JC Lattès. 1975. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur frais. 415 pages. Mouillures sur les tranches.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R160000151
Roman. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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1975 1975.
Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France
JC LATTES. 1975. In-8. Broché. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 415 pages - déchirure sur le 1er plat.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Roman. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
1975. JC Lattes, 1975. Format 14x22,5 cm, broche, 415 pages. Bon etat.
Paris, JC Lattès, 1975; in-8 broché. 415 pp. BON ETAT.
AUTRES TITRES DISPONIBLES du même auteur.
Tallandier, 1995, in-8°, 240 pp, annexes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Pourquoi l'institution chevaleresque, si antique que ses origines se perdaient dans la nuit des temps, pourquoi la chevalerie, si florissante au XIIe et au XIIIe siècles, au temps de Frédéric Barberousse, de Richard Coeur de Lion, puis de Saint-Louis, a-t-elle décliné durant les siècles suivants ? Elle scintillait comme l'Excalibur du roi Arthur : avec l'Eglise des cathédrales et des grands monastères, elle était le phare du Moyen Age à son apogée. (...) C'est cette splendeur puis ce crépuscule que nous raconte E. Bourassin avec une parfaite maîtrise et une verve qui trouve à s'exercer brillamment dans les récits de batailles, les joutes politiques et les sortilèges d'une fascinante histoire de décadence. — "Emmanuel Bourassin a eu la bonne idée de publier ce livre qui nous conte, chapitre après chapitre, et au fil des événements, la magnifique et pathétique histoire de l'apogée et du déclin de la chevalerie occidentale au cours des deux derniers siecles du Moyen Âge, en poussant une pointe jusqu'au premier quart du XVIe siècle. On y trouve Courtrai (1302), cette bataille dite des Éperons d'or, parce que les Flamands, y ayant défait les troupes françaises, leur avaient pris ces pièces de métal fixées au talon des cavaliers et avaient pour la première fois rabaissé la morgue de chevaliers trop sûrs d'eux et de leur supériorité, comme si la victoire sur des bourgeois et des gens du commun ne pouvait leur échapper. De cette prétention, les archers anglais n'allaient pas tarder à profiter, dès le début de la guerre de Cent ans, pour terrasser la lourde chevalerie française à Crécy (1346), Poitiers-Maupertuis (1356), Azincourt (1415)." (François Sarindar)