FAYARD. 1985. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 579 pages- couverture contrepliée- quelques planches en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Reference : R150208107
ISBN : 2213016275
Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Paris, Imprimerie de Gaittet, 1872. 5 parties en 1 vol. in-8 de 80 pp.ALEXANDRE, 4 rue Gerson. Deux mille années de Ténèbres dissipées par le Libre Examen. In-8 de 16 pp. ALEXANDRE. Science Universelle. Première partie d'Histoire naturelle. Conférence première. Deuxième édition. Paris, Charles Noblet, 1869. In-8 de 14 pp. [Prospectus]. Souscription Permanente "Mystères et Secrets dévoilés par l'Omni-Science d'Alexandre publiés par livraisons détachées. Paris, Typ. Gaittet, s.d. 1 p. Conférences Publiques. Alexandre expliquera les lois générales qui précèdent la nature ou qui lui succèdent dans l'accomplissement de ses oeuvres. Lesquelles lois locales de toutes les sciences, en particulier, seront ramenées à une seule loi universelle dont l'auteur fait découler toutes les connaissances humaines, passées, présentes et à venir. Paris, Charles Noblet, 1869. 1 p. 4 pièces reliées en 1 vol. in-8, demi-chagrin rouge à coins, dos orné à nerfs, tête dorée, non rogné (reliure de l'époque).
Recueil des "Mystères et Secrets dévoilés par l'Omni-Science d'Alexandre publiés par livraisons détachées" qui contient les cinq premières parues sous le titre La Fusion de toutes les croyances par la tête de Méduse consacrées à l'Apocalypse de Saint-Jean « que je fais voir en le décomposant pièce par pièce, en analysant toutes les parties isolées de ces langues qui formèrent le chef d'oeuvre de la littérature sacrée (…) ce petit livre est un abrégé d'un grand travail des connaissances générales : concentré comme le foyer des sciences je lui donne le titre de Méduse, mot qui veut dire : Tête de toute intelligence. 1. Le Sommet de la Peur 2. Les Langues et l'Évangile 3. Rome sa fondation 4. Les Charmes de l'Enfer. » On propose «un abonnement de 12 livraisons à l'adresse ALEXANDRE, 4, rue Gerson . Suivi de conférences sur les marées ("causes de l'humidité, des nuages, neiges, pluies, grêles") et les lois de la nature. Inconnu à Caillet et Blavier. Cachet maçonnique de la bibliothèque P. Nolet.Reliés à la suite : GANDON, P. Introduction à la Nouvelle méthode philosophique. Paris, Imp. Edouard Blot, 1868. 8 pp. GANDON, P. Nouvelle méthode philosophique, expliquant le principe et la fin des choses par la génération réciproque des principes opposés. Paris, Imprimerie E. Blot, (1868). 16 pp. GANDON, P. Théorie de l'absolu, expliquant le principe et la fin des choses, démontrée par la génération réciproque des principes opposés. Paris, Impr. de Jouaust, (1865). In-8 de 32 pp. 2e partie seule. [Joint]. GANDON. Solution du Problème social. Paris, Alcan-Lévy, s.d. In-8 broché de 16 pp., cachet impérial. Proche de l’école socialiste dite "fusionisme" conçue comme une religion démocratique, P. Gandon s’était fait connaître en 1851 avec la brochure contre Proudhon Que serait une société sans Dieu, sans gouvernement ?
Porrentruy, Société jurassienne d'émulation, collection L’Œil et la Mémoire, 1991. In-8 broché de 87 pages, couverture illustrée couleurs à rabats.
Illustré de nombreux documents et reproductions en noir et en couleurs. Encre de Chine d'Alexandre Voisard en couverture. Rare publication autour ce celui que d'aucuns considèrent comme le poète du mouvement autonomiste jurassien. "Arrière-pensées d'Antonin de Calabri" est constitué d'un choix de poèmes inédits d'Alexandre Voisard. Avec un sympathique envoi autographe de ce dernier à Isabelle Martin, journaliste culturelle.
