JC LATTES. 1997. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 284 pages. . . . Classification Dewey : 332-Banque (économie financière)
Reference : R160150652
ISBN : 2709617897
Classification Dewey : 332-Banque (économie financière)
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[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
- Lettre de change (2 pages) datée du 28 Xbre 1785 de Caen, signée Delaveyne Déperiers avec au dos plusieurs ordres de paiement datés de 1785 et 1785 et signés par Delaveyne Déperiers, De Boisnormand, Vimart - Reconnaissance de dépôt de traite (1 pages) par M. de Laveyne Desperiers pour M. Lambert, datée du 28 Xbre 1785 à Caen, signée par De Boisnormand (avec note en bas d'une autre écriture). - Protet contre M. Lambert (1 page ) rédigé par Benoist Nicolas Mauroy, huissier, daté du 10 mars 1786, faisant mention de le lettre de change du 28 Xbre 1785 et signé au dos par différents intervenants. Les 3 documents en très bon état.
Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document.
"BANQUE. 1928. In-4. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Déchirures. 119 pages illustrées de quelques photos en noir et blanc - quelques pages salies + mouillures + 3 BULLETIN ""OPERATIONS E NBOURSE"" - EDMOND NYSSEN "" LA COTE AUXILIAIRE"".. . . . Classification Dewey : 332-Banque (économie financière)"
"Les obligations payables en or et en monnaies étrangères / La lettre de change et la S.D.N. / La loi et la Banque / Piements a effectuer en Allemagne / Faut il réglementer la profession de banquier? / Les Banques et l'Assurance des crédits a l'exportation / LE coin du technicien / L'Epargne et les Excès de la Fiscalité / Echios / Pour les guichets des ""Ordres de Bourses"" / La banquier trouve t il dans le natissemenr une garantie suffisante? (suite) / LA bibliothèque du Banquier / etc... Classification Dewey : 332-Banque (économie financière)"
Louvet, Charles (Banquier, député De Maine-et-Loire, 1806-1882)
Reference : 8690
(1872)
13,5 21 Saumur 1872 1. " Saumur, 20 janvier 1872. Madame, en dehors du bon usage d'envoyer des cartes à l'occasion du nouvel an, nous ne voulons cependant ma femme et moi, laisser passer cette époque sans vous remercier de nouveau de tout ce que vous avez fait pour nous durant l'année qui vient de finir. Lorsque le vent d'orage soufflait sur nous, vous nous avez accueillis avec une bienveillante sympathie sous le patronage de nos communs amis M. et Mme. Ségris; et vos bontés à notre endroit ont été grandes et nombreuses. Croyez que ces services, semblables au bon grain de l'Evangile, ne sont point tombés sur une terre stérile et ingrate, et que la gratitude qu'ils ont produite sera aussi fidèle qu'elle a été vive et sincère. Veuillez trouver ici, Madmae, pour vous et votre excellent mari, l'hommage...Louvet." - Double feuillet. 2. Saumur, 3 octobre 1881. Madame, un de mes plus vieux et derniers meilleurs amis, qui était aussi l'ami de notre très regrettable et très regretté Ségris, M. de Parieu, ancien ministre de l'Empire, ancien Président du Conseil d'Etat, aujourd'hui membre de l'Institut et Sénateur du Cantal, est à Dax depuis une quinzaine de jours pour soigner ses douleurs rhumatismales. je le prie de se présenter chez vous de ma part, afin de vous offrir, ainsi qu'à Monsieur de Castéra, l'hommage de notre fidèle et excellent souvenir. Nous n'oublierons jamais, ma famille et moi, la bienveillance que vous nous avez témoignée durant les mauvais jours des années 1870 et 1871, et les bons offices dont vous nous avez entourés, afin d'alléger l'amertume de notre séjour sur une terre étrangère. Mme Ségris, qui vient de passer avec nous quelques jours, me charge d'être près de vous...Louvet." La destinataire de ces deux lettres, touchantes de gratitude, est Madame d'Avezac de Castéra (née Léonie de Corta, 1845-1919, fille du député et sénateur des Landes Charles Corta (1805-1870) et épouse d'Armand d'Avezac de Castéra (1835-1906). Le député Charles Louvet qui avait été également ministre de l'Agriculture au sein du gouvernement Emile Ollivier (janvier - août 1870) semble avoir trouvé refuge dans le Sud-Ouest chez les Castéra au moment de la guerre de 1870 et du repli du gouvernement et de l'Assemblée à Bordeaux. La carrière politique de l'avocat Alexis Segris (1811-1880) est parallèle à celle de Louvet : il fut député du Maine-et-Loire sous le Second Empire et ministre des deux derniers gouvernements Emile Ollivier. Très bon état.
s.l. (Paris) 15 janvier 1810, 18,2x23,9cm, un feuillet.
Lettre autographe signée et datée du 15 janvier 1810 de Benjamin Constant adressée à son banquier Léon Joseph Leconte. Adresse de la main de Constant au verso, ainsi que quelques notesdu destinataire à la plume. Plis inhérents à l'envoi, manque de papier marginal dû au décachetage de la lettre. "Les rentes majorées émises ont du être payées le 10 janvier Monsieur. Etant prêt à partir la semaine prochaine, je désire savoir si je puis disposer chez vous de la petite somme résultant de deux semestres que vous avez dû recevoir pour moi." Benjamin Constant écrit cette missive dans une période de sa viemarquée par les tumultes amoureux et financiers, et demande à son banquier des rentes qui lui sont dûes. Il partage encore son temps avec sonépouse, Charlotte Hardenberg, qu'il maria en secret en 1808, etson amantede toujours,l'écrivaineGermaine de Staël. Constantmultiplie alors les déplacements et les dettes de jeu.Dans cette lettre, il est "prêt à partir la semaine prochaine" chez Madame de Staëlpour s'entretenir de délicatesquestions d'argenten son château de Coppet en Suisse, où se réunissait alors toutel'intelligentsia européeenne. Précieuse relique constantienne de l'écrivain en pleine tourmente, tiraillé entre bonheur conjugal et complicité intellectuelle avec la grande Germaine de Staël. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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