Robert Laffont. 1985. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 311 pages.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Reference : R160044949
ISBN : 2221045815
Roman traduit de l'américain par Benjamin Legrand. Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
ROBERT LAFONT. 1985. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur frais. 309 pages.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
TRADUIT DE L'AMERICAIN PAR BENJAMIN LEGRAND. Classification Dewey : 810-Littérature américaine
1 vol. in-4 reliure demi-vélin à coins, couvertures conservées, tirage sur BFK Rives, s.l.n.n., mai 1924, 14 pp. avec 6 planches hors texte (y compris le frontispice) et 8 planches ajoutées (dont beau portrait gravé ancien de Vauban, d'après Rigaud, dessiné et gravé par Bertonnier et une volante) et 8 L.A.S. jointes [ Contient notamment : ] 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, de Pierre de Nollhac - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, datée de janvier 1913 de Gaston Brière : "Votre idée au sujet de l'inconnu de Versailles est intéressante [... mais il faut cette objection : ] "notre militaire de porte aucun ordre de Chevalerie. Or, dans les grands bustes de gros personnages du 17e siècle, je n'ai jamais trouvé l'oubli des insignes. Un Villars sans le Saint Esprit ou la Toison ne peut être un Villars... D'où je conclus que notre personnage doit être un ministre, quelque mestre de camp ou brigadier des armées du Roi, et que nous ne saurons probablement jamais son nom. C'est la conclusion mélancolique de bien des requêtes quand nul fil conducteur ne permet de relier l'oeuvre d'art à un lieu d'origine. Je souhaite que vous soyez heureux dans vos recherches d'archives sur le beau buste de Bordeaux. Plusieurs personnes consultées ont connu le nom de l'armateur Goëthals, j'espère quelques renseignements sur lui. Il serait fort curieux de savoir que le J.Louis Lemoyne du Musée viendrait également de la même collection" - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, d'André Pératé, du 15 décembre 1916 : "Grâce à vous, l'histoire des bustes de Versailles et de St Cyr est définitivement éclairci. Le buste de St Cyr est une copie moderne de notre buste (envoi de l'Etat en 1886) ; copie fidèle au point que la signature A. Coysevox f. y est soigneusement reproduite [ suivent d'autres renseignement sur la signature de leur buste et d'un autre exemplaire, dans les collections royales d'Angleterre ] - 1 billet autographe signé de Pierre Nolhac (bon de visite salles du 18e siècle) - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, d'André Pératé, du 20 Janvier 1917 : "Voici Monsieur un frottis, pris par notre sculpteur Alègre, de la signature du pseudo-Vauban [ ... ] Les intéressantes constatations que vous venez de faire sur le buste de Windsor nous montrent qu'il ne faut accepter qu'avec prudence certaines découvertes des critiques d'art anglais [ ... ]" - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, d'André Pératé, du 5 mars 1917 : [ il remplace pour la correspondance Pierre de Nolhac, qui s'est cassé le bras droit ] "Je vous envoie le frottis de la signature de Coysevox pris par M. Alègre sur le bronze de la Garonne au Parterre d'eau [...] PS : Que pensez-vous de notre pseudo-Vauban ? Est-ce vraiment et sûrement un Villars ?" - 1 L.A.S. à en-tête du Château de Versailles, d'André Pératé, du 9 Avril 1917 : [ il le remercie pour les photos, conclut avec P. de Nolhac au caractère moderne du buste de Villars conservé à Windsorn malgré le caractère curieux d'un tel faux il y a une centaine d'année : ] "Quoi qu'il en soit de l'authenticité de ce buste, il donne les traits de Villars, et se rapproche singulièrement du nôtre, dont la copie est à St Cyr. Voilà, tout au moins, en ce qui concerne notre buste, une question d'attribution du personnage représenté qui est, grâce à vous, résolue, et nous vous en sommes très reconnaissants [...]" - 1 L.A.S. de Gaston Brière - 1 longue note autographe récapitulative de l'auteur - 1 courrier d'un correspondant anglais - 1 courrier tapuscrit Ville de Bordeaux
Exemplaire unique de l'auteur, enrichi des nombreux courriers autographes signés ayant servi à l'élaboration de l'ouvrage et de planches supplémentaires. L'intérêt de Maurice Meaudre de Lapouyade pour un buste conservé au Musée de Bordeaux et attribué à Lemoyne l'a conduit à d'intéressantes recherches à Versailles, Saint Cyr et Windsor. S'il conclut l'ouvrage en avouant son ignorance sur le personnage représenté dans le buste de Bordeaux, il a indiqué au crayon sous la figure de ce dernier : "Samuel Bernard". Bon état (frott. en plats, bel exemplaire par ailleurs).