Bruxelles, P. de Dobbeleer, 1676. In-16 de (30)-187-(13) p., errata et index, veau brun, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Édition originale très rare. Traité thérapeutique de Bartholomé Alexandre de Vaulx et plaidoyer paracelsien dans la grande querelle qui bouleversa la médecine au XVIIe siècle entre "iatrochimistes", ici nommés "sylvianistes", de l’école de pensée de Paracelse partisans de l’introduction de la chimie dans les doctrines et les pratiques médicales et pharmaceutiques et "galénistes" de l'école de Galien partisans d'une thérapeutique (alors dominante) basée sur la saignée et les drogues. « Au lecteur (…) ce petit traité pour montrer qu'il y a une autre méthode bien plus sûre, plus facile et plus agréable pour guérir les malades que celle dont on se sert journalièrement. Le commencement de ce traité montre en abrégé ce que c'est de la Chymie, sa nécessité dans la médecine, et comment elle est dans notre corps, de laquelle plusieurs de nos médecins modernes ont une horreur, et la voudraient bien faire passer pour dangereuse s'ils pouvaient… Étant une chose hors de doute que la Chymie n'est pas seulement un abrégé de la médecine, mais une de ses principales bases qui nous donne la connaissance des causes des maladies, et des moyens pour les ôter ». Quelques chapitres : la Chymie imite la Nature, Femmes en couche, Fièvre Maligne, Du Syrop de pavot rouge, Une pierre dans la vessie, Un médecin doit savoir juger la dose d'un médicament et pourquoi on peut s'en servir, Nos humeurs sont trop obstinés pour obéir aux remèdes de nos ancêtres, Dans l'Antimoine sont infusés tous les médicaments nécessaires etc. Le livre imprimé à Bruxelles, dédicacé au baron de Gueldres Chevalier de l'Ordre Teutonique, fut censuré par les Facultés de médecine de Paris, Douai, Louvain, Bruxelles et Anvers. Le frontispice manque ; pâle mouillure, coiffes arasées, caisson de tête manquant, coins émoussés. Provenance : Stanislas de Guaita avec son ex-libris “Kabbalisticis” manuscrit en regard du titre.Caillet III, 11063 ; Guaita, Bibliothèque occulte, n°1048 ; inconnu à Dorbon, Duveen, Ferguson, Waller ; la Bibliotheca Osleriana (6329) cite la censure de l'ouvrage publiée en 1679 par la Faculté de Paris : « Galenists vs iatrochemists, derisively chimerics - a detailed condemnation by the Paris Faculty at the request of their Belgian confrères, of a book on therapeutics by Bartholomé Alexandre de Vaulx "La Vérité descouverte Bruxelles 1676" ».
Paris, E. Collin, Renouard, Bernard, Magimel, 1806-1808. 2 vol. in-4 de (6)-VII-316 et (4)-XVI-358 pp., maroquin cerise, dos lisse ornés alternativement de semis de mouchetures dorées et d'ancres marines dans un encadrement losangé de pointillés et rameaux dorés, très large encadrement de double guirlande dorée sur les plats, l'une enserrée entre de doubles filets dorés, l'autre regardant le centre des plats avec petites ancres dorées en écoinçon, chiffre inséré dans un blason de duc au centre, guirlande dorée sur les coupes, tranches dorées, dentelle intérieure, gardes doublées de tabis vert Empire (reliure de l'époque).
Portrait-frontispice de l'auteur gravé par B. Roger d'après Bouché, un tableau dépliant et 67 planches dépliantes gravées par Michel ou Collin, Unique édition de ce recueil tiré à petit nombre à l'initiative de Dubois d'Arnouville, et réservé aux souscripteurs. Il réunit les études et mémoires des principales réalisations du grand ingénieur que fut Cessart : I. Pont de Saumur. Pont et quai de Rouen. Port du Havre. Port du Tréport. Pont des Arts à Paris. - II. Port de Dieppe. Rade de Cherbourg. Louis-Alexandre de Cessart (1719-1806) avait commencé sa carrière dans la Gendarmerie de la Maison du Roi, et il avait fait à ce titre les campagnes de 1743 à 1746, assistant au batailles de Fontenoy et de Raucoux. Mais, à l'issue de la Guerre de Succession d'Autriche, il se fit admettre en 1747 dans le corps des Ponts et Chaussées, où il devait s'illustrer jusqu'à sa mort. Il commença par être nommé ingénieur de la Généralité de Tours en 1751, et c'est dans ce poste qu'il construisit le Pont de Saumur en 1756. Puis il devint ingénieur en chef, d'abord à Alençon (1757), puis à Rouen (1776), où il établit une partie des quais, en même temps qu'il travaillait aux ports de Dieppe, du Tréport et du Havre. En 1781, il fut chargé de travailler au môle de Cherbourg. Promu ingénieur général en 1783, il demanda à être relevé de ses fonctions en 1791. Sa dernière réalisation fut cependant, à Paris, le célèbre Pont des Arts bâti en 1801.Exceptionnel exemplaire au chiffre de Denis Decrès (1761-1820), ministre de la Marine de 1801 à 1814. Quoique ce D sommé de l'aigrette des ducs pût aussi convenir à Duroc, Grand Maréchal du Palais, la présence d'ancres marines dans la décoration fait pencher en faveur du marin de façon quasi certaine. Frère I, 206.
[CINGRIA Charles-Albert et Alexandre] CHESSEX Jacques; KUFFER Jean-Louis; WALZER Pierre-Olivier et al.:
Reference : 11742
(1983)
Pully, Alliance Culturelle Romande, n° 29, 1983. In-4 broché de 218 pages, couverture ornée des portaits de Charles-Albert et d'Alexandre, par ce dernier.
Abondante illustration en noir et en couleurs. Publié à l'occasion du centenaire de la naissance de Charles-Albert.