STOCK. 1968. In-8. Broché. Bon état, Couv. partiel. décollorée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 525 + 655 pages - ACHEVE D'IMPRIMER 26 février 1968 et 6 mars 1969 - Frontispice de planches en noir et blanc - Nombreuses illustrations en noir et blanc hors texte - Etiquette à l'intérieur - Couverture contrepliée. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Reference : R160191453
Traduction de Denis Van Moppès Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
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Plon, 1959, in-8°, 333 pp, traduit du russe et de l'anglais, 9 cartes, notes, broché, bon état
Tome II seul (sur 2). — Aux nombreux témoignages des grands acteurs de la Seconde Guerre mondiale à travers lesquels les historiens ont pu reconstituer l'histoire du conflit, il a toujours manqué ce qu'on pourrait appeler le "Journal de Staline". Faute de ce document que Staline est mort sans avoir écrit, c'est dans sa correspondance qu'il faut rechercher les secrets du camp soviétique, les explications de certains événements demeurés incompréhensibles et les raisons multiples et parfois contradictoires de l'évolution de la politique russe entre 1941 et 1945. Voici donc la traduction intégrale des lettres échangées par Staline avec Roosevelt, Churchill, Truman et Attlee depuis l'attaque allemande contre l'URSS jusqu'à la conférence de Postdam. Cette correspondance apporte des révélations capitales sur l'état d'esprit des trois Grands et la nature des relations personnelles qu'ils entretenaient entre eux à l'intérieur d'une alliance grinçante, qui n'avait pas été préparée et que seule justifiait la nécessité, identique pour tous, de se défendre contre l'impérialisme nazi. Il n'y avait d'accord entre les Alliés ni sur les buts de guerre, ni sur la coopération militaire, ni sur les plans de paix et c'est sans doute ce qui permet de comprendre pourquoi ils recherchaient, par le contact permanent que fut cette "superdiplomatie", à résoudre les innombrables problèmes que la diplomatie ordinaire ne pouvait trancher...