ROBERT LAFFONT.. 1979. In-8. Broché. Bon état, Couv. défraîchie, Dos frotté, Intérieur frais. 406 pages. Première de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Reference : R160046348
ISBN : 2221001281
Holocauste c'est toute l'histoire de la persecution des juifs par le nazis de 1933 à 1945 vue à travers deux familles de Berlin dont les destins s'entrecroissent. Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Marvel France. 2002. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 96 pages - nombreuses illustrations en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : X-Men holocauste : J moins 1 des cendres du passé ressurgit l'histoire - X-Men holocauste j moins 1 appel aux armes - mutations par Jérémy Manesse - X-Men holocauste J moins 1 comme des agneaux à l'abattoir ! - X-Men holocauste j moins 1 conclusion ! - rayons x par Christian Grasse. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Jérusalem. Yad Vashem. Institut commémoratif des martyrs et des héros, 1975. In-4 agrafé. Plusieurs textes en français. Importante iconographie en noir & blanc et reproductions en couleurs de dessins d'enfants en dépliant. Chronologie etc. E.O.
PRESSES D'AUJOURD'HUI. JUIN 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1897 à 2093.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue fondée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Sommaire : De l'Holocauste a Holocauste ou comment s'en débarrasser par Claude Lanzmann, Les juifs en Perse avant les Pahlevi par David Littman, Notes d'un voyage en Grèce par Vassilis Vassilikos, Chine-Viet-nam : les racines historiques du conflit par Gilles Manceron, Pertinentes impertinences par Nicolas Dubost Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
France-Empire, 1979 pt in-8°, 413 pp, annexe, broché, couv. illustrée, bon état
Renouant avec la tradition de ses grandes enquêtes historiques sur les camps d'extermination de la seconde guerre mondiale – dix ouvrages, dont les témoignages inédits constituent l'acte d'accusation le plus complet et le plus irréfutable contre la barbarie nazie – Christian Bernadac s'est attaché dans “L'Holocauste oublié” au martyre inconnu de ce peuple du voyage, les tsiganes, qui était condamné au même titre que les juifs, par les lois raciales du Reich. L'horreur et l'immensité de la « Solution finale » du problème juif ont le plus souvent masqué le massacre organisé des tsiganes européens. Aucun tsigane ne témoigna au procès de Nuremberg. Ce « silence » sur la disparition d'au moins 250.000 tsiganes trouve une explication logique dans l'absence de langue écrite tsigane, mais aussi et surtout dans la « mauvaise conscience » de tous ceux qui ont eu à coeur, pendant des siècles, de mépriser, insulter, poursuivre, rejeter, condamner ces bohémiens, romanichels ou autres « voleurs d'enfants et de poulets », marginaux non par atavisme, mais par la seule force des attitudes de leurs contemporains. Sait-on que les autorités françaises avaient commencé l'internement « des nomades » dans de véritables camps de concentration français, construits sur le territoire français dans les mois qui ont précédé la seconde guerre mondiale ? Christian Bernadac a retrouvé les archives de ces camps que l'on néglige aujourd'hui encore de mentionner. Ces documents et un ensemble inégalable de témoignages ont permis à l'auteur de retracer dans L'Holocauste oublié la longue persécution de ces familles marquées depuis « la fuite indienne » par une malédiction, en de nombreux points comparables à celle qui frappa la race juive. “L'Holocauste oublié”, une révélation qu'il faut – enfin – avoir le courage de découvrir et de lire.
Flammarion, 2002, in-8°, 285 pp, traduit du russe, un portrait photo de l'auteur en frontispice, et 12 pl. de photos hors texte, 2 cartes, broché, bon état
L’armée rouge reçut-elle jamais l’ordre de libérer Auschwitz ? C’est pour répondre à cette question que Vassili Petrenko, l’un des quatre généraux à la tête des troupes qui libérèrent le camp – et le dernier en vie –, s’est penché sur son passé. Né dans l’Ukraine profonde et antisémite, bénéficiant de la mobilité sociale créée par la révolution, il fait une carrière militaire. Il voit les armées des Blancs et celles des Rouges ; il constate les ravages de la collectivisation ; il assiste aux purges staliniennes. Devenu commandant, il participe à l’opération Vistule-Oder et pénètre dans le camp d’Auschwitz. Général à l’âge de trente-trois ans, il est témoin et acteur de l’histoire de l’après-guerre : la répression berlinoise en 1953, les tensions dans les républiques soviétiques d’Asie... Au début des années 80, une question l’ébranle : « avez-vous libéré Auschwitz sur ordre ou en passant ? Vos troupes n’ont-elles pas tardé ? » L’exploration des archives lui révèle que la libération du camp ne figurait pas parmi les objectifs fixés par les dirigeants soviétiques. Devenu depuis militant du souvenir, il est, en Russie, l’une des rares personnalités non juives qui s’emploient à faire connaître la vérité sur le génocide. — "Le livre que publie Flammarion est composé de deux ouvrages très différents l'un de l'autre. Il y a d'abord les Mémoires plus ou moins rewrités d'un général soviétique, Vassili Yakovlevitch Petrenko, né en 1912. Il est, en janvier 1945, à la tête d'une des quatre divisions qui libérèrent Auschwitz. C'est comme libérateur du camp d'extermination qu'il devint, en 1981, une figure internationale. Il fut accusé en Occident d'avoir reçu l'ordre de retarder la libération du camp pour permettre aux nazis d'achever leur besogne. C'était faux et injurieux. C'était aussi confondre Auschwitz et Varsovie. Là, l'armée rouge marqua volontairement le pas sur les bords de la Vistule pour laisser aux nazis le temps de liquider l'insurrection nationaliste. Rien de tel devant Auschwitz. Simplement la libération du camp n'était pas un objectif militaire, pas plus d'ailleurs que Paris ou Strasbourg pour l'armée que commandait Eisenhower.. Ce récit est fort intéressant, mais le texte qui suit, “Le Kremlin et l'Holocauste, 1933-2001”, est, lui, une analyse historique de tout premier ordre due à la plume experte d'Ilya Altman et Claudio Ingerflom. A lire absolument." (Pierre Vidal-Naquet, Le Monde, 2002)