LIBRAIRIE A. LEMERRE. NON DATE. In-16. Cartonné. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 114 pages. Couverture non originale. Signature d'un particulier sur la page de faux titre et la page de titre.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Reference : R160125503
Petite Collection rose Classification Dewey : 841-Poésie
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Paris, chez la plupart des libraires, 1884. In-8 de [2]-47-3 pages, plein maroquin rouge, dos à nerfs, double filets dorés encadrants les plats, tête dorée, couvertures conservées. Ex-libris Paul Coichot. Une coiffe et un mors légèrement frottés. La reliure est signée de B. Berthet.
Frontispice gravé de G. Clairin, fac simile d'une lettre de Charles Monselet imprimée sur papier de Chine et une eau-forte de Félicien Rops. On a ajouté dans cet exemplaire les gravures publiées dans la seconde édition (1888), de Félicien Rops encore: "Ecchymoses" et "Auscultation". Edition originale, publiée anonymement, mais imprimée à Dijon par Darantière; un des 350 exemplaires sur papier de Hollande. On ne résiste pas à vous faire lire quelques lignes de ce bon Octave Uzanne, à propos des Sonnets du docteur: " Cet opuscule d'une cinquantaine de pages est spécialement destiné aux bibliophiles ; le tirage total atteint à peine 500 exemplaires, et l'impression, faite par maître Vascosan Darantière, de Dijon, est hors ligne et fait grand honneur à ce trop modeste émule des Sheuring et des Hérissey. Le texte, d'une merveilleuse pureté, bien mis en page et interligné, est entouré d'un encadrement rouge très sobre et d'un ton harmonieux. Ce joli petit livre s'ouvre par un frontispice de Georges Clairin et se termine par un curieux culispice à l'eau-forte de Félicien Rops, le chemisier favori des déesses de la mythologie moderne et le gantier des amours, le seul qui sache attacher une jarretière sur les mailles rosées d'un bas follement capiteux ; un grand artiste, en un mot, qui est dans l'art le Villon des petites villotières et le Rembrandt des sabbats charnels. Les Sonnets du Docteur vivront spirituellement et typographiquement, et les bibliophiles du XXe siècle fouilleront les archives de l'Académie de médecine pour découvrir le nom de ce fantastique Hippocrate qui mis en exergue au cou de sa muse, au nez voluptueusement retroussé : Camuse est." A propos de l'auteur: " Le docteur... le nommerai-je ?... est un honorable oculiste dijonnais, natif du Vendômois, qui a conservé la pleine verdeur de son pays d'origine. - Poète rabelaisien de la bonne école, il aime le large rire gaulois et courtise la muse gaillarde et grasselette de Grécourt et de Panard. - Ses sonnets sont exquis et pleins d'originalité […]" in Le Livre, livraison du 10 janvier 1885 (merci à Bertrand Hugonnard-Roche, et à son site dédié à Uzanne). Vicaire, II, 38; Carteret, IV, p. 86.
Edgar Degas (1834-1917), peintre, sculpteur. Copie de ses sonnets, sd [entre le 28 et le 30 septembre 1917?], 8p in-8 oblong. Rare copie ancienne des fameux sonnets de Degas, écrits en 1888 et 1890, provenant des papiers du critique d'art Arsène Alexandre (1859-1937). Ces sonnets, connus seulement des proches de Degas, ont été publiés en 1914 dans un tirage limité à 20 exemplaires sur papier japon, pour les amis ; puis en 1918 par Paul Lafond dans son Degas. Ils ne semblent pas avoir été publiés à part avant 1943. Arsène Alexandre n'en eut pas d'exemplaire mais eut cette copie, qui porte d'ailleurs une note au crayon de sa main en tête du premier poème « les sonnets de Degas ». Degas meurt le 27 septembre 1917 et dès le lendemain, Le Figaro publie en première page un article d'Alexandre sur Degas où il dit notamment : « Il a même à certaines époques de sa vie écrit des sonnets que l'on dit fort beaux », preuve qu'il ne connaissait pas les sonnets à ce moment-là. Le 1er octobre, c'est aussi Le Figaro qui publie pour la première fois, à gros tirage, un sonnet de Degas, transmis par Alexandre. Il s'agit du 5e sonnet commençant par « Il semble qu'autrefois la Nature indolente ». Cela prouve donc qu'un lecteur du Figaro lui a transmis la copie de ce sonnet ou plutôt la copie des huit sonnets, très-certainement la copie en notre possession. Nous pouvons affirmer cela car, du vivant d'Alexandre, seules deux éditions ont existé (1914 et 1918), présentant les sonnets dans un ordre différent. L'ordre de notre copie est bien celui de l'édition de 1914. De plus, après la parution du livre de Lafond, il n'y a plus d'intérêt à faire une copie de l'édition de 1914. Malheureusement, il ne nous a pas été possible d'identifier quel ami de Degas avait envoyé les sonnets à Arsène Alexandre. En février 1935, dans L'Art et les Artistes (n°154), Arsène Alexandre cite deux cours passages de sonnets pour appuyer son propos sur Degas. Le numéro est d'ailleurs largement consacré au peintre avec un article d'Alexandre d'une trentaine de pages. Provenance : papiers et ouvrages d'Arsène Alexandre dispersés à Saumur en 2018. Arsène Alexandre est mort à Brain-sur-Allones, près de Saumur. Belle copie ancienne. [353-2]
