JC LATTES. 1982. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 283 Pages. . . . Classification Dewey : 904-Recueils de récits d'événements
Reference : R160151064
ISBN : 2709601583
Classification Dewey : 904-Recueils de récits d'événements
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Seuil, 2010, in-8 br., 392 p., 1ère édition, coll. "L'Univers historique", illustrations in-t., 8 planches ill. coul., état de neuf.
Dans cet essai original, Christine Bard retrace le destin du pantalon sur la scène sociale et politique depuis 1789, bien au-delà des seuls effets de mode. Consultant les textes littéraires et les archives judiciaires, décrivant cartes postales et caricatures, convoquant des actrices célèbres – Sarah Bernhardt ou Brigitte Bardot, l’auteure révèle la "puissance du verbe vestimentaire". Successeur de la culotte, le pantalon symbolise la masculinité et, partant, le pouvoir, comme en témoigne le dicton "porter la culotte". Au cours de la Révolution, il se charge d’une signification plus précise en exprimant les valeurs républicaines et devient un élément clé du nouvel ordre politique. Mais l’Ancien Régime continue pour les femmes, qui, sur le plan tant vestimentaire que social, n’accèdent ni à la liberté ni à l’égalité. Privées de droits, assignées à résidence dans leur genre, elles sont interdites de pantalon. Rien de tel qu’un interdit pour susciter le désir… Surchargé de fantasmes, le pantalon accompagne toutes les transgressions qui jalonnent la route de l’émancipation des femmes. Artistes, féministes, révolutionnaires, voyageuses, actrices, lesbiennes, sportives, innombrables sont les femmes connues et inconnues qui s’approprient l’habit masculin. Il faut attendre les années 1960-1970 pour que le pantalon soit féminisé et devienne un vêtement mixte. Fin de l’histoire ? Pas tout à fait. Pourquoi l’ordonnance de 1800 interdisant aux femmes de s’habiller en homme n’est-elle toujours pas abrogée ? Pourquoi les collégiennes ne portent-elles plus que des pantalons ? Pourquoi une « journée de la jupe » ? L’actualité des questions de sexe et de genre gagne à être située dans l’histoire longue de la peur de la confusion des rôles et de la contestation du pouvoir masculin. Voir le sommaire sur photos jointes.
Seuil, 2010. In-8 broché, couverture photographique. Etiquette de prix au second plat, pour le reste en belle condition. Illustrations in et hors-texte, en noir et en couleurs.
"Successeur de la culotte, le pantalon symbolise la masculinité et, partant, le pouvoir, comme en témoigne l'expression " porter la culotte ". Au cours de la Révolution, il se charge d'une signification plus précise en exprimant les valeurs républicaines et devient un élément-clé du nouvel ordre politique. Mais l'Ancien Régime continue pour les femmes, qui n'accèdent pas, sur le plan vestimentaire (non plus que social), à la liberté et à l'égalité. Enfermées dans une altérité dite " féminine ", les femmes, privées de droits, assignées à résidence dans leur genre, sont interdites de pantalon. Rien de tel qu'un interdit pour susciter le désir... Surchargé de fantasmes, le pantalon accompagne toutes les transgressions qui jalonnent la route de l'émancipation des femmes. Artistes, féministes, révolutionnaires, voyageuses, actrices, lesbiennes, sportives, innombrables sont celles, connues et inconnues, qui s'approprient l'habit masculin. Il faut attendre les années 1960-1970 - séquence politico-vestimentaire décisive - pour que le pantalon soit féminisé, pour qu'il devienne un vêtement mixte. Fin de l'histoire ? Pas vraiment. Pourquoi l'ordonnance de 1800 interdisant aux femmes de s'habiller en homme n'est-elle toujours pas abrogée ? Pourquoi les collégiennes ne portent-elles plus que des pantalons ? Pourquoi une " journée de la jupe " ? L'actualité des questions de sexe et de genre gagne à être située dans l'histoire longue de la peur de la confusion des rôles et de la contestation du pouvoir masculin." * La librairie la Bergerie est sur le point de déménager - c'est la raison pour laquelle nous vous proposons jusqu'à la fin de l'année une remise de 10% sur tout le stock (pour les ouvrages encore en rayons) et de 20% sur ceux qui, déjà mis dans les cartons de déménagement, ne pourront être livrés qu'en début d'année prochaine. La remise sera déduite des prix affichés *
Seuil, 2010, gr. in-8°, 396 pp, 36 illustrations dans le texte, index, 22 illustrations en couleurs sur 8 pl. hors texte, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. L'Univers historique)
Successeur de la culotte, le pantalon symbolise la masculinité et, partant, le pouvoir, comme en témoigne l'expression "porter la culotte". Au cours de la Révolution, il se charge d'une signification plus précise en exprimant les valeurs républicaines et devient un élément-clé du nouvel ordre politique. Mais l'Ancien Régime continue pour les femmes, qui n'accèdent pas, sur le plan vestimentaire (non plus que social), à la liberté et à l'égalité. Enfermées dans une altérité dite "féminine", les femmes, privées de droits, assignées à résidence dans leur genre, sont interdites de pantalon. Rien de tel qu'un interdit pour susciter le désir... Surchargé de fantasmes, le pantalon accompagne toutes les transgressions qui jalonnent la route de l'émancipation des femmes. Artistes, féministes, révolutionnaires, voyageuses, actrices, lesbiennes, sportives, innombrables sont celles, connues et inconnues, qui s'approprient l'habit masculin. Il faut attendre les années 1960-1970 - séquence politico-vestimentaire décisive - pour que le pantalon soit féminisé, pour qu'il devienne un vêtement mixte. Fin de l'histoire ? Pas vraiment. Pourquoi l'ordonnance de 1800 interdisant aux femmes de s'habiller en homme n'est-elle toujours pas abrogée ? Pourquoi les collégiennes ne portent-elles plus que des pantalons ? Pourquoi une "journée de la jupe" ? L'actualité des questions de sexe et de genre gagne à être située dans l'histoire longue de la peur de la confusion des rôles et de la contestation du pouvoir masculin.
