JULLIARD. 1967. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 209 pages. Roman. Jaquette illustrée en couleurs. Etiquette collée sur la page de garde.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150139278
Un jeune soldat américain dans l'enfer de la guerre du vietnam. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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État : Très bon état - Année : 1983 - Format : in 8° - Pages : 316pp - Editeur : Presses de la Cité - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Un pli de lecture au dos. - Collection : Troupes de choc - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/erwan-bergot/6612-la-legion-au-combat-narvik-bir-hakeim-dien-bien-phu-la-13eme-demi-brigade-de-legion-etrangere?lrb
Le long périple de la 13 D.B.L.E., unité bien étonnante, qui de Narvik en Norvège, seule victoire française en 1940, jusqu'au crépuscule de l'Indochine française à Diên Biên Phu en passant par le desert de Bir-Hakeim, la campagne d'Italie et celle de France, va connaitre la gloire et les sacrifices ˮmore majorumˮ, ˮà l'exemple des anciensˮ. Des combats menés dans l'esprit de Camerone. Comme d'habitude, Erwan bergot nous donne un livre qui fourmille d'anecdotes, de choses vues et vécues, de portraits, sur la base de souvenirs recueillis auprès des propres acteurs, héros modestes ou témoins célèbres. C'est aussi un hommage rendu à cette unité exemplaire qui sut allier efficacement: l'originalité, la rigueur et le panache légionnaire.
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Carnot, Lazare (1753-1823) / Regismanset, Benoît (dit Manset, 1768 - 1849)
Reference : 8471
(1800)
18,3 x 23,5 Paris 1800 "Le Ministre de la Guerre, au citoyen Manset chef de Brigade à la 5e 1/2 Brigade d'infanterie légère [18 fructifor an VIII - 31 août 1800]. Je vous annonce avec plaisir que par arrêté du 21 Thermidor an 8 [9 avril 1800] le Premier Consul de la République vous a confirmé dans le grade de chef de Brigade, auquel vous avez été promu sur le champ de bataille le 1er prairial dernier [21 mai 1800] par le général en chef Massena dans la 5e 1/2 Brigade d'Infanterie légère. En donnant avis au Conseil d'administration de votre confirmation, je l'invite à vous faire recevoir et reconnaître dans ce grade, et à vous autoriser à jouir des émoluments et prérogatives qui y sont attachés, à compter du dit jour 1er prairial an 8. Il est nécessaire que vous m'accusiez réception de cette lettre. Je vous salue. [Signature] Carnot. Rappelé par Bonaparte Premier Consul, Carnot fut nommé ministre de la Guerre après le 18 brumaire [9 novembre 1799). Il donna sa démission de ministre le 13 vendémiaire an IX (5 octobre 1800). Regismanset, dit Manset, est originaire de Carcassonne. Il fit toute sa carrière militaire sous la Révolution et l'Empire, notamment en Italie. Le contexte de sa nomination comme chef de Brigade est connu. Il s'est illustré, dans l'armée d'Italie sous les ordres de Masséna, lors du siège de Gênes (avril-juin 1800) par les troupes autrichiennes. Par son fait d'armes, il est nommé chef de Brigade de la 5e légère et prendra le commandement du 19e régiment d'infanterie de ligne. Marques d'usures et fortes pliures, petite déchirure au dos du dernier feuillet. Bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
[Le Diable au Cor. Journal de la 3me Brigade de Chasseurs Alpins] - Collectif ; 3me Brigade de Chasseurs Alpins ; ETAT-MAJOR de la 3e Brigade
Reference : 42659
(1915)
18 numéro in-folio, Le Diable au Cor. Journal de la 3me Brigade de Chasseurs Alpins, 1915-1916
Rare réunion de 18 parmi les 27 premiers numéros du Journal de la 3me Brigade de Chasseurs Alpins. On notera la précision : "Toutes les épreuves sont réservées à l'ennemi".
S.l., s.d. (1803) in-8, 179 ff. partiellement chiffrées, couverts d'une écriture moyenne, soignée et très lisible (environ 25 lignes par page), avec une figure aquarellée à pleine page (la boussole), le feuillet 9 manque, vélin rigide à rabat inférieur, dos lisse (reliure de l'époque). Manque de cuir en coiffe inférieure, exemplaire déboîté.