1841-1866 In-12° (182 x120 mm), [1] f. - [2] pp. - 181 pp. demi-veau, dos lisse orné, encadrement doré sur les plats avec fleuron en écoinçons, gardes de papier gaufré bleu, tranches dorées (reliure de l'époque)
150 SONNETS INÉDITS DU POÈTE PARNASSIEN FRANÇOIS FERTIAULT Recueil composé de 176 sonnets dont seulement 20 sont publiés dans Les amoureux du livre, Le poème des larmes et dans certains numéros du Feuilleton de Paris. La plupart des sonnets sont dédiés, beaucoup le sont à Julie, qui n'est autre que Julie Fertiault épouse de l'auteur et mère de leur fils Victor décédé à l'âge de 13 ans. Ce deuil est le sujet de nombreux sonnets et fut l'objet d'un recueil de poèmes collectifs entre François et Julie intitulé Le poème des larmes publié en 1858. Ce n'est cependant pas le seul sujet, l'auteur se plaît aussi à parler de la bibliophilie, de la nature, de la fuite du temps, de la religion, etc. Tous ces sonnets auraient dû faire l'objet d'une publication selon un numéro de 1851 du Feuilleton de Paris, mais aussi La matière et l'âme, publié en 1863, où il est indiqué in fine que Le nid du poète est en préparation. Pour une raison indeterminée, ce projet n'aboutit pas. François Fertiault est né à Verdun-sur-le-Doubs en 1814 et mort à l'âge de 101 ans à Paris. Il fit son éducation au collège de Chalon-sur-Saône où il obtient son bac en 1834. Pendant cette période estudiantine, il publie quelques poèmes dans le quotidien Le XIXe siècle et dans plusieurs journaux locaux. Il monte à Paris où il est engagé comme prote en 1835, puis comme secrétaire dans une banque. A partir de 1847, avec sa femme Julie de son nom de jeune fille Rodde, François Fertiault édite le périodique Feuilleton de Paris puis le Bulletin de l'union des poètes jusqu'en 1867. Ce travail d'édition littéraire l'amène à côtoyer les plus grands et à collaborer au mouvement parnassien notamment en participant à l'anthologie Le Parnasse contemporain. Parisien d'adoption, il reste attaché à sa Bourgogne natale en publiant de nombreux textes et poèmes sur les coutumes locales souvent en patois bourguignon sous un pseudonyme tel qu'Altifuret Cranisof, anagramme de son nom et prénom. Faisant partie de la Société des gens de lettres, il en a longtemps été le doyen. Habile restauration aux coiffes, plusieurs feuillets découpés pour remaniement.
Paris, Alphonse Lemerre, 1874 ; in-12° , demi-maroquin vert à coins, filet doré soulignant mors et coins, dos lisse orné en long de deux rectangles inégaux de 2 listels de basane fauve cernés de filet doré, le grand rectangle est orné en son centre d'un fer floral doré le long, 3 fleurons dorés mosaiqué de basane brune, titre doré sur étiquette de basane fauve, couverture et dos conservés, tête dorée ( B. Roger relieur) ; (4), (XXXV), (III),156pp., (2)ff.Texte encadré d'un filet rouge à chaque page. Les pages 48-49 sont jaunies ( en raison d'un papier ayant séjourné entre les 2 pages), très rares piqûres, la couverture conservée est un peu jaunie, bon exemplaire bien relié.
Choix effectué parmi les meilleurs sonnets de la poésie française du XVIe au XIXe siècle, Ronsard, Du Bellay, de Baif, Malherbe, Leconte de Lisle, Hérédia, Nerval, Baudelaire, etc..On a joint un sonnet manuscrit (14 vers) , pastiche du célèbre sonnet d'Arvers sur Marie Menessier - Nodier (cf. Sonnet imité de l' italien , p. 59). Ce manuscrit autographe d' 1 page in-8° à l'encre noire " Sur une pauvre petite machine à écrire" , du 20-12-19, est donné à Romain Laveille, par une main anonyme,au crayon, au bas de la feuille. Sur une autre feuille , in-12°, imprimée à l'entête de Hippolyte Savary, Vice-Président de la Haute-Cour, le sonnet est donné à ce dernier à la date du 30 juin 1898. (CO1)
Reference : alb1a91b98f2e9f5017
Jean Noir (Cassou Jean Jean Cassou). 33 Sonnets compose au secret. (33 sonnets written in secret). In Russian (ask us if in doubt)/Jean Noir (Cassou Jean Zhan Kassu). 33 Sonnets composes au secret. (33 soneta napisannye tayno). Paris Minuit 1944. 82 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb1a91b98f2e9f5017