GRASSET.. 1932. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Papier jauni. 288 pages. Roman. Couverture souple. Envoi d'un particulier sur la page de faux titre.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Reference : R150129339
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Milano Galleria Philippe Daverio 1987 1 vol. broché in-4, broché (reliure à spirale), non paginé. Catalogue de la galerie milanaise présenté sous la forme d'un carnet à dessins et enrichi de deux photographies argentiques et de feuillets des textes en italien. Textes de Federico Fellini, Wieland Schmied, Ian McEwan et de la peintre allemande (1940-2010) avec leur traduction anglaise. Tirage limité à 150 exemplaires numérotés à la main. Très bon état.
Bern, Benteli Verlag. 2007. 30,5x24,5 cm. 183 S. Mit vielen meist farbigen Abbildungen. Originalpappband.
Erschien zur Ausstellung in der Fondation Saner in Studen. - Von der Herausgeberin auf dem Vorsatz signiert.
Paris, éd. Calmann Lévy, 18 octobre 1967, gd. in-8, cartonnage pleine percaline noire avec auteur et titre en rouge sur la première de couv. éd., idem sur le dos lisse éd., non paginé, nb. reproductions de documents anciens en bistre pleine page, table des matières, "Ce carnet est un chaos ! » écrivait Édouard de Pomiane dans la préface de cet ouvrage insolite, copie du carnet de travail d’Anna, cuisinière au destin hors norme. Abandonnée par sa mère, confiée à des paysans sans scrupule, violée à 15 ans, elle accouche d’un fils, Michel, qu’elle est obligée de confier au curé du village. Pour subvenir à ses besoins, Anna devient cuisinière et bonne à tout faire à Paris. C’est là qu’Édouard de Pomiane la croise et découvre sa cuisine. Lorsqu’Anna meurt d’une pneumonie, il décide de publier le carnet de cette cuisinière à l’inspiration naïve. «Anna n’a rien créé ; elle en était incapable. Mais, sans en comprendre la beauté, elle faisait une admirable cuisine en appliquant des formules qu’elle avait glanées un peu partout.» Dans ce carnet, un entremets est suivi d’un potage, ou d’un dessert. Le texte retombe ensuite sur un ragoût ou un poisson, pour revenir à une soupe. Ce carnet de plus de 160 recettes de cuisine dite « bourgeoise », du bœuf en daube au poulet Marengo, en passant par les œufs brouillés au boudin, la tarte à l’oignon ou les pets-de-nonne, propose, au-delà de simples recettes, les réflexions d’Anna qui font de ce carnet un document exceptionnel. Ainsi, à propos de la sauce hollandaise, Anna écrit : « C’est très vite fait. Je ne l’ai jamais manquée. Madame Fumal m’a dit que si la sauce tournait, il faut ajouter une demi-cuillère à café d’eau tiède et tourner au fouet. Ça se peut. » et au sujet de l’omelette du curé : « Madame m’a dit que c’est une recette de Brillat-Savarin. J’ai parlé de cet homme à Madame Fumal. Elle ne le connaît pas. Il n’habite pas le quartier. »Publié initialement en 1938, ce carnet est l’un des premiers recueils de recettes écrit par une femme.Comment lire ce carnet ? « Il ne faut pas le lire. Il faut le consulter. » précisait Édouard de Pomiane avant de conclure : « Lorsque vous réussirez quelques-uns des plats décrits sur ces feuilles, n’omettez pas, en les dégustant, d’évoquer le souvenir d’Anna et de boire un bon coup à ma santé". Pas courant en deuxième édition ! Très bon état
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Berlin, Verlag Der Sturm, (1923). 8vo. In the original printed wrappers. Light sunning to top of front wrapper. Upper part of spine with a small bump. Ex-libris (Alfred Liede) pasted on to verso of front wrapper. A fine and clean copy. 32 pp.
Rare first printing of one of the earliest edition of Schwitter's famous Dadaist 'sound-poems' (i.e. Dada Klang-Gedichten) often seen interpreted as a parody of a love poem. It famously became the symbol for the Dadaist movement, of the chaos and madness of the roaring 1920ies, and it was seen as the birth of a new poetic language. The poem made Schwitters famous overnight and it was parodied in newspapers and magazines, and strongly polarized public opinion throughout the 1920ies. Whilst Schwitters was never an official member of Berlin Dada, he was closely linked to many members of the group, in particular Raoul Hausmann and Hans Arp, and the poem is written in a dadaist style, using multiple perspectives, fragments of found text, and absurdist elements to depict the narrator's emotional state in the throes of love, or of Germany's political, military and economic collapse after the First World War.""Schwitter's developed his own version of Dada, which he called MERZ. Reportedly derived from truncating the name of the German bank Commerzbank, it uses not just ready-mades but also objects that had been thrown away. Merz differed in one crucial aspect from Dada: It was art, not anti-art. Best known are Schwitter's non-sense poems that make sense - just not in the usual sense, in the same way that Schwitters did not restrict himself to the usual five physical senses. His poem [the present] identifies Anna Blume as ""the beloved of my twenty-seven senses. The poem takes the reader through an accordingly distorted reality with statements, such as ""Blue is the color of your yellow hair, and an equally playful disregard of linguistic rules, while following a grammar of the heart, such as in the poem's last sentence: ""Anna Blume, you trickle beast, I love your!"". """"Despite his overtures, however, the Dadaists rejected Schwitters, burning his ""Blume"" pamphlet at the 1920 Berlin Dada Fair. Too iconoclastic for more conventional artistic movements, Schwitters was too painterly and sentimental for Dadaism. Denied entry by the club he desperately wanted to join, he slapped stickers that said ""Anna Blume"" wherever he went"" he interrupted other artists' talks by barking like a dog. And yet he was as energetic in his artistic activities proper as he was in his provocations, alternating between painting, printmaking, collage, stage design, poetry"".""Given Schwitter's drive towards multivalence, all of these interpretations (An Anna Blume as satire, An Anna Blume as both a critique and subsumption of modernity, An Anna Blume as an expressionistic exposure of the sense surrounding modern experience, and An Anna Blume as a deliberately fashioned alchemical parable) are all possible"". (Gamard, Kurt Schwitters Merzbau: The Cathedral of Erotic Misery, P. 57).
""Skagen 14de Februar 1895"". 1 side 8vo. ""Desværre ser jeg mig ikke istand/ til at modtage nogen Be-/ stilling paa Portrætter, som/ De har været saa venlig at/ tiltænke mig. jeg har nemlig/ en lille Pige og vil ikke blive/ længere borte fra hende end/ de Dage jeg rejser for at se/ Billeder"" jeg rejser da for at/ friske mit Syn lidt og maa/ saa have uindskrænket Frihed./ Takkende for Deres gode Me-/ ning om mig er jeg Deres/ ærbødige/ Anna Ancher.""
Et vidunderligt originalt håndskrevet og signeret brev fra en af de mest elskede og hædrede Skagensmalere, der både afslører, hvordan Anna Ancher arbejdede og fik inspiration samt hvordan hun så på rollen som mor. ""Blandt de danske Skagensmalere står Anna Ancher (1859-1935) som den mest populære. I en periode, hvor kun meget få kvinder fik mulighed for at gøre sig gældende som kunstnere, havde hun modet til at træde ud af skabet, det skab, som 1800-tallets mandsdominerende offentlighed havde anbragt så mange talentfulde kvinder i. Men Anna Ancher var for original en kunstner til, at hun kunne gemmes af vejen og gøres til en hemmelighed. Med sine lysfyldte og koloristisk følsomme billeder beherskede hun kvinders verden som kun få - om overhovedet nogen.""