werd voor het eerst tentoongesteld op de offici le Bessarabische salon in Chisinau in 1934 daarna in "Infancia y Arte moderno", IVAM Centre Julio Gonzalez, Valencia en "Russian Art of the Image for Children (1900-1945)" in het Centre de l'Illustration, H tel de Mora, Moulins. In 2010, opnieuw in Chisinau in het National Museum of Arts van Moldavi tijdens de herdenking "Elisabeth Ivanovschi - 100 ani de la nastere" in 2010 ook daarna tijdens "Lof der zeldzaamheid - Honderd schatten van het zeldzame boekenreservaat" in de Nationale Bibliotheek van Frankrijk Fran ois-Mitterrand in 2014-2015. Van de 59 exemplaren van de originele uitgave (Antwerpen: Uitgeverij Tijl) wordt er n bewaard door de BnF (Parijs) evenals vijf aquarelprojecten, n door de Koninklijke Bibliotheek (KBR, Brussel), n door het Van Abbemuseum - LS Collectie (Eindhoven), n door het Nationaal Museum voor Moldavische Kunst (Chisinau), n door de Bibliotheek Universiteit Van Amsterdam en twee door particulieren (Parijs, Brussel) en deze portfolio in Antwerpen). In 1933, Elisabeth Ivanovsky occasionally worked in a printing house in Antwerp to make stencils. She had the opportunity to publish her own creation there - "Cirkus", a portfolio of seven templates including cover - independent of the works submitted for the I.S.A.D. (La Cambre). The portfolio was first exhibited at the official Bessarabian salon in Chisinau in 1934 then at "Infancia y Arte moderno", IVAM Center Julio Gonzalez, Valencia and "Russian Art of the Image for Children (1900-1945)" at the Center de l'Illustration, H tel de Mora, Moulins. In 2010, again in Chisinau in the National Museum of Arts of Moldova during the commemoration "Elisabeth Ivanovschi - 100 ani de la nastere" in 2010 also afterwards in "Praise of rarity - One hundred treasures of the rare book reserve" in the National Library of France Fran ois-Mitterrand in 2014-2015. Of the 59 copies of the original edition (Antwerp: Uitgeverij Tijl), one is kept by the BnF (Paris) as well as five watercolor projects, one by the Koninklijke Bibliotheek (KBR, Brussels), one by the Van Abbemuseum - LS Collection (Eindhoven) , one by the National Museum of Moldavian Art (Chisinau), one by the University of Amsterdam Library and three by private individuals (Paris, Brussels, and this copie in Antwerp).
Sainte Élisabeth de Hongrie (1207 - 17 novembre 1231) est la fille d André II de Hongrie (Dynastie Arpad) et de Gertrude d'Andechs-Meran (Dynastie de Babenberg). Elle fut fiancée à 4 ans et mariée à 14 ans au Landgrave Louis IV de Thuringe. Ainsi, on l'appelle aussi Sainte Élisabeth de Thuringe. Table : Dédicace ; Introduction ; Indication des sources historiques ; Comment le duc Hermann régnait en Thuringe, et le roi André en Hongrie, et comment la chère sainte Élisabeth naquit à Presbourg, et fut transportée à Eisenach ; Comment la chère sainte Élisabeth honorait Dieu dans son enfance ; Comment la chère sainte Elizabeth eut à souffrir pour Dieu ; Comment le jeune duc Louis fut fidèle à la chère sainte Élisabeth et comment il l'épousa ; Comment le duc Louis, mari de la chère sainte Élisabeth, était agréable à Dieu et aux hommes ; Comment le duc Louis et la chère sainte Élisabeth vivaient ensemble, devant Dieu, dans le saint sacrement du mariage ; Comment la chère sainte Élisabeth mortifiait son corps ; De sa grande charité et de son amour pour la pauvreté ; De sa grande dévotion et humilité Ouvrage illustré de planches hors texte et une chromolithographie en frontispice. vol in-4, 280x205, cartonnage polychrome, tranches dorées, très bel exemplaire, 624 pages. Tours Mame, 1889
Club des Libraires de France, 1957, in-8°, 284 pp, 16 pl. de gravures, un fac-similé dépliant et un tableau chronologique dépliant hors texte, tirage numéroté sur alfa, reliure soie blanche ornée d'un portrait en médaillon et rhodoïd éditeur (maquette de Pierre Faucheux), rhodoïd, bon état