Un exceptionnel témoignage sur l'expédition d'Égypte.L'explicit de ce très intéressant manuscrit nous éclaire un peu sur sa genèse : "J'obtins une permission de trois mois pour venir chez ma mère à Chauvirey-le-Châtel, département de la Haute-Saône, et où je déposai le présent journal, qui contient l'exacte vérité de ce que j'ai vu depuis ma première sortie de la maison paternel [sic] et pendant toutes les campagnes de la Révolution. Je demande l'indulgence du lecteur et lui expose que je n'ai fait aucune étude". Cette dernière affirmation est à relativiser : l'auteur écrit très correctement, et commet peu de bourdes orthographiques, à la différence de nombre d'officiers plus gradés que lui à la même époque. Sinon, l'aspect très net du texte, qui ne comporte ni rature ni biffure plaide en faveur de la mise au net de carnets qui ont dû subir intempéries et aléas des campagnes ; ce, d'autant que la seconde partie comporte plusieurs copies de proclamations des généraux en chef de l'Armée d'Orient, qui ont dû figurer dans la documentation de Martin sous forme imprimée.A. Martin est originaire de Vitry (Haute-Saône) [Vitry-lès-Cluny], et un de ses frères servait déjà dans l'armée depuis huit ans comme fourrier quand le jeune homme décida de s'engager le 26 février 1792 pour le premier régiment d'infanterie [ancien Régiment Colonel-général], deuxième bataillon, alors stationné à Dunkerque, et où son frère était engagé. Un paraphe sur les dernières gardes du volume, comportant "André. An X" suggère que son prénom était André. Ni Tulard, ni Meulenaere ne signalent une édition de cette relation ; les catalogues de bibliothèques ne semblent pas posséder de copie manuscrite de notre texte.Cette relation est extrêmement structurée, par campagnes, et, à l'intérieur de celles-ci, par éphémérides. Elle se concentre, du moins pour la première partie, uniquement sur les aspects militaires globaux, vus d'en bas, et sans détails superflus, avec même une discrétion peu habituelle sur la carrière et les activités de l'auteur. Pour la commodité, on peut la diviser en deux parties principales.I. De 1792 au 17 Floréal an VI [6 mai 1798], date de l'ordre d'embarquement pour l'Égypte depuis Marseille.1. Campagne de 1792 (ff. 4-8). Le régiment participa au Combat de Quiévrain (29 & 30 avril), qui fut un échec face aux troupes impériales, et aux batailles de Valmy et de Jemappes (non relatées ici).2. Campagne de 1793 (ff. 10-17). Elle se déroule entièrement dans les Pays-Bas autrichiens, avec des pointes aux Provinces-Unies, et le récit se termine par la "trahison" du général Houchard, avant le passage au calendrier révolutionnaire.3. Campagne de l'an II (ff. 18-24r). Elle est marquée par la prise d'Ypres, le siège de Nieuport, un curieux projet de regroupement de 30 000 hommes à Dunkerque pour effectuer un débarquement en Irlande.4. Campagne de l'an III (ff. 24v-29r). Elle se déroule pour la demi-brigade (deuxième demi-brigade de ligne à partir de Germinal an III) entièrement dans les Provinces-Unies, depuis Clèves (prussienne) : Utrecht, Wageningen, Deventer, Enschede, Zutphen), jusqu'à la formation de la République batave. En messidor, cantonnement à Aix-la-Chapelle.5. Campagne de l'an IV (ff. 29v-37r). Le 24 Pluviôse [13 février 1796], Martin fut nommé sergent-major. Cette année est entièrement occupée par les opérations en Allemagne contre les Impériaux : bataille de Sulzbach (19 août 1796), bataille de Wesburg.6. Campagne de l'an V (ff. 37v-41). Traversée du Rhin à Cologne, puis cantonnement d'hiver en Palatinat (Kaiserslautern, Kircheimbolanden, Neusatdt, Landau), puis en Alsace et en Franche-Comté. La demi-brigade est affectée à l'armée d'Italie, et parvient à Milan le 30 Pluviôse [18 février 1797]. L'itinéraire la conduit ensuite par Brescia, Peschiera, Mantoue, Crémone. Le 26 Messidor [14 juillet 1798], première mention du général Bonaparte : "Nous célébrâmes à Milan la fête des Victoires et nous reçûmes du général en chef Bonaparte nos nouveaux drapeaux". En fin d'année, garnison à Alexandrie.7. Campagne de l'an VI (ff. 42-60). La demi-brigade est détachée en Provence, pour y rétablir l'ordre dans certaines localités : itinéraire par Nice, Toulon, Marseille, Brignoles, avec de ci de là quelques anecdotes locales : "Nous logeâmes à Aubagne, petite ville ; quelque tems auparavant [elle] avoit eu l'effronterie de brûler Bonaparte en effigie. La municipalité fut au devant du général Lanne pour le féliciter, mais fut très mal reçue, les trois quarts de ses habitans avoient pris la fuite dans les montagnes à notre approche". Après la signature des préliminaires de paix, l'unité demeure en Italie comme troupe auxiliaire de la République