Editions Messidor , Temps Actuels Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1984 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur jaune pale, illustrée d'un portrait de Vladimir Maiakovski jeune, en noir et rouge grand In-8 1 vol. - 271 pages
"1 planche en frontispice, ""Autoportrait"" de Maiakovski, 1913, un portrait de Maiakovski dans le texte pour l'édition tchèque de Nuage en pantalon par Stolovski" 1ere traduction en français, 1984 "Contents, Chapitres : Préface de Claude Frioux - Vladimir Maïakovski, Tragédie, 1913 - Un nuage en pantalon, 1914 - La flûte des ténèbres, 1915 - La Guerre et le monde, 1916 - L'homme, 1917 - Maiakovski et son temps - Vladimir Vladimirovitch Maïakovski, né le 7 juillet 1893 (19 juillet 1893 dans le calendrier grégorien) à Baghdati (gouvernement de Koutaïssi, Empire russe) et mort le 14 avril 1930 à Moscou, est un poète et dramaturge futuriste soviétique. - Il commence sa carrière littéraire à l'âge de 19 ans par une tragédie provocante intitulée Vladimir Maïakovski, montée au Luna Park à Saint-Pétersbourg en 1913. Elle sera copieusement sifflée « à y percer des trous », dira-t-il. Il devient rapidement un des meneurs du mouvement futuriste après sa rencontre avec le poète et peintre David Bourliouk qu'il a connu en 1911 et qui lui a mis « le pied à l'étrier ». Il fonde avec Bourliouk l'association Queue d'Âne qui regroupera plusieurs poètes se réclamant du futurisme dont Velimir Khlebnikov, Vassili Kamenski et Alexeï Kroutchenykh. Le premier manifeste du mouvement, Une gifle au goût public, est publié en 1912. Tout en exploitant cette nouvelle poésie, il en révolutionne les codes dans La Flûte en colonne vertébrale (aussi connue sous le nom de La Flûte des vertèbres, 1915) ou dans son Nuage en pantalon (1915), véritable manifeste du futurisme, qui est le fruit de sa relation troublée avec Lili Brik qu'il a rencontrée en 1915 alors qu'il entretient une relation avec sa jeune sur Elsa Triolet. - Vladimir Maïakovski fut le premier poète russe à utiliser le terme de « futuriste » le 24 février 1913 à loccasion dun débat sur lart contemporain, même si le néologisme slave de boudetlianine (homme de lavenir), quintroduit le poète Velimir Khlebnikov, eut plus de succès. « Le futurisme nest pas une école, cest une nouvelle attitude », écrivit David Bourliouk, lartiste ukrainien qui, en 1911, figure parmi les fondateurs du cercle Guileïa, dont sest inspiré officiellement le futurisme russe ; une expérience qui se poursuivit, avec des résultats alternes, jusquen 1930, lannée de la mort de Maïakovski et de la fin de lélan novateur. (source : Wikipedia)" couverture à peine jaunie avec une infime trace de pliure sur le haut du plat inférieur, sinon bon état, intérieur frais et propre, signature de l'ancien propriétaire sur la première page
"1982. Paris éditions Jean-Claude Lattès 1982 - Broché 13 5 cm x 21 5 cm 284 pages - Texte de Alain Scoff bibliographie bel envoi de l'auteur à Nicolas Hulot - Bon état - Lucien Bersot fantassin sur le front de l'Aisne en février 1915 est affublé en plein hiver d'un pantalon de toile blanche. Martyrisé par le froid il réclame en toute logique un pantalon de laine comme en portent ses compagnons. Un jour devant son insistance le sergent fourrier lui en tend un en loques maculé de sang celui d'un mort. Il lui intime l'ordre de le revêtir tout de suite. Il s'y refuse. Bersot est fusillé pour avoir refusé de porter le pantalon d'un mort"