CIEL OUVERT.. 1985. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 162 pages.. . . . Classification Dewey : 296-Judaïsme
Reference : R150141259
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Autrement. Avril 1985. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 162 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Collection Ciel ouvert. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Editions du Cerf, 2002, in-8°, 291 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
Qui fut Salomon Mikhoëls (1890-1948), cet homme qui se disait "submergé de destins" ? Un tsaddik, "un juste", portant sur les épaules le poids de sa communauté, un homme fidèle à la tradition hassidique qui donnait rendez-vous en son âme à toutes les âmes d'Israël. Et aussi un grand acteur, qui, parce qu'il les interprétait, ressentait les affres et les joies d'un peuple auquel il appartenait et qu'il a souvent représenté. Sonia Sarah Lipsyc, auteur et metteur en scène, donne ici à lire la pièce qu'elle a écrite, s'inspirant de Mikhoëls, laquelle retrace la rencontre imaginaire du grand acteur russe du théâtre yiddish d'Etat avec les figures les plus marquantes du théâtre juif. Deux textes théoriques viennent compléter sa mise en lumière du théâtre juif : Pour une métaphysique du théâtre juif, véritable historique du théâtre juif de l'Antiquité à la création de l'Etat d'Israël en 1948, et Grammaire d'un acteur juif, qui expose, à partir des Causeries sur le théâtre de Salomon Mikhoëls, la philosophie de l'acteur, ses réflexions et ses références à la tradition juive.
(1845).
Suite d'illustrations inédites pour "Le juif errant", célèbre roman d'Eugène Sue. Ces 35 dessins au crayon, tous coloriés, sont des caricatures des principaux personnages du roman publié en 1844. Remarquablement dessinées, ces très amusantes illustrations sont sans aucun doute l'oeuvre d'un caricaturiste professionnel. Elles sont très probablement d'Eugène Forest. On trouve dans la revue "Musée Philipon", 1843, 22e livraison, p. 176, une caricature titrée "Eugène Forest, dessiné par lui-même". Le personnage représenté ressemble étrangement au premier dessin montrant le "juif errant" de notre album. Eugène Forest a été tout d'abord peintre et a exposé dans des salons des tableaux de paysages et des études d'oiseaux. Puis il s'est orienté vers la lithographie et la caricature, et subit l'influence d'Henri Monnier et de Grandville. Il collabora avec Grandville et Honoré Daumier aux nombreux journaux satiriques illustrés de son époque : La Silhouette, La Caricature, Le Charivari et le Musée Philipon. Avec "Les Mystères de Paris", du même Eugène Sue "Le juif errant" a été l'un des plus grands succès de librairie du XIXe siècle. Il a été publié initialement en feuilleton dans Le Constitutionnel de juin 1844 à juillet 1845 et parallèlement en 10 volumes par Paulin. Dès 1844, il a donné lieu à une "Parodie du Juif errant", par Charles Philipon et Louis Huart, illustrée par Cham. Paulin, en 1845, publia une édition illustrée par Gavarni. Mais il n'y a aucune similitude entre ces dessins et les gravures de ces deux publications. Reliure discrètement restaurée. /// In-4 de 35 ff. Demi-basane verte, dos à nerfs orné (Reliure de l'époque.) //// Suite of unpublished illustrations for "The Wandering Jew ", Eugène Sue's famous novel. These 35 pencil drawings, all colored, are caricatures of the main characters in the novel published in 1844. Remarkably drawn, these very amusing illustrations are undoubtedly the work of a professional caricaturist. They are most probably by Eugène Forest. In the magazine "Musée Philipon", 1843, 22nd issue, p. 176, we find a caricature entitled "Eugène Forest, dessiné par lui-même" ("Eugène Forest, drawn by himself"). The character depicted bears a striking resemblance to the first drawing showing the "wandering Jew" in our album. Eugène Forest started out as a painter, exhibiting landscape plates and bird studies in salons. He then turned to lithography and caricature, under the influence of Henri Monnier and Grandville. Together with Grandville and Honoré Daumier, he contributed to the many illustrated satirical journals of his day: La Silhouette, La Caricature, Le Charivari and Musée Philipon. Along with "Les Mystères de Paris", by the same Eugène Sue, "Le juif errant" was one of the biggest bestsellers of the 19th century. It was initially published as a serial in Le Constitutionnel from June 1844 to July 1845, and in parallel in 10 volumes by Paulin. As early as 1844, it gave rise to a "Parodie du Juif errant", by Charles Philipon and Louis Huart, illustrated by Cham. In 1845, Paulin published an edition illustrated by Gavarni. But there is no similarity between these drawings and the engravings in these two publications. Binding discreetly restored. /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
