CALMANN LEVY. NON DATE. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur frais. 244 pages- 1 signature en tête du 1er plat- quelques trâces de crayon à papier en marge du texte. . . . Classification Dewey : 149.7-Pensées philosophiques, aphorismes
Reference : R150200071
Classification Dewey : 149.7-Pensées philosophiques, aphorismes
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Berlin, [sans nom], 1753. In-18 de 436-22-[2] pages, plein veau moucheté beige, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre rouge, roulette dorée sur les coupes, tranches rouges. Ex-libris de H. Tronchin, signature de Charles Richard Tronchin sur la page de titre, étiquette de la bibliothèque du château de Bessinge.
Septième édition en partie originale, qui a ceci de remarquable par rapport aux précédentes éditions, c'est "que les lacunes des Pensées où se trouvent des initiales ou des points sont comblées dans un petit cahier de 22 pages, placé à la fin du volume". Barbier, t.III, col. 280. On peut également préciser que c'est cette édition qui comprend le plus grand nombre de pensées: 522. Le huitième édition n'en comprendra plus que 507. "Ce petit livre contient braucoup de choses hardies pour le temps ou il a paru. La Beaumelle y tranche du grand politique; il y discute les forces, les moyens et les intérêts de toutes les puissances de l'Europe, et prononce en dix lignes sur chacune d'elles." Un passage de "Mes Pensées" ouvrit les hostilités entre Voltaire et La Beaumelle, hostilités qui durèrent jusqu'à la mort de ce dernier: " Qu’on parcoure l’histoire ancienne et moderne, on ne trouvera point d’exemple de prince qui ait donné sept mille écus de pension à un homme de lettres, à titre d’homme de lettres. Il y a eu de plus grands poètes que Voltaire. Il n’y en a jamais eu de si bien récompensés, parce que le goût ne mit jamais de bornes à ses récompenses. Le roi de Prusse comble de bienfaits les hommes à talent, précisément par les mêmes raisons qui engagent un petit prince d’Allemagne à combler de bienfaits un bouffon ou un nain. » Quérard, vol. IV, p. 331.
Berlin, s.n., 1752. 1 vol. petit in-12, veau marbré, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges. Reliure de l'époque, accrocs à la pièce de titre. Bon exemplaire. Ex-libris héraldique au contreplat de la bibliothèque de Merlemont. (2) ff., 212 pp. Quelques mouillures
Ce livre audacieux conduisit son auteur à la Bastille en 1753. La première édition avait paru en 1751. La Beaumelle (1726-1773), d'une famille protestante cévenole, avait étudié la littérature et la théologie à Genève avant d'obtenir un poste de gouverneur d'un jeune noble danois à Copenhague en 1747. C'est là qu'il écrivit ses premiers ouvrages et en particulier celui-ci, sous-titré "Le qu'en dira-t-on" qui est un ensemble de 240 pensées dont certaines fort hardies pour leur temps dans le domaine morale et politique. Pour La Beaumelle, la prospérité économique favorise l'humanité des citoyens, le luxe et la religion nuisent à la propagation du genre humain, il est nécessaire de favoriser le mariage et serait judicieux d'abolir le célibat des prêtres, etc. Il y critique les rentes viagères et décrit les avantages qu'un pays peut tirer de l'occupation des pauvres. Par ailleurs, ce livre dans lequel La Beaumelle critiquait l'énorme pension qui était versée par le roi de Prusse à Voltaire, est l'origine de la haine réciproque qui anima les deux hommes de lettres durant toute leur vie. Le style de La Beaumelle est vif et percutant et plusieurs de ses pensées sont d'une réelle profondeur. Mes Pensées furent d'ailleurs, dans un premier temps, attribuées à Montesquieu et furent accueillies par le public avec une grande faveur. Barbier III, 280; Quérard IV, 331; Haag VI, 158; INED, 2109.
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A Amsterdam, chez Joly, 1758. 2 parties en 1 vol. petit in-8 (172 x 104 mm) de (2)-III-(1)-215-(VI)- et (2)-407-IX-4 pp., veau blond glacé, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, triple filet doré sur les plats (reliure de l'époque).
Édition des Pensées assez rare (seulement deux exemplaires dans les bibliothèques : Troyes et Versailles), suivie d'un Supplément en 4 pages.Édition curieusement imprimée par cahiers de six feuillets. Publié pour la première fois à Copenhague en 1751 et sans cesse remanié par l'auteur, ce recueil contient 240 chapitres. Mes pensées fut l'origine de la guerre impitoyable et sans trêve entre Voltaire et La Beaumelle.Bel exemplaire.
Calmann Levy. 1878. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 243p. reliure éditeur. Dos , coins façon cuir. Plat papier marbré.. . . . Classification Dewey : 149.7-Pensées philosophiques, aphorismes
Pensées écrite au jour le jour, causerie avec soi-même.... Classification Dewey : 149.7-Pensées philosophiques, aphorismes
Berlin 1753, septième édition, in-12, 436+ 22 pages. Demi chagrin rouge du XIXe. Petite usure des coins et une charnière fendue sur 3 cm.; marges juste ébarbées. Des notes manuscrites de Ch. Barry couvrent deux pages de garde.
Rare septième édition en partie originale;les lacunes des Pensées signalées par des initiales ou des points sont comblées dans un petit cahier de 22 pages, placé à la fin du volume, ce qui n'est pas le cas des éditions précédentes. Barbier, t.III, col. 280.Cette édition comprend le plus grand nombre de pensées: 522. La huitième édition n'en comprendra plus que 507. C'est une de ces pensées qui déclenchera la guerre avec Voltaire,il y critique l'énorme pension qui était versée par le roi de Prusse à Voltaire.