Bonne biographie de Elisabeth 1ère (1533-1603), reine d'Angleterre et d'Irlande de 1558 à sa mort. Élisabeth était la fille du roi Henri VIII d'Angleterre mais sa mère Anne Boleyn fut exécutée trois ans après sa naissance et elle perdit son titre de princesse. Son demi-frère Édouard VI nomma comme héritière sa cousine Jeanne Grey, ce qui écarta Élisabeth et sa demi-sœur catholique, Marie, de la succession au trône même si cela contrevenait à la législation. Le testament d'Edouard VI fut néanmoins ignoré, et Marie devint reine en 1553 et Jeanne Grey fut exécutée. Élisabeth lui succéda cinq ans plus tard après avoir passé près d'un an en prison en raison de son soutien supposé aux rebelles protestants... — "Aprés son définitif “William Pitt” et son “Siécle de Victoria”, qui nous avaient prouvé à quel point sa connaissance des faits, des visages et des coeurs anglais était profonde, M. Jacques Chastenet nous propose aujourd’hui une “Elisabeth Ière”, qui paraît renouveler un des sujets les plus passionnants que nous offre l'histoire. Une abondante littérature a été consacrée à la fameuse fille de Henri VIII et d’Anne de Boleyn, mais je ne connais pas d’ouvrages francais où la psychologie de cet étrange personnage soit étudiée avec plus de pénétration. Ici, nous entrons non seulement dans les secrets les plus complexes d'Elisabeth Ière, mais nous assistons aussi à la naissance de l'Angleterre moderne. Cette naissance a été due à la volonté terrible d’une reine qui sacrifiait tout à la grandeur de son pays. Violente, hystérique, enjouée, avare, refoulée, vindicative, amoureuse, prudente ?... Elle fut surtout reine et construisit son royaume avec une ténacité à la fois rusée et brutale qu’on ne retrouve guére que chez notre Louis XI. Jacques Chastenet explique la mort de Marie Stuart par la volonté d’en finir une fois pour toutes avec une ennemie acharnée et redoutable que la légende a poétisée mais qui n’en voulait pas moins à la vie d’Elisabeth. Il faut lire cet ouvrage. C’est une fresque d’histoire au milieu de laquelle un écrivain a campé un personnage prodigieux qu’il nous présente sous un éclairage tout neuf." (Bernard Simiot, Hommes et mondes)
A Paris, Chez De Hansy, s.d., 1700 ca. Petit in-12 de 1 portrait, 2 ff.n.ch. (titre et dédicace) et 212 pp., maroquin rouge, dos orné à nerfs, large dentelle dorée sur les plats, doublures et gardes de papier vert semé d’étoiles dorées, dos à nerfs orné, tranches dorées (reliure de l’époque).
Premier livre dessiné et gravé en écriture cursive par Élisabeth Senault, fille du graveur Louis Senault.Frontispice représentant Saint Bruno d’après Champagne et très nombreuses bordures, lettrines, en-têtes, fleurons et culs-de-lampe écrits et entièrement gravés en taille-douce.Après la mort de son père, Élisabeth Senault crée à son tour un livre d'heures qu'elle dédicace au Dauphin : « Le favorable aceüeil que le Roy fit à deffunt mon Père, présentant à sa majesté des Heures qu'il avoit ecrittes et gravées, et qui comme celles qu'il eut l'honneur de dédier à Madame la Dauphine, furent agréablement receues ; me fit naistre le dessein de l'imiter, et d'employer tous mes soins pour suivre son exemple. Mais, Monseigneur, comme une longue expérience l'avoit élevé au plus haut degré de l'écriture et de la graveure ; il est assez difficile à une personne de mon sexe dans un âge peu avancé d'atteindre à la perfection qu'il s'estoit acquise ». Très bel exemplaire.« After his death, his daughter, Elisabeth Senault, produced some equally attractive smaller engraved Heures nouvelles dedicated to the Grand Dauphin » (Printing of the mind of man, 9).
Fayard, 2009, gr. in-8°, 722 pp, chronologie, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
"Elisabeth est vierge, comme l'Angleterre est île" déclarait Victor Hugo à l'époque romantique. Tout en précisant : "En admirant Elisabeth, l'Angleterre aime son miroir." C'est cette relation étroite entre une femme et son pays que Bernard Cottret met au coeur de la reconstitution du destin de la reine vierge. Vierge, Elisabeth Ire l'a été assurément, car, s'étant rendue physiquement intouchable, elle n'a jamais eu qu'un seul époux, son royaume. Comment relever ce défi singulier, dans une société aussi imprégnée par les rites masculins de la guerre et de la violence que l'Angleterre de la Renaissance, être un "roi femme" ? Elisabeth assuma seule l'ensemble du pouvoir royal pendant près de 50 ans (1558-1603). Elle fut femme dans une société d'hommes, régie par des hommes, gouvernée par des hommes et dominée par eux. Elle se montra d'autant plus attentive à la dignité royale qu'elle ne fut jamais dupe du caractère symbolique du pouvoir, ni ne se laissa aller aux épanchements sentimentaux qu'on a coutume d'attribuer aux femmes, et même aux reines comme sa cousine Mary Stuart. Elisabeth a engendré consciemment son propre mythe, en une brillante synthèse à laquelle ont participé à des degrés divers poètes, écrivains, peintres, et naturellement hommes de guerre et courtisans dans cet âge d'or épris de littérature, de théâtre et d'épopée. Par là aussi elle a ouvert la voie à la modernité.