3 LAS datée de 1877 et 1888, 2 au format in-4, une page et demie chacune, anciennement montées sur onglet, la dernière de 1888 de 2 pp. et demie : 2 lettres autographes signées d'Alfred Pottier de Courcy. 1 LAS datée de Paris, le 31 octobre 1887 sur papier à en-tête de la Compagnie d'Assurances Générales Maritimes : [ Il remercie son correspondant pour ses informations et continue : ] "Sur les informations du Commissaire du Port de mer de Dax, je lui envoie aujourd'hui un secours de f. 200 pour la protégée de Monseigneur. Voici que je recours encore à votre obligeance, cette fois pour un sujet bien futile. J'ai un vieil original de frère qui se livre dans sa province à des travaux de bénédictin et s'attache en ce moment à l'historique généalogique de la famille ou des familles de Loménie, et de quelques autres [ ... ] Il m'en demande aujourd'hui qui ne peuvent se trouver qu'aux Archives de la Marine si les registres de St Dominique y sont conservés comme ceux de l'Ile de France [ ... ] Il publie à la librairie Firmin-Didot un ouvrage effrayant, une édition continuée de l'Histoire des grands officiers de la Couronne du Père Anselme, et ces recherches sont destinées à combler des lacunes. Chacun prend son plaisir où il le trouve. Je ne connais guère de labeurs plus rebutants que des travaux généalogiques, mais mon cher frère ne s'intéressera pas davantage à mes gros volumes de Droit Maritime et se garde bien de les lire [ ... ] ; 1 LAS datée du 12 décembre 1887 sur papier à en-tête de la Société de Secours aux familles des marins Français Naufragés : "Mon cher Monsieur, depuis qu'on a donné un peu de publicité à ma société, cela m'amène quelques concours sans doute, mais m'amène aussi une recrudescence [ il évoque une postulante veuve en premières noces du lieutenant de vaisseau Mage, qui a péri avec la Gorgone en 1869 ] "J'aurai tous les droits du monde de dire néant à la requête, l'événement étant antérieur de dix ans à la naissance de ma société. On me représente cette femme comme dans la plus profonde détresse, nourrie par une domestique dévouée qui l'entretiendrait au lieu d'être payée, et qui si l'histoire est vraie mériterait un prix Montyon [ ... ] "J'aurai cru que la veuve d'un lieutenant de vaisseau qui a péri à la mer aurait eu une pension, un bureau de tabac, des secours annuels et on prétend que c'est parce qu'elle s'était remariée qu'elle n'obtiendrait rien, le second mari qu'elle a eu la faiblesse d'épouser aurait été un détestable qui ne lui aurait laissé que des dettes [ ... ]
Assureur maritime, Alfred de Courcy (1816-1888) arma notamment un navire hôpital et fonda une caisse pour les familles de marins. Il évoque ici son frère Pol Potier, baron de Courcy, auteur du "Nobiliaire et Armorial de Bretagne". Il évoque également la veuve d'un naufragé de la Gorgone ; corvette à roues, la Gorgone sombra en 1869 sur le phare des Pierres Noires au large de la pointe Saint-Mathieu, noyant les 93 membres de l'équipage. La dernière lettre est très remarquable pour l'histoire des assurances maritimes.