SEUIL. 1973. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Intérieur frais. 219 pages; ancien exemplaire bibliothèque tamponné.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R160066479
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Parenthèses Editions Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1979 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une photographie d'un combattant armé à genoux avec un turban grand In-8 1 vol. - 207 pages
1ere traduction en français, 1978-1979 "Contents, Chapitres : Note au lecteur et notice biographique, bibliographie, par L. Ketcheyan (20 pages) - Sur le chemin de la liberté - Préface - Le Khai - L'honneur - Cesse donc de prier - La mère - Un levain maudit - En prison - Dchavo - L'achough - Le pèlerin - La voix du sang - Le champ - Vazrik - Hazré - Notre chemin - Grégoire le sacristain - L'esprit de liberté - Sur le champ de bataille - Le nouvel an d'un haïdouk - L'aube - Sous des horizons étrangers - Le porteur de Flambeau - Tu mérites le respect - Avétis Aharonian, né le 9 janvier 1866 à Igdir et mort le 20 avril 1948 à Marseille, est un écrivain, journaliste et homme politique arménien. - Avétis Aharonian est né à Igdirmava, petit village proche du bourg d'Igdir à l'époque sous domination russe. Vers 1855, ses parents avaient émigré du village de Haftevan (district de Salmast) pour fuir le joug mahométan et se réfugier dans la Russie orthodoxe. Son père, Arakel, était forgeron et illettré. Au contraire de sa mère Zartar, qui apprend à lire et à écrire non seulement à ses propres enfants mais aussi à ceux des environs. C'est dans ce foyer que l'esprit de l'enfant se forme. Aharonian rapporte lui-même ses souvenirs dans son ouvrage autobiographique In Guirke (Mon livre). Le milieu rural, avec toute sa diversité, ses murs anciennes, ses contes et ses coutumes, ses saisons bonnes ou mauvaises, marque son esprit. Enfant attentif et sensible, il écoute déjà les bruits de la nature. Son attention est attiré par les incidents et les événements, par les gens et leurs caractéristiques morales et cela le fait réfléchir. C'est auprès de sa mère que le jeune Avétis reçut les premiers éléments de son instruction. Ses parents voulaient en faire un prêtre. Il fait ses études au Séminaire théologique Gevorkian d'Etchmiadzin, puis à l'université de Lausanne (philosophie et histoire) et enfin à la Sorbonne (littérature). - Après son retour, il adhère à la Fédération révolutionnaire arménienne et collabore avec Trochak (Drapeau), le journal du parti. Il collabore à plusieurs journaux ou périodiques (Mourdj, Haratch, Alik). Entre 1907 et 1909, il est le directeur (ou peut-être seulement conseiller d'éducation) de l'Académie Nersissian à Tiflis. Il est arrêté par la police tsariste en 1909, mais s'échappe de sa prison deux ans plus tard et s'exile en Suisse. Avétis Aharonian retourne dans le Caucase en 1916. Il participe à la formation du Congrès national arménien et prend en 1917 la tête du Conseil national arménien, qui fonde la Première République d'Arménie. Le gouvernement du nouvel État en fait l'un des visages principaux du pays sur la scène internationale, notamment du fait de ses qualités littéraires et de sa connaissance du français. Ainsi, il dirige la délégation arménienne envoyée à Istanbul en 1918 chargée de régler la question de la frontière entre l'Arménie et l'Empire ottoman ; Avétis Aharonian rencontre un certain nombre de personnalités, dont Talaat Pacha et Enver Pacha. En décembre 1918, il ensuite nommé par le parlement arménien à la tête de la délégation envoyée à la conférence de paix de Paris (1919), mais il découvre à son arrivée que son pays n'a pas sa place à la table des négociations. Il reste dans la capitale française et est l'un des signataires du Traité de Sèvres en août 1920. Cependant, ce traité, qui reconnaît l'Arménie en tant quÉtat indépendant, n'a que peu d'impact du fait de l'invasion soviétique qui a lieu quelques mois plus tard. Avétis Aharonian s'installe alors en France et continue de représenter les intérêts arméniens jusqu'au Traité de Lausanne en 1923, qui enterre définitivement les espoirs arméniens à l'autodétermination. Il vit ensuite à Marseille. Le 11 février 1934, lors d'une conférence organisée par Hamazkaïne, il souffre d'un AVC en plein discours devant une assemblée de 2 000 personnes. Il vit ensuite 14 ans dans la ville phocéenne, incapable de parler ou d'écrire, et y meurt le 20 avril 1948. (source : Wikipedia)" "couverture à peine jaunie avec d'infimes traces de pliures aux coins du plat supérieur, sinon très bon état, intérieur frais et propre, cela reste un bon exemplaire de ces 22 nouvelles écrites entre 1898 et 1902, ""elles composent une vaste fresque sur la vie quotidienne dans les villages arméniens où apparaissent déjà les signes précurseurs du premiers génocides du XXe siècle. Cette traduction constitue un précieux témoignage et donne accès à un texte où se mêlent des éléments poétique, historique, sociologique voire ethnologique et qui sous-tend un appel à la résistance de tout un peuple ""vers le chemin de la liberté"". (4eme de couverture)"
Turnhout, Brepols, 2011 Paperback, 257 p., 2 b/w ill., 120 x 190 mm. ISBN 9782503540375.
