CALMANN LEVY.. 1932.. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 216 pages. Trace de stylo sur la 1ère de couverture.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R150020085
Nouvelle collection historique. Napoléon intime. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Paris, Calmann-Levy, 1932. "Nouvelle Collection Historique". In-8 broché, 217 p. Bon état : qq. rousseurs sur couv., rares in-t.
CALMANN-LÉVY, coll. Nouvelle Collection Historique 1932 In-12, broché, 217pp. En l’état.
Etat correct d’occasion
1932 CALMANN LEVY 1932- iN8 br. 216p. 1HT .
Calmann-Lévy, 1932, pt in-8°, 216 pp, broché, bon état (Nouvelle collection historique)
"Avec ce livre, Arthur-Lévy, l'éminent historien, nous fait pénétrer dans la piquante intimité, souvent troublée, de ce cercle de famille où le grand Empereur rencontra l'ingratitude et parfois la défection." (Le Figaro, 18 février 1932) — « Inhumain avec ses frères, incestueux avec sa sœur Pauline et sa belle fille, Hortense de Beauharnais », telles sont les expressions usitées par les détracteurs de Napoléon, pour définir ses rapports avec sa famille. La première de ces appréciations est facile à réfuter ; les documents, les témoignages abondent ; ils permettent de juger d’où venaient les torts dans cette famille qui fut absolument désunie parce que chacun de ses membres se tenait pour méconnu et maltraité par l’Empereur, alors que tous n’avaient qu’à se laisser vivre dans une opulence fastueuse. Le malheur des frères et des sœurs de Napoléon prend sa source dans une foi qui leur était commune : ils se croyaient tous rois de droit divin, elles se croyaient toutes reines de naissance. Leur état d’esprit se résume parfaitement dans une boutade de Napoléon : « En vérité, à les entendre, on dirait que j’ai mangé l’héritage de notre père ! » Ces récriminations furent constantes ; elles se représentaient avec une persistance intolérable, mettant ainsi à l’épreuve la plus irritante une longanimité fraternelle qui a fait dire à un contemporain : « Napoléon avait plus de mal à gouverner sa famille que son empire ». A un concert quasi-journalier de supplications, de reproches le plus souvent connus du public, l’Empereur, assailli de tant et de si graves préoccupations, n’opposait qu’une résistance passagère, bientôt vaincue par sa faiblesse naturelle. Pendant que tous, sans exception, s’appliquèrent à lui susciter des embarras continuels, pendant que toute sa vie fut contristée par les réclamations des uns et les écarts des autres, Napoléon déploya, à l’encontre de tant de calomnies travestissant les faits les plus simples, à leur égard une munificence et une indulgence inépuisables. Cette vérité s’imposera lorsque nous aurons montré l’Empereur dans ses rapports individuels avec chacun des membres de sa famille. Nous aurons également à examiner la monstrueuse accusation d’inceste, rééditée de nos jours avec tant de complaisance, insinuation constante de la chronique scandaleuse et pamphlétaire des ennemis de Napoléon depuis le Consulat. Les aveux des coupables faisant toujours défaut, il ne reste, en réalité, que les commérages des gens qui n’ont rien vu. Que les bruits abominables qui ont fait de Napoléon une sorte de vampire hystérique soient le fruit de la diffamation à outrance ou de la déconvenue de certaines espérances féminines, il faudra leur faire l’honneur de les discuter en face des documents authentiques, des témoignages contradictoires et les rapports réels de l’Empereur avec celles qui auraient été ses complices de ce crime de lèse-nature afin de les réduire à néant. (Arthur-Lévy)
Paris, Calmann-Levy ("Nouvelle collection historique"), 1932. petit in-8°, 216 pp., ill., broche, couv.
Qq. cachets sinon bel exemplaire. [DV-23]