GALLIMARD.. 1975.. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 550 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150083568
Le chemin. Avec bandeau éditeur. Roman. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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Gallimard, 1975, in-8°, 550 pp, broché, bon état (Coll. Le Chemin) (Prix Médicis 1975). Edition originale, ex. du SP, envoi a.s.
Œuvre autobiographique, Le voyage à Naucratis nous renseigne autant sur sa propre histoire que sur la vie de son auteur. Jil Tu, le narrateur, substitut de je, de tu et de il, se laisse aller comme à un vertige sans fin, parfois proche de la folie, au flux torrentiel du langage, et nous entraîne au cœur même de la littérature. Le récit noue ensemble deux grandes aventures, celle du corps et celle des livres. Évitant toute illusion réaliste, c'est par le corps que Jil Tu découvre le réel, à partir de lui qu'il peut exprimer la relation privilégiée de l'écriture au réel. Avec sa dramaturgie d'opéra total où le langage et le corps alternent leurs arias, Le voyage à Naucratis joue sur tous les registres, du délire au comique, de la farce à la critique, de la description érotique minutieuse et glaciale à la fureur bachique du langage de la transgression, et traverse la littérature pour la mieux réinventer. — Sur ce premier roman de Jacques Almira (qui obtint le Prix Médicis) qu’il a lu sur manuscrit et qu’il a soutenu, Michel Foucault a livré ses réflexions. L'entretien a été publié dans le "Quotidien de Paris" du 25 avril 1975, et repris en volume dans "Dits et Écrits", tome 1, 1994. "... J ’ai passé Noël et les jours qui ont suivi à lire ce manuscrit, dans l’enthousiasme. Ce qui m’a tout de suite frappé c’est la prodigieuse joie qui traversait l’écriture. Rien de cette gêne, de cette fausse honte, de cette morale basse qu’on [trouve] dans un grand nombre de textes contemporains, et qui se traduit par la question de l’écriture par l’écriture. Si Almira fait exploser l’écriture, c’est en éclatant de rire, par excès du plaisir qu’il prend à écrire. (...) Ce qui m’a plu dans ce roman, c’est la manière qu’il a d’habiter sereinement l’écriture au moment même où l’auteur se masque, prend en [mains?] les oripeaux de l’écrivain. Les références à Flaubert, et à Madame Bovary ont sans doute cette signification. C’est la fête de la littérature ; mais c’est le carnaval des écrivains..."
Gallimard 1975 550 pages in8. 1975. Broché. 550 pages.
Etat Correct aspect taché pages fraîches
Gallimard Paris, Gallimard 1975. In-8 broché de 547 pages. Collection Le chemin. Bon état
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GALLIMARD. 3-12-1975. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 550 pages. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Collection dirigée par G Lambrichs Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle