FLAMMARION. NON DATE. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Fortes mouillures. 328 pages- pages partiellement désolidarisées- ex libris de Geneviève Dubois- Georges Flore. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Reference : R150214355
Préface par Armand Silvestre Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
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FLAMMARION ERNEST. NON DATE. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur frais. XVI + 328 pages - dos en fendu.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
PREFACE D'ARMAND SILVESTRE. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
FLAMMARION E. Non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 328 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Préface d'Armand Silvestre. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Paris, E. Flammarion, Sans date [circa 1898]., in-12 demi-maroquin, dos lisse, arabesques et étoiles dorés, lettres dorées, filet doré sur les plats, couverture conservée, XVI + 328 pp. Belle reliure (dos uniformément insolé). Couverture en très bon état (infimes frottements), intérieur en bon état (léger défraichissement).
P. Flammarion sd (vers 1900) in12, demi toile, 328 pp . Avec un index.
Presses de la Cité, 1971, fort in-8°, 479 pp, 32 pl. de photos et documents hors texte, 23 cartes, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
Tome II seul (sur 4). — "L’Indochine française, soumise de février 1940 à août 1945 à l’occupation japonaise, connaît, dès septembre 1945, la période chinoise, l’installation du Viêt-minh, puis la « convention préliminaire » signée à Hanoi le 6 mars 1946 et la demi-rupture à la conférence de Fontainebleau au mois de septembre de la même année. Le premier livre de mes mémoires relate cette époque jusqu’au départ de France de Hô Chi Minh pour rejoindre son pays. Le président est rentré chez lui ; des incidents où nous déplorons des morts se produisent au Tonkin et en Cochinchine. Je demeure sans commandement mais ne puis me désintéresser de ce qui se passe là-bas, et c’est malheureusement inactif que je suis les événements. Des camarades, à leur retour, m’informent. Je rencontre à Paris, venu en mission, le colonel Trocard, chef du 2ème bureau du commandant supérieur des forces françaises d’Extrême-Orient, ancien officier du service de renseignement inter-colonial que je dirigeais en 1937-1939. – C’est une guerre qui s’annonce, lui dis-je, prenez vos dispositions... Trocard sera tué quelques semaines plus tard. Mon vieux camarade, le général Valluy, dans ses lettres, me fait part de ses craintes. Le général Leclerc me demande souvent d’aller le voir à l’hôtel Continental où réside son état-major. Il me dit combien il se désespère de n’avoir pas été écouté. Puis le 19 décembre 1946, c’est l’attaque soudaine de Hanoi par le Viêt-minh. Des semaines difficiles commencent. Bien que je n’en ai pas été le témoin direct, je les décris en me basant sur les documents que j’ai recueillis. Le début de l’année 1947 passe. Valluy me demande de revenir pour mener une offensive contre les forces Viêt-minh, dont le gros s’est replié en haute région dans le Cao-Bac-Lang (provinces de Cao-Bang, Bac Kan, Langson ) que je connais bien. J’accepte et en mai je repars. Désormais, il faudra se battre... les combats menés par les forces françaises se termineront par la signature des accords de Genève le 22 juillet 1954. Je quitte Saigon le 9 octobre suivant. Nous avions perdu l’Indochine, le plus beau fleuron de l’Empire Français. C’est la période qui va d’octobre 1946 à octobre 1954 que je décris dans ce tome de mes mémoires. A la fin de cet ouvrage, en quelques pages, je donne mon sentiment sur la phase actuelle de la guerre et sur la situation présente du Viêt-nam... cette guerre qui dure toujours. Elle avait commencé le 19 décembre 1946, il y a un quart de siècle. La prédiction d’Hô Chi Minh : « Nous irons vers une guerre de cent ans... » Va-t-elle se réaliser ?" — "... Le général Salan ne devait pas cesser, ensuite, d'être impliqué dans le conflit ; aux plus hautes responsabilités, puisqu'il fut l'adjoint du général de Lattre et exerça le commandement en chef par intérim à deux reprises, notamment de novembre 1951 à mars 1953 ; et jusqu'à la fin, puisqu'il retourna en Indochine en juin 1954, comme adjoint du général Ely, diriger les opérations d'évacuation du Nord. Ses souvenirs intéressent avant tout l'histoire militaire proprement dite et composent une chronique vivante des activités du haut et des principales opérations. (...) En dehors même de son intérêt pour l'histoire militaire, ce volume de Mémoires, témoignage « de l'intérieur » sur la vision des hauts responsables français en Indochine, n'est pas à négliger." (Daniel Hémery, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1973)