ligurienne, formée du territoire de l'ancienne République de Gênes. Puis elle est réaffectée en France, avec garnison à Marseille, pour une brève période, car "notre demi-brigade faisoit partie des troupes qui devoient embarquer pour l'expédition secrette". En effet, à partir du f. 45 et jusqu'à la fin du texte, tout le récit est occupé par l'Expédition d'Égypte. Ce n'est pas seulement l'objet qui change, mais aussi la manière : aux notations souvent sèches et lacunaires de la première partie, succèdent des narrations plus détaillées et circonstanciées ; on devine que cette expédition fut la grande affaire de la vie militaire de Martin.II. L'Expédition d'Égypte (ff. 45-177).La relation est extrêmement détaillée, depuis l'embarquement à Marseille, et Martin cultive enfin le détail, non seulement des opérations, mais aussi des monuments aperçus, et des particularités des populations des pays traversés, se faisant comiquement apprenti ethnologue. Voici par exemple son passage sur les nomades du désert : "Les Bédoins sont des Arabes qui habitent les déserts de l'Affrique et de Syrie. Ils ne vivent que de meurtre et de brigandages, outre qu'ils sont bien armés et montés sur des chevaux d'une vitesse incroyable ; ils s'assemblent en assez grand nombre, puis se mettent en course, pillent les caravaniers, mettent les villages à contribution, et enfin ruinent le malheureux pays qu'ils parcourent. Quoique les femmes ne soient pas l'objet de leur affection, ils attachent un grand prix à leur beauté ; ce peuple ne fait point usage de vin, ni d'autres liqueurs fortes, il est musulman. Sa passion favorite est ce crime qui, outrageant la nature, provoqua autrefois contre Sodome la vengeance céleste. Plusieurs malheureux soldats tombés en leur pouvoir après avoir été victimes de cette infâme passion, périrent de la main de ces barbares." Qu'en termes choisis cela est dit. De temps à autre, un excursus plus développé se veut une description globale du pays, comme cette partie intitulée "Quelques observations sur l'Égypte, sa situation, sa manierre d'être gouvernée, sa fertilité, &c.", qui occupe les ff. 57-58, et reprend au demeurant des passages de Volney. Enfin, à l'occasion du début du Ramadan correspondant au 1er Nivôse an IX [22 décembre 1800], on a droit à un long excursus sur l'Islam (ff. 145-150), qui fait la part belle à tout ce qui est le plus superficiel, et où la célèbre anecdote du chat de Mahomet l'emporte en longueur sur les principes de la religion.Sinon, le déroulement des opérations est suivi avec une précision qui n'exclut pas le lyrisme, totalement absent de la première partie : on lira dans cette perspective, par exemple, le récit de la bataille de Chébréis du 25 Messidor an VI [13 juillet 1798] (ff. 53-54). L'essentiel du texte tourne évidemment autour de l'aspect militaire de l'expédition, et peu d'épisodes ne sont pas rapportés, depuis la défaite mamelouke initiale, en passant par l'expédition de Syrie (prise de Jaffa, le siège d'Acre avec ses 8 assauts), la bataille d'Aboukir, jusqu'au départ de Bonaparte pour la France, fort laconiquement signalé : "Lorsqu'en arrivant à la Coubée, nous apprîmes que le général en chef Bonaparte, avec tout son état-major, et plusieurs généraux, s'étoit embarqué le 5 courrant pour la France, que les nouvelles peu satisfaisantes qu'il avoit reçues l'avoient déterminé à faire ce voyage, cette nouvelle nous fut d'autant plus sensible que les soldats furent de suitte comme abattus de tristesse".Le reste de l'expédition se déroule sous le commandement de Kléber, puis Menou, et est dominée par les difficiles négociations engagées avec les Anglais pour l'inévitable évacuation de l'Égypte, le refus de la Convention d'El-Arich par le cabinet britannique, la bataille d'Héliopolis, l'insurrection du Caire et l'assassinat de Kléber. C'est au cours de cette dernière période que Martin fut nommé enfin sous-lieutenant le 9 Pluviôse an VIII [29 janvier 1800]. Les funérailles de Kléber sont décrites avec un luxe de détails impressionnant, puis tout tourne autour de l'encerclement par les armées ottomanes et anglaise, des négociations pour l'évacuation (les articles de la convention sont d'ailleurs intégralement reproduits) et du retour en Europe par Marseille. Les derniers feuillets relatent les étapes de la réinsertion de la demi-brigade dans la France du Consulat : affectation en Haute-Provence (Saint-Maximin) sous forme de petits postes détachés pour réduire le brigandage endémique et très mobile qui sévissait dans la région ; casernement à Montpellier ; révolte de Sète ; enfin, réorganisation de l'unité qui ne devait plus compter que trois bataillons : effectuée à Nîmes, elle aboutit à la