, Vers 1670-1700, in-8, , vélin rigide à petits recouvrements de l'époque, titre manuscrit en tête du dos, tranches bleues, RECUEIL D'IMPRESSIONS POPULAIRES ALLEMANDES. Les pièces sont reliées dans l'ordre suivant : 1 ? [ONOMASTIQUE] Martin LUTHER, Gottfried WEGNER, Herrn D. Martin Luthers Seel.[iges] vielfältig verlangtes Namen-Büchlein... Leipzig, Johann Grossen [imprimerie de Christoph Uhmann], 1674. Titre en rouge et noir, [23] ff, 250-[53] pages. Première édition allemande de cet ouvrage paru anonymement en 1537, Aliquot nomina propria Germanorum ad priscam etymologiam restituta (Wittemberg, Schirlentz), procurée par le théologien et prédicateur Gottfried Werner (1644-1709). Le réformateur tente ici d'apporter un éclairage sur l'étymologie des noms allemands. VD17 23:279809L 2 ? [ONOMASTIQUE] Johann EBART, Onomatologia : Das ist kurtze Erklärung und Außlegung Der Vornemsten und gebräuchlichsten Tauf-Namen. Leipzig, Wittigau, 1670. 86 pages. VD17 547:647159V 3 ? [RÊVES, INTERPRÉTATION] - Neues richtiges Traum-Buch, darinnen übert Anderthalb Tausend Träume mit ihren wahren Bedeutungen... St. Annaberg [Annaberg-Buchholz], David Nicolai, 1673. [72] feuillets. Rarissime clé des songes comportant une introduction générale et un dictionnaire des rêves. Absent du VD17. Aucun exemplaire n'est connu en bibliothèque publique. 4 ? [JUIF ERRANT] - Warhafftiger Bericht von einem Juden aus Jerusalem, mit Namen Ahaßverus, welcher fürgibt er sey bey der Creutzigung Christi gewesen... S.l, s.n, s.d. (c. 1700). [24] feuillets. Grand bois au titre. Ce petit livret donne le texte qui contribua principalement à fixer la figure mythique du Juif errant et à la diffuser dans les masses populaires allemandes. Il marque un tournant dans le légendaire du Juif maudit par le Christ lors de la Passion : le schéma narratif qu'ils met en oeuvre sera repris pendant des siècles dans les complaintes et les livrets populaires. Le récit avait paru en 1602 sous un titre voisin : Kurtze Beschreibung und Erzehslung von einem juden mit namen Ahasverus. Il fut publié sous des noms d'éditeurs, avec l'indication de lieux d'édition divers et attribué de manière fantaisiste à un certain Chrysostomus Dudulaeus Westphalus. VD17 3:311026E. Voy. MILIN, Gaël. « L'avènement et le triomphe d'Ahasvérus (xviie-xviiie siècles) » dans : Le cordonnier de Jérusalem : La Véritable Histoire du Juif Errant [en ligne]. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 1997 Une longue annotation manuscrite ancienne sur la première garde blanche. Couverture rigide
Bon
Encres, 1977, in-8°, 281 pp, traduit du yiddish par Halina Edelstein, une carte, broché, bon état
L'itinéraire d'un juif polonais, communiste, qui doit fuir son pays en 1929, militant en France, puis en URSS dans les années 1930: arrêté en 1937, il restera dix ans au Goulag, et ne rentrera en Pologne qu'en 1957. — "Il reste bien peu de survivants de ce continent perdu, le yiddishland. Durant trois siècles, ses habitants furent persécutés par les Ukrainiens, les Russes, les Polonais, puis anéantis par les nazis. Peu de juifs polonais ont, sur le chemin de leur vie, franchi un tel parcours d'obstacles que M. Zalcman, le petit tailleur, né en 1907 dans la prodigieuse ville de Zamosc – un centre talmudique et hassidique, situé en Pologne, près de la frontière autrichienne – , « d'une mère famélique et d'un père affaibli », qui vécut sans tapage et mourut sans bruit. Il partage dans son enfance le pain de la misère du prolétariat juif et il rêve d'aller en Amérique « dans ce pays libre et riche où l'on mange tous les jours de la brioche blanche ». Lorsque éclate la révolution bolchevique, il est prêt à lutter contre tous ceux qui portent un « uniforme à boutons », contre tous les pouvoirs. Commence alors la longue pérégrination d'un jeune « ouvrier juif et communiste » dont M. Zalcman raconte « l'histoire véridique ». Il quitte l'horizon limité du quartier juif pour entrer dans les jeunesses communistes. Il croit alors que le socialisme résoudra le problème juif, une erreur qu'il paie le prix fort. Contraint à la clandestinité, il s'enfuit de Pologne en 1929 et entame une longue marche qui le conduit en France d'où il est expulsé, puis à Kiev où il est arrêté en 1937 pour n'avoir pas cédé au système qui transforme les hommes en délateurs et en calomniateurs, pour avoir refusé d'être dupe et de duper. Il parcourt alors, de camp en camp, la Sibérie avant d'être « libéré ». En 1957, il quitte l'Union Soviétique, reprend son métier de tailleur et poursuit son action militante dans sa langue, le yiddish, et le milieu qui devient le sien, la gauche sioniste..." (Yves Ternon, Vingtième Siècle. Revue d'histoire) — Pendant près de dix ans à Paris, un vieux juif a occupé le temps libre que lui laissait son métier de tailleur à écrire le livre de sa vie, le livre de sa traversée du siècle. Voilà un récit unique qui nous vient de ce qui sera peut-être la dernière génération des Juifs polonais nés en Pologne ; voilà l'évocation de cette longue marche du stalinisme qui mena bon nombre de ces Juifs des synagogues de Pologne aux camps de déportation soviétiques. Moshé, né à Zamosc en 1909, raconte cette histoire d'amour entre un peuple et la révolution. Il nous raconte la Pologne des Juifs et des militants, où depuis mille ans campent quelque trois millions de Juifs harcelés par des Polonais qui n'en finissent jamais de cuver leur antisémitisme. Alors, pour expurger le monde de ses injustices sociales et raciales, Moshé a choisi le communisme. Il est de ces hommes tutoyés par la victoire d'Octobre toute proche ; la génération des héros, des martyrs, des tchékistes aussi. Poursuivi pour ses activités politiques, Moshé fuit la Pologne en 1929, la veille de son procès. Réfugié en France, il travaille et milite dans la M.O.I. et dans le Secours rouge. En 1933, il gagne l'URSS, est arrêté en 1937. Il restera dix ans au Goulag, mais il n'aura pas renié son passé militant.