METAILIE. 1991. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 241 Pages. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Reference : R160154138
ISBN : 2864241080
Traduit du portugais par F. DEBECKER-BARDIN Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
1 vol. in-4 reliure demi-percaline verte, Recueil de 48 articles et traductions rédigés par le professeur Georges H. Bousquet sur le thème de l'Islamologie et les Questions Nord Africaines (1948-1953) [ Contient : ] Partie I : Islamologie en Général. 1 : La Pureté Rituelle en Islam (Etude de fiqh et de sociologie religieuse), R. Hist Rel 194... ; 2 : L'Islam et la limitation volontaire des naissances Annales IEO 49 ; 3 : Le rituel du culte des saints (A propos du livre de T. Canaan) R. Afr. 1949 ; II : Sociologie Musulmane en Afrique du Nord ; 4 : Instruction religieuse de la fillette musulmane dans les Centres urbains d'Algérie, Hesperis 1949 ; 5 et 6 : Deux notes sur la circoncision ; 7 et 8 : Bid'as en Afrique du Nord ; 9 : Patronymiques féminines ; 10 : Le Bouafif dans le Guergour ; 11 : Pratique religieuse en Aurès ; 12 : Le Carnaval de l'Achoura à Ouarzazate ; 13 : Deux petites curiosités sociologiques ; 14 : Survivance de formulaires turcs en Tunisie ; 15 : Les enfants naturels musulmans et l'état civil à Alger ; 16 : L'Ian, Ila et Zhihar ; III : Droit Musulman : 17 : Loi musulmane et droit européen. Quelques remarques de psychologie comparée ; 18 : La conception du Nikah' selon les docteurs de la loi musulmane ; 19 : Plaidoyer pour les faraïdhr ; 20 : Les Vices rédhibitoires de la femme en droit musulman ; 21 : Le droit de "djebr" et la Cour d'Alger ; 22 : Une petite erreur de Juijnboll et de Perron à propos d'une institution peu connue l'Ifâf ; 23 : Islamic Law and customary Law in French North Africa ; 24 : Glanures de Droit Musulman ; 25 : Consultation Habour Boufaris ; IV : Politique Musulmane ; 26 : Pour l'étude des Droits Berbères ; 27 : Un culte à détruire. L'adoration de Haniteau et Letourneux ; 28 : Documents contemporains curieux relatifs au droit en Kabilie ; 29 : Mariages kabiles protestants ; 30 : Coutumes en Aurès ; 31 : Pactes de protection et d'Alliance chez les Berbères au Maroc Central ; V : Islam à l'Etranger ; 32 : Les Elites gouvernantes en Afrique du Nord ; 33 : Un étrange tabou ; 34 : L'Islam et les boissons spiritueuses ; 35 : Election et Ramadan ; 36 : Questions Nationales et Sociales dans l'Islam Contemporain ; 37 : Allah et le Mikado ; 38 : Une communication du Professeur Joseph Schacht sur "l'Islam en Nigéria" ; 39 : Musulmans indonésiens en Guyane hollandaise ; VI : Traductions : Le chameau volé (Document de procédure marocaine) ; 41 : L'interdiction (Bidaya) d'Averroès ; 42 : Les Conquêtes Musulmanes et L'Impérialisme arabe par J. Schumpeter ; 43 : La légende Qoranique d'Abraham par Snouck-Hurgonje; 44 : Le Kitab al-Wara ou Livre du Scrupule religieux selon l'Imam Ibn Hanbal ; 45 : Les droits de l'Esclave (Ih'ya de Ghazali) ; 46 : Quelques Ruses du Kitabl al-H'iyâl ; 47 : Fiqh et Sorcellerie ; 48 : Acte de mariage Tlemcen
Exceptionnel recueil. Le recueil est divisé en 6 parties (I : Islamologie en Général ; II : Sociologie Musulmane en Afrique du Nord ; III : Droit Musulman ; IV : Politique Musulmane ; V : Islam à l'Etranger ; VI : Traductions. Exemplaire de l'auteur, souvent enrichi de ses corrections manuscrites. Ouvrage provenant de la propre bibliothèque de l'auteur, le professeur Georges-H. Bousquet (Docteur en droit en 1923 avec une thèse sur "L'évolution sociale en Hollande 1914-1922"), économiste de l'école de Pareto et Schumpeter, mais également islamisant de l'école de Goldziher et Snouck-Hugronje, professeur aux facultés d'Alger puis de Bordeaux. Peu après sa thèse, il participa à la mission de la SDN pour la restauration financière de l'Autriche.Georges-H. Bousquet résumait ainsi ses travaux en Islamologie (dans les mélanges qui lui furent consacrés dans les Cahiers Pareto en 1965) : "Très en gros, on pourrait dire à ce sujet que je suis parti intellectuellement de la Loi rituelle, morale et juridique de l'Islâm (fiqh) et ai essayé de voir dans quelle mesure cette étrange casuistique (dont j'ai traduit de nombreux textes et dont j'ai exposé les règles dans divers ouvrages) est appliquée, ou non, dans les sociétés musulmanes d'Afrique du Nord surtout (mais également en Indonésie). En particulier, mon attention s'est portée sur le rituel ('ibâdates) presque toujours systématiquement négligé par mes prédécesseurs". Bon exemplaire
Revue d'Histoire de la Deuxième Guerre Mondiale et des conflits contemporains
Reference : 29602
(1998)
94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.
Bureau de l'administration, rue Saint Roch 29,Paris.. septembre 1857. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ, illustrées de gravures noir et blanc dans le texte. Paginées de 353 à 368.. . . . Classification Dewey : 70.4415-La famille / Semaine et musée des familles
Le nouveau Louvre,pavillon central nord de la cour Napoléon III illustré d'une gravure dans le texte de ce pavillon photographié sur bois par Lallemand d'après baldus. Le spectacle en famille - Le pot au lait ,suite et fin par De Chatouville. galerie du vieux temps - portraits de nos pères - les médecins sous Louis XIV,suite et fin par MAry Lafon illustré de gravures dans le texte (chevalier de Criquebec, Molière et l'avare Arnoulet,médecins consultants et gravure dans le texte également de Desfougerais Guénaut et Pontingnon chez Molière. Classification Dewey : 70.4415-La famille / Semaine et musée des familles
BUREAU DE LA REVUE. 26 JUILLET 1914. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non paginé. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
Sommaire : M. Poincaré s'embarque a Dunkerque pour Cronstadt, M. Poincaré dans le nord de l'Europe, Mme Caillaux devant la cour d'assises de la Seine, Le service des explosifs, qui vient d'examiner les bombes de Beaumont, en découvre, chaque année, plus de 200 a Paris, Une ville entière a été détruite par le feu, 10.000 malheureu se trouvent sans abri Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918