réforme de 15 officiers et à l'affectation à Autun. Martin pour sa part fut affecté au 3me bataillon. Il obtint le 1er Nivôse an XI [22 décembre 1802] une permission de trois mois, qu'il alla passer chez sa mère à Chauvirey. Ici s'interrompt le manuscrit du sieur Martin, sans que l'on sache à ce stade (cf. infra) la suite de sa carrière militaire. Il est à supposer que la mise au net de notre texte remonte à cette période de permission.ON JOINT : une autre version de la même relation, rédigée bien après le retour d'Égypte, passablement différente de la première, mais formée sur le même canevas. Elle se présente sous la forme d'un volume in-4 relié en plein vélin rigide, dos lisse muet, texte réglé et soigneusement écrit, se distribuant comme suit :1. Un premier ensemble de 133 pp., qui forme la mise au net de la première partie du texte précédent, à savoir depuis l'engagement de Martin en février 1792 jusqu'au 22 Messidor an VI [10 juillet 1798], soit le début de la campagne d'Égypte. Plus soignée, la rédaction est également plus complète, et contient des détails que l'on ne trouve pas dans la première ; par exemple, ce passage relatif à l'exécution de Louis XVI, absent de la rédaction initiale (par prudence ? par suite d'un changement d'opinion rétrospectif ?) : "Je ne sçai ce qu'a produit en France la mort ignominieuse de ce trop faible et vertueux Roi, mais les Belges chez qui nous étions en furent indignés : l'armée en parut surprise. Nous ne fûmes point trompés sur les suites que cela nous occasionnerait, et dès ce moment nous nous attendîmes à une guerre des plus terribles".2. Une suite de 107 ff. vierges, très probablement destinés à recevoir une nouvelle rédaction des événements de l'Expédition d'Égypte, mais qui ne put être réalisée pour des raisons inconnues.3. Un second ensemble paginé 347-431 et donnant la suite de la vie militaire de Martin depuis le 25 germinal an XI [15 avril 1803], soit la fin de sa permission de trois mois (cf. supra) jusqu'en février 1809. C'est ici que l'on peut connaître l'évolution de la carrière de l'auteur, ainsi que les campagnes auxquelles il participa de nouveau : départ pour les garnisons de Landau, Wissembourg, Lauterbourg ; formation d'un bataillon d'élite composé de trois compagnies de grenadiers et de trois compagnies de chasseurs, chacune de 100 hommes, qui fut envoyé à Arras ; participation au camp de Boulogne ; défense des côtes de Normandie et de Picardie contre les entreprises anglaises lors de la reprise des hostilités ; campagne d'Allemagne de 1805, avec un récit détaillé de la bataille des 10-11 Frimaire an XIV - 2 décembre 1805. Ceci dit, l'abondance de copies de proclamations et la relation de négociations diplomatiques auxquelles Martin ne put évidemment pas assister montrent à l'envi que le brave officier passe progressivement d'un journal personnel à une histoire de la période. On gagne ici en cohérence et en exposition ce que l'on perd en immédiateté et en spontanéité rédactionnelle.À partir de la page 407, on a affaire à une copie d'un autre auteur, et nous en sommes dûment avertis : "Ce que je vais raconter de ce qui se passa sur la fin de 1806 et dans le courant de 1807, n'est point écrit par l'auteur de cet ouvrage". Et, en fait, cette copie concerne toute la fin du texte jusqu'aux brèves notations de février 1809 (l'année 1808 ne fait l'objet d'aucune relation).4. Enfin, une suite de 67 ff. vierges, peut-être destinée à la rédaction d'une suite.Il est évident que Martin a voulu donner de ses souvenirs une rédaction soignée et définitive, peut-être destinée à être imprimée, et que ce second jet atteste un début de réalisation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48
1 pièce format 20 x 17 cm avec cachet de cire, signée par les membres du CA de la 201e demi-brigade (Desmarest, Lefebvre, etc.), 11 fructidor an 3 : [ Certificat de civisme délivré par la 201 1/2 Brigade de l'Armée devant Mayence, division du Général Mengaud, le 11 fructidor an 3 - 28 août 1795 ] "Nous Membres composant le Conseil d'Administration de la ditte Demie-Brigade certifions à tous ceux qu'il appartiendra, que le citoyen Pierre Pellier, natif de la commune de Saint Briet, district de Sainte, Département de la Charente Inférieure, existe dans ledit Corps, depuis le 4 Floréal l'an 2 de la République Française une et indivisible et impérissable et c'est (sic) toujours comporté en vrai Soldat Républicain, en foi de quoi nous avons délivré le présent certificat pour lui servir et valoir ce que de raison. Fait au Bivouac devant Mayce le 11 Fructidor 3e année républicaine"
Etat très satisfaisant pour ce rare certificat de civisme produit lors du siège de Mayence, en 1795.