TREVISE. 1976. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 322 pages. Couverture illustrée en couleur. Ecriture d'un auteur inconnu sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Reference : R160101570
"Traduit de l'anglais par Pauline Verdun. Collection ""Horizon"". Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne"
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1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
4 brochure in-8, 1941, 1943, 1944, 19512, 46, 38, 41, 44 pp.
Bon ensemble. Prix du lot, non séparable
P., Masson, 1922/1939, 7 VOLUMES GRAND IN 4, brochés, couvertures imprimées, Tome 1 : Dissymétrie moléculaire, 1 PORTRAIT, 8pp., 480pp., figures dans le texte - Tome 2 : Fermentation et générations dites spontanées, 8pp., 664pp., figures dans le texte - Tome 3 : Etudes sur le vinaigre et sur le vin, 7pp., 519pp., figures dans le texte, 32 PLANCHES en noir et en couleurs - Tome 4 : Etudes sur la maladie des vers à soie, 1 FRONTISPICE, 8pp., (1), 761pp., 17 PLANCHES en noir et en couleurs, figures dans le texte - Tome 5 : Etudes sur la bière, 7pp., 361pp., 12 PLANCHES, figures dans le texte - Tome 6 : Maladies virulentes, virus vaccins et prophylaxie de la rage. Mélanges scientifiques et littéraires, 12pp., 906pp. - Tome 7 : Table des noms cités, table chronologique. Index analytique et synthétique de l'oeuvre de Pasteur, 6pp., 666pp.
---- EDITION ORIGINALE ---- BEL EXEMPLAIRE ---- "A triumph of careful and diligent scholarship - Contains all of PASTEUR's books, monographs and scientific papers". (DSB) ---- "Virtually every work that PASTEUR published during his lifetime, including all of his books, monographs and scientific papers, has been reproduced in the monumental and magnificent Oeuvres de PASTEUR by PASTEUR VALLERY-RADOT edition (7 vols, Paris 1922/1939). This work also contains a number of letters, notes and manuscripts that were not published during PASTEUR's lifetime including several reports by commissions of the Academie des Sciences. Each volume has a brief introduction by PASTEUR VALLERY-RADOT, who adds helpfull editorial notes and comments throughout... In every way Oeuvres de Pasteur is a triumph of careful and diligent scholarship". (DSB X p. 411) ---- GARRISON N° 83 : "One of the founders of bactériology, Pasteur is at the same time one of the greatest figures in the history of medicine. His work on fermentation, the doctrine of spontaneous generation (which he exploded), virus diseases and preventive vaccinations, was fundamental"**4003/o7
1 vol. in-12 br., ISTRA, Strasbourg - Paris, 1970, 75 pp.
Bon état. Encore avec son bandeau éditeur.
"LIEBIG, JUSTUS von - LOUIS PASTEUR. - THE CLASH OF GIANTS - THE LIEBIG-PASTEUR CONTROVERSY.
Reference : 44232
(1871)
Paris, Victor Masson et Fils, 1871. (+) Paris, G. Masson, 1872. 8vo. 2 contemp. hcalf, raised bands, gilt spine. Light wear along edges. Small stamps on verso of titlepage. In: ""Annales de Chimie et de Physique"", 4e Series - Tome 23 a. 25. 480 pp. a. 1 folded engravedplate. + 576 pp. a. 1 folded engraved plate. (The entire volumes offered). Liebig's papers: pp. 1-49 a. pp. 194-212 (both in vol. 23). Pasteur's paper: pp. 145-151.
First appearance in French of Liebig's two papers on fermentation and first appearance of Pasteur's paper. Liebig's papers started a bitter controversy (after Liebig's death continued by Claude Bernard) as he claimed, that all ferments are chemical reactions and not vital processes. Pasteur, on the other hand, claimed that life is needed for fermentation.""From 1865 to 1870, while Pasteur was preoccupied with the silk-worm problem, his theory of fermentation enjoyed increasing favor, especially abroad. What criticism did appear during the period failed to distract him from his centraltask. In 1871, hovever, the ""Annales de chimie et de physique"" published a French translation of a wide-ranging critique by Liebig (the papers offered), who had broken a long silence on the issues of the two lectures (1868, 1869). In a reply (the paper offered) of almost arrogant brevity, Pateur discussed only two aspects of Liebig's critique, both of which involved direct challenges to experimental claims made a decade beforee by Pasteur: (1) that pure yeast and a simple alcoholic fermentation could be produced in a medium free of organic nitrogen and (2) that acetic fermentation required the intervention of ""Mycoderma aceti"". OPasteur responded by challenging Liebig to submit the dispute to a commission of the Academie des Sciences. before this commission, Pasteur boldly predicted, he would prepare, in a medium free of organic nitrogen, as much beer yeast as Liebig might reasonably demand and would demonstrate the existance of ""Mycoderma aceti"" on the surface of the beechwood shavings used in the German methpd of acetification....Liebig died in 1873 without accepting Pasteur's challenge.""(DSB X, ppp. 376 ff.). - Partington IV, pp. 307 ff.The volumes contains other notable papers: BERTHELOT ""Mémoire sur la force de poudre et des matieres explosives"", pp. 223-273., JANSSEN: ""Études sur les raies telluriques du spectre solaire"", pp. 274-298, KEKULÉ, BOUSSINGAULT, STAS, WURTZ et al.