Les textes armeniens presentes et traduits en francais dans ce volume relatent les circonstances de la predication et du martyre des apotres Thaddee et Barthelemy en Armenie, a l'epoque du roi Sanatrouk. Ils presentent les deux apotres comme les premiers fondateurs de l'Eglise armenienne, bien avant l'?uvre evangelisatrice de Gregoire l'Illuminateur, au debut du IVe siecle, lorsque le royaume d'Armenie adopta, le premier, le christianisme comme religion d'Etat. Livrant bataille aux demons et aux divinites mazdeennes, dans des recits impregnes de mythologie paienne, les deux apotres ?uvrent a l'accomplissement d'un plan divin qui fait du peuple armenien le nouveau peuple elu. Sur le modele de l'histoire biblique, ces textes apocryphes participent en effet de la meme visee que la pensee historiographique armenienne des origines et contribuent a inscrire le peuple armenien dans l'Historia sacra. Faisant suite aux Martyres, les deux recits de la Decouverte des reliques des apotres sur le sol armenien veulent apporter une caution d'authenticite a la tradition de leur mission. A l'epoque des querelles christologiques qui suivirent le concile de Chalcedoine (451), le label d'apostolicite offert par les textes apocryphes legitima la politique d?affranchissement de l'Eglise armenienne, anti-chalcedonite, par rapport a l?Eglise byzantine. De nos jours encore, l'Eglise d'Armenie, autocephale depuis le VIe-VIIe siecle, s'appelle officiellement ?« Eglise apostolique armenienne ?». Nouveau.
MYR-DAVOUD-ZADOUR DE MELIK SCHAHNAZAR. LANGLES (Louis). CHAHAN DE CIRBIED (Jacques).
Reference : 761
(1817)
Paris Nepveu 1817 In-16, 360 pp. plein veau blond glacé, dos lissé décoré, pièce de titre de maroquin noir, tranches dorées. Ouvrage illustré d'une vignette sur la page de titre et de deux figures gravées et coloriées à l'aquarelle représentant l'auteur et un officier royal, tous les deux en costumes persans. Edition originale (quoique la seconde page de titre soit à la date de 1818). Belle impression trilingue. Ouvrage recherché contenant "les notices sur l'état actuel de la Perse" par le ministre persan Myr-Davoud-Zadour, traduits de l'arménien par Chahan de Cirbied, suivi du récit par le même d'un "acte de tolérance religieuse exercé à Tauryz" et un "aperçu général de la Perse" par Langlès.
Fente de 6 cm. au plat supérieur, infimes épidermures. Bel état intérieur.Louis-Mathieu Langlès (1763-1824) est un orientaliste et bibliothécaire français, fondateur et premier directeur de l'École spéciale des langues orientales, où il enseigne le persan (il eut notamment pour élève Amable Jourdain), et conservateur des manuscrits orientaux à la Bibliothèque impériale. Jacques Chahan de Cirbied (1772-1834), originaire d'Anatolie, rencontra Bonaparte en Italie et vint en France en 1792. Il y enseigna l'arménien et fut nommé professeur titulaire à l'École Spéciale des langues orientales établie à la Bibliothèque impériale par un décret impérial du 27 février 1812. Libraire membre du S.L.A.M. (Syndicat national de la Librairie Ancienne et Moderne) et de la L.I.L.A. (Ligue Internationale de la Librairie Ancienne). N'hésitez pas à prendre contact par mail pour des photographies et des détails supplémentaires, pour des recherches ou des estimations de livres anciens et rares.
Paris Imprimerie impériale 1867 in-8 broché sous couverture rose imprimée, non coupé, importantes mouillures claires infra-paginales
2 ff.n.ch., 58 pp.Au CCF, exemplaires seulement à la BnF, à la BULAC et à l'Institut catholique. Extrait du Journal asiatique. L'historien et philosophe arménien Vardan Areveltsi ou Gandzakesti (1198-1271) est célèbre pour avoir fondé plusieurs écoles et monastères, pour sa riche contribution à la littérature arménienne, et surtout pour son Histoire universelle, une des premières tentatives par un historien arménien de rédiger une histoire mondiale
P., Flammarion, 1989. In-4 broché, 255 pp. Nombreuses illustrations noir et blanc et couleur. TB état.
Sirarpie Der Nersessian, née le 5 septembre 1896 à Constantinople et morte le 5 juillet 1989 à Paris, est une historienne de l'art française d'origine arménienne, spécialisée dans les études byzantines et arméniennes.Der Nersessian est une célèbre universitaire, et une pionnière dans l'étude de l'histoire de l'art arménien. Elle enseigne dans plusieurs institutions des États-Unis, notamment le Wellesley College et l'université Harvard où l'on crée pour elle une chaire Henri Focillon Professor of Art and Archeology en 1953.Elle est senior fellow à Dumbarton Oaks, dont elle est directrice adjointe de 1954 à 1962. Elle est également membre de plusieurs institutions internationales telles que la British Academy (1975), l'Académie des inscriptions et belles-lettres (1978) et de l'Académie arménienne des sciences (1966).(source Wikipédia)