ALBIN MICHEL. 1993. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 331 pages- 2 petites annotations au stylo noir sur la page de garde. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R150190521
ISBN : 2286049343
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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[Pondichéry], 1851-[1858]. Manuscrit in-folio (34 x 22 cm) de (1) f. de titre et (240) pp. ; daim vert (reliure de l’époque).
Le livre de comptes du collège français de Pondichéry. Il s’ouvre par l’ « Inventaire du mobilier, de l’argenterie, des livres pour bibliothèque et de divers articles appartenant à la maison des Missions Etrangères ». Daté du 31 décembre 1851, cet inventaire occupe les 36 premières pages et contient les meubles, la vaisselle, la verroterie, les vases et ustensiles divers, l’argenterie, la coutellerie, les objets et ornements de la chapelle, puis les livres de la bibliothèque : cours de littérature, de philosophie et d’histoire, dictionnaires, livres de grammaire et de géographie, ouvrages de logique, de poésie et de mythologie, cours de rhétorique, traductions d’auteurs latins et grecs, etc. Viennent ensuite les dépenses et les recettes, comptabilisées entre le 1er janvier 1855 et le 31 décembre 1858. On y trouve notamment les dépenses de cuisine, les achats de denrées (café, sucre, riz, viande, lait, huile d’olives, pain, beurre…), les frais de chauffage, la liste des élèves avec le montant des émoluments dus par les familles, avec distinction entre les internes et les externes, la liste du personnel et celle des professeurs. Le registre inclut aussi les frais d’entretien du jardin de Virampatnam (ou Veerampattinam, à 7 km de Pondichéry) : salaire du gardien, solde du jardinier, journées d’ouvriers, frais d’arrosage des tamariniers, achat de palmiers, etc. Extraits : Personnel du Collège : « 1856, 1er décembre : traitement des professeurs laïcs : 272 ; id., traitement des domestiques : 52,40 ; 15 décembre : avancé à Doïriam, 15 ; 22 décembre : avancé à M. Adoille, 5 ; 26 décembre, au Père Bally, 5 ; 31 décembre : traitement des professeurs laïcs (décembre), 272 ; à MM. les professeurs ecclésiastiques, 27 ; traitement des domestiques, 46,4… ». Eclairage et chauffage : « 1857, 31 janvier : pour 12 charrettes de bois, 13,2 ; 1er février : Huile de coco, 21,3 ; id., Huile de palma, 4,2 ; pour 12 charrettes de bois, 16,1… ». Comestibles : « 1857, 1er septembre : huile d’olives, 5 ; id., vinaigre d’Europe, 0,4 ; id., vermicelle et petits pois, 2,2 ; thé et confitures, 1,3 ; 1er novembre : fromage, 6 ; flacon de prune, 2,4 » ; etc. Destiné initialement à « l’éducation des jeunes de la classe blanche », le Collège royal de Pondichéry fut créé en 1826 par Eugène Desbassayns de Richemont, administrateur général des Etablissements français de l’Inde. En 1834, sa direction fut confiée aux Missions étrangères de Paris qui en gardèrent le contrôle jusqu’en 1899. Devenu Collège colonial de Pondichéry en 1848, son administration et son enseignement devinrent entièrement laïcs à partir de 1900, l’établissement étant accessible à tous en fonction du seul mérite. En 1954, il devint le Collège français, puis à partir de 1972, le Lycée français international de Pondichéry. Reliure très usagée, dos manquant, renforcé par une bande adhésive noire, plats usés et décolorés, de nombreux feuillets sont déreliés.
Reference : 117364
Paris, L'Imprimèrie Royale, 1776. 11 pages. (27x21,5 Cm). Broché. Cette déclaration du roi de 1776 concerne le Conseil supérieur de Pondichéry, un tribunal supérieur établi par le roi dans la ville de Pondichéry, qui était l'un des principaux comptoirs français en Inde. À cette époque, la France possédait plusieurs comptoirs en Inde (comme Pondichéry, Chandernagor, Mahé, Yanaon et Karikal) où elle menait des activités commerciales et administratives importantes. La création d'un nouveau tribunal supérieur à Pondichéry est faite pour remplacer le conseil précédent, récemment supprimé par le roi. Ce changement vise à optimiser la gouvernance et la justice pour les sujets français résidant ou commerçant dans les comptoirs français en Inde. Comme dans d’autres documents de cette époque, la signature de De Sartine (Antoine de Sartine, ministre de la Marine) confirme l'authenticité de l’acte. En tant que ministre de la Marine, De Sartine avait aussi autorité sur les colonies et les comptoirs, ce qui explique sa présence dans ce document. Document partiellement non-coupé. Rares taches et rousseurs.
Paris, Au Bureau de l'Atlas National, [1792]. 225 x 291 mm.
Beau plan de la ville de Pondichéry, dressé lors du siège du 11 août 1778. Il est issu de l'Atlas National portatif de la France, destiné à l'instruction publique, de Pierre-Grégoire Chanlaire et Edmé Mentelle. Cet atlas, ainsi que l'Atlas National de France, premier atlas des départements français, par les mêmes auteurs, ont tous deux été publiés en 1792. Située sur la côte de Coromandel, au sud-est de l'Inde, la ville fut construite selon un plan en damier conçu et démarré par les Hollandais en 1693, puis achevé par les Français dans le courant du XVIIIe siècle. Les bastions et les bâtiments principaux sont numérotés et légendés : le Gouvernement, l'Arsenal, l'hôpital, les casernes, le couvent des Capucins, les portes, le camp des Anglais, ainsi que les villages aux alentours (Montalpet, Lauriston, Haulgaré et Nelitop). Au nord de la ville, sont également indiquées les rizières. La mer est ornée de deux vaisseaux, dont l'un illustrant le combat du 11 août 1778, et d'une rose des vents indiquant le nord à droite du plan. Le petit port côtier de Pondichéry est acheté en 1673 par la Compagnie des Indes, qui en fait la tête de pont des intérêts commerciaux de la France en Inde. Au cours du XVIIIe siècle, la ville est assiégée à trois reprises par les Anglais, dont la Compagnie anglaise des Indes était le concurrent direct de la Compagnie française. Le premier siège a lieu en 1742, lors de la Guerre de Succession d'Autriche, le second en 1760 lors de la Guerre de Sept Ans. Notre plan illustre le troisième siège de Pondichéry en août 1778, lors de la Guerre d'Indépendance des États-Unis. La ville capitule après dix semaines de siège. Puis elle est pillée par les Anglais, qui l'abandonnent en 1781. En ruines, elle sera rendue aux Français en 1781. Bel exemplaire, replié.
Pondichéry, Imprimerie Moderne, J. Dartnell, 1931. 670 g In-4 broché, [2] ff., 191-xxviii pp., [1] f., 21 planches de reproductions hors-texte.. Description de 245 documents de 1699 à 1813 provenant des archives du conseil supérieur, des notariats de Pondichéry, Madras, Tranquebar et Chandernagor, du tabellionage de Pondichéry et des archives du greffe de la Chauderie. Publication de l'Exposition Coloniale Internationale, Paris, 1931, Section Historique des Etablissements Français de l'Inde. Ouvrage assez rare. Défaut en haut du dos. . (Catégories : Inde, Inde française, )
Antananarivo: Association malgache d'archéologie, 1980 in-4, 307 pages, Broché, couv. défr.
Essai sur les Comores (Pondichéry, A. Saligny imprimeur du gouvernement, 1870). Reproduction effectuée par l'Association malgache d'archéologie. (Antananarivo: Association malgache d'archéologie, 1980). [M.C.: Comores]