LIBRAIRIE ACADEMIQUE PERRIN. 1967. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 342 Pages - Quelques planches en noir et blanc - Contres plats illustrés en couleurs. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Reference : R160159479
Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
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Perrin, 1964, in-8°, 373 pp, 16 pl. de photos hors texte, 12 cartes, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
"Une dizaine d'histoires vraies, cocasses ou tragiques vécues pendant l'occupation par les personnages et « passeurs » les plus divers et dont le trait commun est le simple courage. Voilà une anthologie de ces faits et de ces héros involontaires auxquels nous devons de ne pas désespérer de l'homme. L'auteur, fort connu par son action dans la « France libre », a eu la patience et le talent, armé d'un magnétophone, de retrouver et de faire parler tous ces témoins et acteurs de notre histoire des années sombres. Documents à verser à la chronique de la guerre 44-45, mais aussi utile, captivante et émouvante initiation de la jeunesse aux événements auxquels ont participé les pères. Un bon travail, une bonne œuvre." (La Revue administrative, 1966) — Agé de trente-six ans, Gilbert Renault s’embarque le 18 juin 1940 à bord d’un chalutier qui, échappant de justesse à l’emprise de la Wehrmacht, le transporte de Lorient au Verdon, d’où un cargo suédois le conduit en Angleterre. Volontaire pour une mission secrète en France occupée, il quitte la Grande-Bretagne dès le 10 août, avec mission de surveiller les mouvements de l’ennemi tout le long de la côte atlantique. Le réseau qu’il crée sous le nom de Confrérie Notre-Dame couvre, dix-huit mois plus tard, l’ensemble de la France occupée et la Belgique. Sans cesse pourchassé par l’Abwehr et la Gestapo, celui qui est devenu « Rémy » devra à l’héroïsme de ses camarades qui, sous la torture, dans les camps de déportation ou au poteau d’exécution, refuseront de le livrer, de n’être jamais pris. Et c’est sous l’uniforme qu’après le débarquement il reviendra participer à la libération de sa Bretagne natale. De lui, le général de Gaulle a écrit : « Notre Rémy fut des premiers, parce qu’il est des meilleurs. Et c’est pourquoi, après tout ce qu’il a fait – qui est si grand ! – il sait qu’il reste tant à faire. » Il restait entre autres choses, à écrire l’histoire de ceux qui souffrirent et moururent au service de la France.